Macky Sall : le Référent-Agent Spécial Colonial au Sénégal À Biarritz et ses échappées torrides. Par Ahmadou Diop.
Macky Sall/le chouchou- Boucanier béni oui-oui, dit le Référent-Agent Spécial Colonial au Sénégal À Biarritz aux Attaches du G 7 et ses échappées torrides, Habille, sacralise mordicus, sa CREI, son jouet de justicier, estampillé sa racaille de Police Politique intégralement négationniste et Ethnique digne de la Stasi, qu’il considère comme étant sa courroie de transmission des légèretés, son arrière Cour Martiale et son arme de guerre confiscatoire à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience.
Excellence de la rupture aléatoire- mon œil – n’est qu’une simple coquille vide, adoube ses justiciers et sous le label de la prétendue cour de répression de l’enrichissement illicite, cristallise les esprits. L’objectif, est de cibler par la ruse, les plus désobéissants.
Pour cela, le justicier, la crei, asservie, ne travaille que par intérim et sur commande du tyran, comme une obsession, se focalise notamment et bruyamment sur le cas Ousmane Sonko, le digne député, le patriote, le soldat intrépide, que l’on tient à abattre politiquement et à tout prix à bras raccourcis, et sous n’importe quel motif bidon, farfelu, pour le réduire en charpie et au silence, quoiqu’il fasse.
Pour ce faire, il faut le livrer en pâture presto illico et à la vindicte populaire, de sorte qu’il perde de facto son mandat de député, comme l’a été Karim Wade, le déporté politique au Qatar, y compris également Khalifa Sall, a bien perdu et son mandat de député et sa qualité de maire de Dakar, malgré les tirs groupés des uns et des autres, continue de croupir dans les geôles du fasciste, le coupable numéro un, n’a jamais eu sa place au palais, mais à Rebeuss, son Guantanamo.
Alors, ceux là mêmes, qui sont très prolixes, hier comme aujourd’hui, du haut de leur rang, se transforment allégrement en mercenaires politicards, baveux et incorrigibles, restent des dévergondés, qu’ils sont jusqu’à la moelle, ont mangé sans vergogne dans tous les râteliers, savent dans leur for intérieur, n’ont aucune parcelle de moralité, peu ou prou, pour n’être que des abrutis, des farandoles corrompus de la tète aux pieds par leur égoïsme congénital et leur surmoi démesuré, ne peuvent avoir que la langue bien pendue et du sang dans la bouche, ne roulent que pour eux-mêmes, qu’au gré du vent, selon la météo du moment, ne vivent que de péchés, parce que ne sont que motivés par la part du gain qui leur colle à la peau .
Au lieu de s’offrir vulgairement en spectacle, et pour des raisons bassement matérielles, et plaire pitoyablement à un imposteur, autocrate, déclaré-non éclairé. Qu’ils ne nous fassent pas parler ! Et qu’ils se le tiennent pour dit ! « nañu yem ci codu nu rof len ci galiel »
Le métier d’avocat du diable n’autorise pas tout ; mais certains d’entre eux, qui se travestissent en opportunistes, préfèrent hélas, hypothéquer leurs robes, en échanges des liasses de FCFA, volées dans les deniers de l’état. Il y’a les bons et les mauvais. Malheureusement, ces derniers prolifèrent, pullulent partout, et font florès, poussent, tels des champignons dans notre pays, qui perd ses valeurs et ses repères historiques.
Ceux là mêmes qui tentent de mettre au pinacle les sentinelles, qui s’expriment librement en toute indépendance et en toute conscience dans les réseaux sociaux, quoique l’on dise, demeurent par excellence, la tribune de la liberté d’expression et des contre-pouvoirs exponentiels, et constituent à n’en pas douter, un rempart pédagogique, face la tyrannie enflammant de la république des tontons macoutes des Duvalier « nédo ko bandoum » en place.
Chassez le naturel, il revient toujours au galop. Rien n’y fait, le même mode opératoire peu orthodoxe imprime par devers sa fatwa cataclysmique dans le ciel ténébreux sénégalais.
Macky Sall : « nos préoccupations sont prises en compte au G7 », sont synonymes de charniers de mensonges. Décidément, pour le parisien, le pédigrée Pétain noir, tous les chemins mènent absolument au pays de Marianne et à l’oncle Sam, parce qu’ils détiennent les secrets du kleptocrate, casseur du siècle au Sénégal.
En retour des services rendus, l’arriviste, opportuniste, pantouflard, flagorneur de son espèce, leur a livré toutes nos ressources naturelles, à savoir entre autres, le fer, le zircon, le pétrole et gaz du Sénégal pour un sou.
Voilà « le petit Senghor, ressuscité » en service commandé et ses simagrées, du haut de son rang de piètre qualité, le prouvent matériellement sur le terrain du crime ! Circulez, il n’y a rien à voir !
Nous sommes encore tombés des nues, en lisant les âneries purulentes de celui qui n’a aucune qualité de dirigeant responsable, ni une quelconque parcelle de vision politique, de moralité, pour diriger Sénégal, un grand pays historique au point de vue du savoir pluriel et de la morale éternelle en puissance, voire la terre de la résistance par sa bravoure immuable contre le colonialisme repoussant.
Où a-t-on vu dans le monde des sommets développer des pays ? Si cela était vrai, ça se saurait depuis fort longtemps. Et pour cause.
Le développement de l’Afrique ne viendra que d’elle-même, avec des vrais dirigeant patriotes, altruistes, courageux à l’endroit contre l’envers du décor, représenté par le moutonnier tondu en place, et non de ceux qui continuent de piller toutes nos ressources vitales , depuis des siècles et des siècles, et ce par des élites plastiques interposées, serviles. Le monde appartient à ceux qui ont une histoire glorieuse.
La meilleure part du lion revient à ceux qui ont crée savamment le présagé droit international n’est que virtuel pour faire beau. Partout où ils interviennent façon disproportionnée, notamment en Afrique des larbins, il n’y aura nullement la moindre lueur de progrès, en termes de développements pérennes, ni de liberté d’expression, tangible, encore moins de démocratie réelle, avérée et palpable, mais ne sévissent que le banditisme, le marasme social chronique, la banqueroute totale, les plans structurels de la banque mondiale et du fonds monétaire international- deux institutions capitalistes, impérialistes- ou deux instruments inévitables de domination sont arrimés à la logique de la haute technologie de pointe– auxquels s’y ajoutent les divisions interminables entre les peuples et les guerres perpétuelles.
Le G8-G7 présumé le plus riche du monde : un bien grand mot étrange et la renverse en dit long sur le fameux partage de l’Afrique en zones d’influences colonialistes, depuis la conférence de Berlin en 1885. Rien n’a changé d’un iota, si ce n’est le pire.
A l’exception du pays de Staline qui est immensément riche en ressources naturelles de sortes, presque, dans une certaine mesure, la communautariste dite internationale –au nombre de trois- ne doit sa posture que grâce aux instruments de domination à l’égard des pays du sud, qu’elle vassalise, inverse drôlement les rôles. Il s’agit donc d’oppresseurs et oppressés, gagnants-perdants et dominateurs et dominés.
Y a-t-il un Sommet de la Com `, des progrès, ou le symbole de la discorde, et sur fond d’invectives aigre-doux, dans lequel la violence verbale s’invite dans le débat à distance et par presse interposée, en la personne du führer brésilien, le machiste, est sorti de nulle part, on ne sait ou comment ?
Les pays les plus riches sont devenus plus que jamais si pauvres par le mécanisme des instruments de domination et guidage laser.
Le minable, qui est encarté aux ordres du G7 récite et répète textuellement mécaniquement ce qu’on lui dicte à la lettre, par derrière, n’est pas à son coup d’essai, loin de là.
Ce n’est pas un hasard qu’il est le plus chouchouté de la tanière des vils pègres dictateurs acrobates africains les plus abjects de la planète entière, sont pourtant plus que bénis par les mêmes , qui s’autoproclament les parangons et les distributeurs automatiques de la démocratie des leurres, même s’ils ne l’admettent pas publiquement, pour des raisons idéologiques économiques, financiers, linguistiques, et sur fond de domination et de mépris abyssal.
Lorsqu’il s’agit des despotes aux attaches des puissances capitalistes, silence de la prétendue communauté dite internationale suprématiste leuco derme se substitue allégrement à la majorité. Est-ce donc de l’argent comptant ? En réalité, tout dépend de la posture des uns et des autres, selon leur docilité ou leur degré d’indépendance, de souveraineté vis-à-vis de la doctrine impérialiste.
C’est la particratie d’un navrant fasciste incorrigible veut créer l’événementiel par ses parades liberticides, évite toute contradiction politique et contre-pouvoir peu ou prou.
A l’approche de chaque comédie électorale- les parodies municipales programmées ne sont jamais loi. Car l’épée de Damoclès doit peser sur la tète de ses adversaires politiques, des cibles sélectives, et du haut de leur rang, doivent être traqués, au point qu’ils regrettent d’être nés. Pour cela, point de répit, ni d’état d’âme, ni de scrupules, ni de vertu. Et peu importe qu’ils bénéficient de la chasse aux sorcières. La fin justifie les moyens, mêmes s’ils sont abjects. C’est le résultat escompté qui vaille. Car la morale ne compte pas.
Alors, pour croire oublier ses folies dépensières et ses multiples trahisons, dont il est l’unique coupable devant l’histoire, le pantin-satellite de classe exceptionnelle, tente d’occuper le terrain par sa presse servile interposée et ses valets auxiliaires de service, symbolisée par sa justice docile, dégonflée, instrumentalisée, s’exécute mécaniquement, fait le sale boulot, trie au volet les coupables désignés pour leur grade, mais prend le soin d’épargner par la ruse, son clan cliniquement ethnique, est loin d’être une sainteté, et ce sur ndiguel d’un fraudeur, himself, nègre de service, chef de bande, dont le moins que l’on puisse dire, se donne pitoyablement une respectabilité d’apparence, par sa carence atavique et ses richesses immenses, qu’il a bassement obtenues par le miracle des postes de nomination « tan sa bula nex ».
Un tel pickpocket, est de loin le plus mouillé que ceux qui sont présumés si riches illicitement.
Afin de canaliser les projecteurs autour de sa personne imbue, le lâche fantoche en chair et en os veut absolument cristalliser les idées, et tient coûte que coûte à mener la danse, et fixer ses règles confiscatoires démodées à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience ; dont le but majeur ne vise qu’à arrondir les coins et les coins, face à sa mal gouvernance pandémique en continu .