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Macky Sall : le Pion-Tyran-Voleur en Permanence À Paris. [Par Ahmadou Diop].

Macky Sall, le Pion-Tyran-voleur mène une  Politique À l’Ecuelle-Talal AP KËLËM À Paris.

L’homme de la surcharge pondérale, ou le virtuose  monstre, oppresseur, agitateur permanent, tient mordicus envers et contre tous, imprime  sa marque totalitaire par le vacarme  cataclysmique de ses auxiliaires, dociles attardés, s’érigent en lamentables  opportunistes.

 Qu’on le veuille ou non, la main qui donne est  forcément supérieure à celle qui en  reçoit, n’est-ce pas ?

La mascotte de la Françafrique, aux multiples noms,  représentée en la personne du  triste célébrissime nègre de service,  l’Envoyé Spécial Colonial  en Afrique , attitré, accrédité à Dakar,  Macky Sall, le guignol,  jusqu’à la moelle, traitre, versatile, tonitruant, taciturne, négationniste, ethnique  dans l’âme,  délinquant-voleur- notoire par ses  dérives et ses  escapades, a été bien charcuté,  houspillé,  élagué, puis trainé dans la boue en Suisse et à Paris, comme il se doit,  à cause de ses trahisons dont  il ne peut  jamais se dépatouiller.

Désormais, point n’est  besoin  de tempérer nos discours  magistraux, bien distingués.

Décidément, les sénégalais et toute l’opposition  de  l’extérieur, ont réservé un accueil  pimenté, au  tyran-effronté,  nègre de service, digne de son rang, l’attendaient  de pied ferme  à  l’université de  GENÈVE, scandant  spontanément en continu   : «  Macky Sall voleur, Macky Sall dictateur ». À  même à Paris, le  même suppôt -voleur a reçu abondamment   les   salves  torrentielles à la mesure du traitre endurci.

Manifestement, matériellement, spontanément,  de façon éloquente, concomitante,   très décontractée sur le terrain , le renégat    a été criblé    avec  des bombes  massives  à couper le souffle, sans retenue  à l’encontre du manège défroqué,  et  à la mesure de  la gravité exceptionnelle, face au réfractaire à la démocratie,  qui foule du pied  les libertés de conscience la liberté d’expression,  constituant des droits inaliénables de tout  peuple souverain, libre, indépendant.

L’énergumène, dont l’antipatriotisme et le manque de civisme  n’échappent  plus à personne, embastille, sans répit,  et  à tout vent et à tour de bras  ses adversaires   qui lui font de l’ombre et tout citoyen libre.

Quoiqu’il  puisse faire, le  brigand, voleur,  chapardeur  n’oubliera pas  de sitôt ses déconvenues et ses tribulations   gravées  de marbre  à Genève et  dans la capitale française.

L’Europe n’est le Sénégal où le voyou déclaré, tient par la corde sa justice de carpe,  interdit tout et pour  n’importe  quel motif bidon,  farfelu, comme témoigne  quotidiennement les fallacieux  prétextes de trouble à l’ordre  public. Alors,  le représentant  du foutoir, qui fut peint faussement sous les défroques  prétendument victimaires  par le truchement  des cavalcades en tirs groupés des médias  mercenaires,  c’est ce  chenapan là, qui  a l’outrecuidance  d’inverser  les rôles et  qui  trouble l’ordre public,  de manière récurrente, depuis  qu’il est arrivé étrangement  au pouvoir , le 25 mars 2012- par  effraction à cause des esclandres  abusifs de ses milliards francs F CFA,  qu’il  a  subtilisé dans la poche du contribuable sénégalais.

Le despote  n’oubliera jamais  l’accueil historique  houleux que les sénégalais lui ont réservé exceptionnellement   à Genève  et à  Paris.  Nous souhaitons que cela fasse boule de neige à l’échelle planétaire internationale,  sans trêve aucune, et  qu’il en soit ainsi,  à chaque fois qu’il se trouve hors du Sénégal.   Amine  Incha Allah ! Budara Sed na lep Tangue jip- Alors,  pourrions-nous baisser la garde sous le spectre d’une guerre civile qui menace notre pays ?  Celui squi se niche  derrière les grilles du palais Alpulaar, est le seul responsable du climat délétère en continu.

En vérité, nous avons tous commis  une faute politique la plus lourde  grotesque, impardonnable, en élisant par notre étourderie  massive généralisée et  à l’échelle nationale   un monstre pithiatique  ethnocentrique de  la têteaux pieds,  se travestit allégrement et  peu à peu  en traitre tyrannique,  né, pour n’être qu’un  lamentable  brigand-cancre médiocre, de Grand chemin , peu respectable,  n’a  jamais la moindre étoffe d’un véritable  président  de la république, mais demeure  en chef de clan.

Un tel nullard, qui est catapulté cœur de l’état  totalement ethnique ségrégationniste d’apartheid, porte l’entière responsabilité de nos déconvenues qui vont en pis.

Il n’y a pas l’ombre d’un doute. Dans ces conditions, la légitime défense nous recommande  de le déboulonner et le virer, de façon qu’il  sorte par la petite porte  et dans les méandres des poubelles de l’histoire.  Sous le prétexte  fallacieux de préserver la paix sociale, est-il donc acceptable que nous accommodions  aux dérives spectaculaires, exponentielles  d’un voyou, déclaré et au nom de quoi  d’ailleurs ?   L’histoire appartient à ceux qui sont bons  et non aux malfrats de la trempe de Macky Sall.

Sommes-nous donc  des incapables pour n’être  que sous la botte  d’un  lâche  braqueur, qui use de la force publique pour demeurer éternellement au pouvoir  et tuer  dans l’œuf toute  contradiction  politique et toute capacité de résistance, face à un fasciste, dont l’ignominie relève d’un euphémisme ?

Pourrions-nous accorder des circonstances atténuantes à  un tel mécréant cancre pantin ce que l’on n’admettait pas  à son devancier, qui avait toute la latitude de le charcuter publiquement  et  le traîner dans la boue à juste titre, pour moult trahisons.

Autrement dit,  celui  qui traque sans répit, de jour comme de nuit,  tous adversaires politiques sans discernement,   par l’entregent de  sa justice de carpette,  est assurément, immanquablement,   le premier voleur, le plus mouillé, que nous ayons connu jusqu’ici  à cause de ses nombreuses casseroles immenses  qui se perlent  de plus en plus et à l’infini.

 Compte tenu de tous ces éléments que nous connaissons sur le régime pandémique,  nous  devons abroger systématiquement la constitution  moribonde qui autorise un seul homme à légiférer et  à prendre hystériquement  des décisions  arbitraires, sans qu’il ait besoin  de passer par l’assemblée Nationale godillot, qui s’évertue à n’être qu’une caisse de résonance et d’enregistrement   d’un exécutif  juge et partie.

 Le parisien noir autocrate  s’est bien  métamorphosé en  Serpent à deux têtes au Sénégal, reste  plus que jamais  à Paris, où il a élu domicile avec l’argent  du contribuable sénégalais, assujetti.

 Derrière Un MACKY SALL Sale Tigui- un ALIOU SALL aussi Sale  n’est jamais loin.  Car tous les deux se valent et se touchent, tel un cordon ombilical par leur taux d’ADN, compte tenu de leur  déchéance pathologique, qui leur colle à la peau et les unit jusqu’à la moelle. Circulez, il n’y a rien à voir.

Elire un Badola –Traitre né, c’est  aussi  désigner automatiquement   sa filiation.  En politique tout se tient en toute logique.  Mais faut-il que  la majorité des sénégalais  qui ont été roulés et  grugés totalement   sur  toute la ligne, le sachent ?  Prévenir vaut mieux que guérir.

L’inimitable escroc des casseroles,  qui est  aussi  minable que son frangin, le   pâteux mongole Aliou Sall,  bavard, pitre, le malappris,  opportuniste, arriviste, épargné par la justice accroupie du nul valet  de nègre, éprouve toujours le besoin d’y mettre une couche  épaisse, tente de se décharger   par des pirouettes cousues de fil blanc   piteusement et lamentablement  à la place publique. –évidement, comme on dit,  Gaaluk Dof Du ter.

Décidément, le ridicule ne tue plus,  car plutôt de faire profil sur sa descente aux enfers à Paris, le traitre  tonitruant, encombrant  de classe exceptionnelle,  dont la bassesse  suintante n’échappe plus à personne,    tient vaille que  vaille à blanchir  ses forfaitures  et à dessein de croire pouvoir   retourner la situation  à sa faveur,   allume  un contre feu   « On ne peut pas arrêter la mer avec les bras, dixit Macky Sall,  le pion, attitré et accrédité à Dakar   Une telle  rhétorique de bas étage  Bew –Fouille-pouilleuse  de la charogne acariâtre  ou le label de caniveau est  naturellement  l’apanage du pédigrée,   caniche  de l’occident.

Comme tout félon, médiocre de son rang,  machiavel,  le  pitoyable mercenaire, pantin fasciste  en chair  et en os  emprunte en quelque sorte les  mécaniques  décriées et  les vieilles recettes obsolètes  de Charles Pasqua ; « pour éteindre l’incendie,  il faut savoir  créer la diversion , la zizanie , de sorte que personne n’y comprenne  plus rien, pour se tirer d’affaire.

En vérité, c’est la règle mortifère  de tout vrai tyran, qui ne s’encombre d’aucune  parcelle de moralité.  Tant qu’il est  encore au pouvoir, il croit le  garder éternellement  par la terreur, les manipulations outrancières, la diversion tous azimuts.il se croit  éternel, pense qu’il est toujours le plus beau, omniprésent, et omnipotent, le plus fort, le plus fort, le plus intelligent, qu’il ne se trompe jamais. c’est toujours la faute des autres, qu’il n’ aucune excuse à faire, parce qu’il  se voit être le tout-puissant, en étant le messie, qu’il peut  tout faire, comme il veut, quand il le veut,  qu’il n’a de compte à rendre à personne, que rien ne lui arrivera, qu’il aura toujours raison,  car pour lui, l’impunité n’existe pas, , quand il punit, il pense que cela fera du bien pour celui qui est  puni.

Le  coupable désigné, mérite bien  son châtiment, puisqu’il est un dieu sur terre ; car pour lui, la puissance de son pouvoir émane du Tout-puissant, en ce sens que lui-même, se déclare plus croyant que les autres.

Evidemment les viols dont sont victimes  les  femmes  africaines, constituent un crime contre l’humanité, passent au silence et au nom de la raison d’état non avouée. Selon la règle édictée des armées étrangères en Afrique sous tutelle,  il semble  que l’on ne puisse pas et  demander de l’aide et  s’arroger en éternelles victimes.

Mais extraordinaire que cela puisse paraître,  selon la logique  de la démocratie mondialiste, les panafricains qui se dressent  tous contre  le triomphalisme de  l’hégémonie occidentale, sont  systématiquement accusés de crimes contre l’humanité, puis  arbitrairement déportés de force  dans les geôles de  la cour pénale internationale suprématiste banche.

A contrario, de façon étrange,  les véritables génocidaires, bourreaux, deviennent nécessairement  des victimaires, tous gratifiés, exemplaires.   Quand l’humanisme rime avec racisme, peut-on parler d’hypocrisie ?

 Alors,  plus de  60 ans après les parodies des indépendances formelles, de pacotille, les prétendus  Eternels Accords de Défense portent-ils vraiment  un caractère pédagogique pour l’Afrique francophone des 15 pays des nègres de service  ou pour  le renforcement et le triomphe de  la puissance coloniale ?   Une décrépitude qui est  à son comble, ne souffre d’aucune parcelle d’ambigüité. Comment peut-on  expliquer  que les 15 pays africains dits francophones  n’aient pas leurs propres leurs monnaies ?

Au Sénégal,  le laboratoire des pantins  élites de service, on compte  au moins plus de trente cinq hauts gradés  militaires  qui sont tous magnifiés  et  à quelle fin ?

À quoi servent-ils finalement, si ce n’est que ces derniers  sont  payés de façon incongrue et  disproportionnée  et  à coup de millions de francs  CFA, passent leur  temps   à ne  servir qu’ailleurs, dans les champs de bataille,  extraordinairement allumés par les  mêmes  sorciers, tapis dans l’ombre,  demeurent les  maîtres dans l’art  des pyromanes,  déclarés, se  transforment allégrement  en pompiers,  pour faire beau.

 Plutôt  d’en finir  une fois pour  toute  avec  la délinquance familiale,  tyrannique, pantouflarde,  du règne fasciste moribond, le plus  scandaleux du régime, ségrégationniste, intégralement ethnique, intégriste, ouvertement  d’apartheid, l’armée nationale laisse le champ libre  à une bande organisée,  vertement lâche et versatile,  en tête de laquelle un garnement délinquant,  teigneux,  véreux,  aussi riche miraculeusement,  vindicatif,  couard de naissance,  agit  en libre  envers et contre tous.

C’est   comme si  sous le prétexte que la France,  qui a été dévastée par la deuxième guerre mondiale, délègue  sa défense  nationale à  une autre  armée venue d’ailleurs,  depuis 1945,  en continu  jusqu’à aujourd’hui, c’est-à-dire  70 ans.

Les armées nationales africaines,  timbrées  la grande muette, et  dont la plupart des  officiers supérieurs   sont aussi  formés dans les mêmes écoles de guerre que  leurs collègues de la métropole,  au point qu’ils  apparaissent   figés, pour n’être que dans leur rôle de  supplétifs, face au camp d’en face leuco dermique, présumé supérieur et  mentalement plus apte et plus  coriace ?

 Et  pourtant, c’est   exactement ce passe en Afrique noire dite  francophone  qui est totalement asservie jusqu’à perdre sa dignité et ses repères. C’est bien cela qui nous arrive jusqu’à présent.

En vérité, c’est la reproduction instantanée des nègres de service représentés par des valets, tels que Macky Sall, l’acrobate de la déchéance pitoyable et autres, sont tous dressés en coupe réglée  et restent les  bons  élèves de la francophonie, qui est articulée  à  la françAfrique, ou tamponnée l’hydre mafieuse .

Est-il vraiment raisonnable  de parler  de souveraineté nationale, libre, réelle, politique, dynamique économique  dans l’ensemble des Etats africains dits francophones et à l’échelle continentale ?

La réponse  est sans équivoque. Il y a lieu de parler d’un prolongement du colonialisme et de leurs relais pantins qui se travestissent abjectement   en préfets négationnistes. Autrement, les élites de pacotille  acceptent en toute conscience  les indépendances bâillonnées.   Les tyrans  restent au pouvoir sous la bienveillance du maitre colonial qui supervise par derrière  et dans le secret des dieux,  toutes les opérations sur commande, selon ses propres intérêts mal placés, tendant à  bâillonner  habilement  et à assujettir toute  le continent noir francophone.

Macky sall a ainsi confirmé, nous dit-on-  les engagements de la France en matière de financement du Train express Régional de Dakar. un tel  projet inutile si improductif  en terme de rentabilité  économique  et  d’emploi –n’aura aucun impact réel sur le pouvoir d’achat  des citoyens  si ce n’est  l’émergence coloniale qui continue  et  va en pis.

Ce prêt  supplémentaire, décousu, onéreux, va engloutir davantage plusieurs milliers de milliards de francs CFA, à quoi s’ajoutent les autres emprunts obligataires infinis et  sur lesquels  il y aura  des taux  d’intérêts colossaux.

 Comme toujours,  nous l’avions déjà  martelé.  Où qu’il puisse  se trouver en Europe,  l’étrange pigeon voyageur dans les airs, est obligé de passer nécessairement  à Paris,  qui demeure  le point névralgique,  pour qu’il  rende obligatoirement  des comptes  et recevoir des Recommandations- Ndiguël de la part  de son  supérieur, c’est-à-dire  son marabout  actuel,  qui se trouve à l’Elysée,  à qui il a toujours  prêté allégeance  devant dieu. Il  ne jure que par lui. Et cela ne change en  rien, quelque soit   le locataire en place

 Ce que nous exprimions  et répété à plusieurs reprises sur le nul, robot, le Farba, Fourbe, encombrant,  en chair et en os,  Macky Sall, l’avarié  fasciste et le fasciste, référent de la françafrique, se confirme de plus en plus sur le terrain du crime. Les accords de défense sont synonymes  d’immunité, demeurent  le  logiciel de  l’impunité.

Le  servile, valet  attitré , l’Envoyé Spécial  Colonial en Afrique,   accrédité  à Dakar,  prend  donc  sciemment  et pour cause,  le contre pied de Mamadou Dia – paix à son âme-  qui fut  le président  du Conseil, paya son indépendance.

En raison de la réciprocité des services rendus, le traitre,  absolutiste, qui abuse dangereusement des prétendus de défense  assure et garantit son impunité contre tous ses opposants politiques,  sous le nez et la barbe  de ses assureurs arrogants,  impérialistes et capitalistes.

Une telle incongruité nous renseigne éloquemment sur la servilité ubuesque  des pantins,  plombent  davantage  le décollage pluriel et l’avenir   de notre chère Afrique, qui regorge plus que tout autre pays, toutes les richesses exceptionnelles. Nous  sommes plus que riches, mais  nous demeurons  plus   que pauvres.

Voilà donc  une raison de plus pour démanteler en toute indépendance et en toute conscience les accords coloniaux.  Partout à où ces prétendus sont appliqués, il n’y a point l’ombre  de la  démocratie, ni de libertés fondamentales, encore moins  d’émergence économique, dynamique, mais s’installent, au contraire,   les  cascades tyranniques  qui  continuent dans le ciel obscurci des colonies françaises !

C’est la règle ubiquitaire généralisée  de l’instabilité abondante politique, voulue,  permanente des effets multiplicatifs cataclysmiques, sur de fond de domination aussi longtemps que cela s’avérera nécessaire ;  tant  qu’elle  rapporte plus qu’elle coûte à ceux qui les ont élaborée savamment, pour cause et pour  booster en filigrane  leurs hégémonies  expansionnistes.

Ce n’est pas pour rien que les candidats présidentiels  en France  esquivent  sciemment  et pour cause la thématique  scandaleuse, symbolisée  par  la Françafrique, qui  reste incontestablement  un crime colonial contre l’humanité. Un tabou qui passe sous silence.

Sommes-nous donc  des minables ou des moins que rien, pour que   nous soyons  des assistés éternels,  qui nourrissent   de la mendicité internationale, alors nous avons tout sur place ?  Le panafricanisme   et les exigences salutaires   des  indépendances  totales des états africains  relèvent  parfaitement d’une  légitimité, justifiée   ne peuvent constituer  en aucun cas ,une  quelconque offense, ni un Casus belli,  contre  des pays, fussent-ils puissants par la matérialité de leurs armées, qui sont toutes   dotées de technologies de pointe, par leur puissance de feu, dernier cri.

 

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