Macky Sall, le Traitre Capitulard : tous debout contre L’Etat de la terreur ! Par Ahmadou Diop.
Face au Traitre, Macky Sall, Capitulard, tous debout pour le Démantèlement de la jungle de l’Etat de la terreur institutionnalisée !
Depuis 5 ans, le tout répressif tout azimut prime sur tout et sans répit, nonobstant nos éternelles mises en garde et nos éternels radotages, restent vains !
Quoiqu’il est temps que la légitime défense sévisse à haut débit, pour vilipender publiquement sur le plan national et hors de nos frontières et conjurer le mal absolu chronique incarné par le régime pandémique, caractériel qui est ce foutoir de la démesure, chevaleresque , qui nous empoisonne dangereusement la vie, tant par son caractère scandaleusement exceptionnel , grossier, répréhensible et la spécificité de son chef, devenu un d diable défroqué, déshonorable, que par les crimes économiques, physiques, financières, dont il est l’unique comptable devant l’histoire, et qui se donne lamentablement une respectabilité d’apparence derrière les grilles d’un palais des féticheurs « avec un Grand F ».
Voilà donc les conséquences directes, désastreuses d’élire un traitre jamais repenti. en politique, l’erreur se paye cash, car l’étourderie massive, généralisée à l’échelle des sénégalais ont tous voté irrationnellement pour le déshonneur d’un nègre service, maître de la tromperie, crée systématiquement l’émergence coloniale.
Qui peut vraiment sauver l’irrécupérable soldat teigneux et contester le socle et l’existence du banditisme ethnocentrique absolutiste d’une bande racailles fripouilles- porte-malheur, dénommée le label ou le verbatim creux et verbeux du cartel des malfrats unifiés, disjonctés, tous sont transmués en vendus , portent le caractère blasphématoire du syndicat corporatiste indignement velléitaire, que l’on ne démentir dans le temps et dans l’espace, et dont les agissements à répétitions sont éloquemment fournis, n’échappent à personne ?
Pour toutes ces raisons, nous devons concentrer tous nos efforts contre lui en tirs groupés et faisons les sans retenue, ni humilité d’aucune sorte, d’autant plus qu’un tel régime fantoche et pouilleux, monstrueux, épouvantable, pitoyablement condamné, condamnable, capitonné dans lequel le tout répressif sévit depuis le 25 mars 2012.
Donc, nous devons absolument démantèlement de la jungle de l’Etat de la terreur – dont le premier d’entre eux, Macky Sall et ses Auxiliaires-Mercenaires de service coalisés !
La justice hérétique des juges et des magistrats, mercenaires, présumés automatiquement des ustensiles, devient un danger et une épée de Damoclès, met en péril la démocratie et la liberté d’expression et les libertés fondamentales.
le câble de la françafrique, voleur pitre -imposteur, mythomane, flibustier, autoproclamé donneur de leçons, menteur professionnel dans l’âme , qui accueille l’opposant Adama Barrow, doit s’appliquer pas à lui-même la même déontologie qu’il prétend donner à son alter ego , le despote yaya jammeh.
Soyons tous vigilants et unis pour que les législatives de 2017 puissent servir de dynamique et d’impulsion , de sorte que l’assemblée nationale , composée majoritairement de sentinelles, puisse voter une motion de censure contre le pouvoir tyrannique. !
Pour cela, les manœuvres dilatoires de bas étage du traitre endurci ne doivent nous aveugler, nous endormir. L’apostat tient à se focaliser sur la question gambienne, tend à se décharger sur ses méthodes fascistes, pour détourner les consciences citoyennes pour faire oublier ses dérives et ses trahisons manifestes, au point qu’il faille héberger Adama Barrow, pour en tirer les dividendes politiques, en arrière-plan.
la parodie d’une justice éternellement coupable, intégralement intégriste ethnique, indigne, partiale, partielle, parcellaire, calamiteuse, qui agit à double standard, se laisse tenir en laisse par le pouvoir de l’ethnocentrisme débridé, obéit au doigt et à l’œil du premier faussaire, mercenaires Sall, est-elle encore plus sourde, muette et aveugle, au point que l’énormité représentée par Cheikh Kanté – plus connu sous le nom du guichet automatique, bénéficie de la protection indéfectible et philtre magique du premier délinquant, s’est enrichi miraculeusement , brouille tous les radars de l’état –macky sall – ou la mascotte de l’émergence des richesses attentatoires, lequel tyran s’autoproclame le seul procureur réel des voyous alignés , a lui-même bien emprunté les mêmes chemins aléatoires ?
Cheikh KANTE fulmine à qui veut le croire : « L’argent que je distribue n’est pas celui du Port, mais le mien »
Unissons toutes nos forces contre la tyrannie et l’arbitraire satanique !
Tous, ensemble, nous pouvons pour changer le rapport de force. C’est possible. Nous dévons sévir maintenant par la légitime défense contre la tyrannie et l’arbitraire d’un affabulateur, mythomane !
Demain, c’est maintenant ! Inutile de reporter ce qui est bien possible aujourd’hui ! Nous avons été jusqu’ici bienfaisants au point que nous sommes devenus la risée planétaire et les joutes des jouets du monde qui nous regardent avec mépris. Ça suffit maintenant ! Tous les jours que le bon dieu fait avec ses lots de fadaises, obscures, d’arrestations injustifiées, empilées les unes sur les autres, de la part d’un échevelé endurci, et sa ribambelle de faquins coalisés, dont la monstruosité correspond à leur pedigree
Depuis le soir du 25 mars 2012, l’autoritarisme sévit de plus belle sans que rien ne l’arrête pour l’instant. Depuis cette date historique, malheureuse, tout sert nécessairement de déstabilisation système pour interdire tout et n’importe quoi. Sommes-nous donc des moins que rien ou des couards pour se plier aux règles de la tyrannie et de l’arbitraire de la salissure envahissante ? Il est maintenant temps d’organiser la riposte nécessaire, qui doit être obligatoirement proportionnelle à l’impunité à propension. Sommes-nous des moutons au point que le président de la république concentre par devers et contre tous les pouvoirs ?
Face à la loi de l’arbitraire et de la tyrannie, la légitime défense par la lutte sans merci, s’impose, maintenant, pour balayer définitivement les ailes démesurées de ce nègre fraudeur de service de la françafrique, incorrigible, aujourd’hui, au plus haut sommet de l’état par l’étourderie massive, généralisée à grande échelle, lors du grand cirque électoraliste de la part des sénégalais totalement grugés, sous le parrainage effectif des lobbies locaux convertis en pantins, lesquels sont en totale osmose avec le syndicat international des oligarchies financières , extérieures, aux odeurs colonialistes, tapies dans l’ombre, ont crée nos éternelles déconvenues. Les causes apparentes ne doivent nullement servir les mauvaises raisons aux amplitudes carambouilleuses.
La riposte du peuple vaillant, déterminé, toujours vainqueur, triomphera, en dernier ressort, uni, soudé, mobilisé pour la cause légitime contre les adeptes des manières fortes. Le combat de la liberté a commencé pour finir par la victoire finale et totale sur les renégats unis dans la trahison.
Que valent donc les incartades et les cavalcades indignes affreuses, immorales d’un clown égaré, invétéré par l’ivresse d’un pouvoir en totale décrépie ?
Le personnage atypique, curieux, préfère se servir lui-même et porter bassement la corde autour de son cou, plutôt que de servir la patrie. Voilà donc le bilan aussi sombre que la nuit. Nous qui sommes les sentinelles et qui ont les voix les plus autorisées de la parole libre, nous continuons à dénoncer l ce régime de capharnaüm.
Nous combattons pour la juste cause de notre pays, pour que notre patrie le Sénégal, soit émergente dans le sens des progrès immenses, soit prospère, libre, souverain et indépendant, retrouve sa dignité, à l’instar des nations patriotiques !
Nous devons mettre fin aux cataclysmiques injurieux d’un négationniste, ethnicise, qui se plie à la trajectoire mafieuse de la françafrique.
Ce que l’on peut noter, depuis le 25 mars 2012, c’est qu’il y a incontestablement la trajectoire d’un état en totale déliquescence en faillite, en lambeau, depuis 5 ans.
Il n n’y a pas de grands pays et de petits pays. Aucun pays, soit il, n’est petit. Ce n’est parce qu’un pays en terme de logistiques militaires, qu’il doit tout accepter, tant s’en faut. Quand on veut, on peut, Des exemples foisonnent à travers le monde, notamment en Algérie, le cuba et d’autres nations.
Malheureusement, il n’y a que des pays dominateurs et des pays dominés. C’est une question de volontarisme et d’abnégation d’élites politiques, courageuses, visionnaires, responsables et altruistes à l’endroit. Nous devons absolument en finir avec les politiques de la dépendance dynamique et de la vache à lait. Aussi, il nous incombe de sortir de la politique de la soumission. A ce prisme, il nous faut des hommes de valeurs et des sentinelles de haut niveau.
Le Sénégal est-donc ce géant virtuel aux pieds d’argile, malgré le tintamarre ? En vérité, depuis le triste événement de 1962, qui n’était qu’une ruse de Senghor, l’homme des français, le régime présidentiel totalitaire est une devenu régression. Depuis lors, la prétendue assemblée nationale n’est plus jamais la voix authentique du peuple pour le peuple et par le peuple, mais incontestablement la caisse de résonnance renversante d’enregistrement inféodée au service du chef de l’exécutif. Elle est totalement asservie. Pis, elle est devenue une coquille vide. les députés assujettis- « Doungourous »- s’accroupissent pour n’être que des sujets dociles, taillables à merci au service du président de la république, chef de parti.
Celui s qui s’était proclamé le parangon de la rupture- mon œil- se focalise sur la crise politique gambienne, y trouve une décharge pour se défausser sur ses promesses, notamment la réduction de son mandat présidentiel qu’il a bel et bien transformé en parodie référendaire. les élites africaines larbinisées , alignées de carpette, toutes arrimées à la françafrique s’arcboutent bassement avec hystérie sur l’imbroglio gambien.
Le premier faussaire sénégalais, absolutiste, corrompu dans l’âme jusqu’à l’abysse, tue, arrête à tout vent, tout citoyen libre, plombe la démocratie, réduit toute capacité de résistance. Sur les questions fondamentales, indispensables, l’homme de la fourberie démentielle foule du pied sciemment la liberté d’expression et la liberté de la conscience collective. Ses auxiliaires de service des pantalonnades se transforment promptement et automatiquement tous en ustensiles de cuisine de la sarabande, s’exécutent et se chargent lamentablement des basses œuvres. La bassesse est devenue une norme et un gagne-pain de piètre qualité. Bref, désormais, l’inquisition, les brutalités incessantes, quotidiennes et la chasse aux sorcières à tout vent, sans répit, demeurent la seule option possible pour endiguer et tuer dans l’œuf tout contre-pouvoir.
Toutes nos institutions et corps de contrôle se mettent au garde-à vous, sous tutelle du pouvoir totalitaire sont dressés en coupe réglée. Plus personne n’est à l’abri de rien.
Dans ces conditions, peut-on raisonnablement parler d’un marqueur de la rupture ? L’homme qui nous dirige d’une main de fer n’est jamais destiné à occuper de hautes fonctions, encore d’être le président de la république. il ne doit sa posture abusive que grâce à l’étourderie de son ex mentor, en l’occurrence, Abdoulaye Wade, pour dire la vérité.
Après la traque des biens mal acquis à géométrie variable, place maintenant en continu, toutes les cueillettes de jour comme nuit par les tontons macoutes serviles, sous n’importe quel prétexte fallacieux. la communautariste internationale suprémaciste blanche, qui s’ingérait sans retenue et directement dans les affaires sénégalo sénégalaises, fait profil bas sur le régime de brigandage, comme si elle est aveugle, sourde et muette.
La mécanique de la terreur incarnée par l’Assemblée Nationale, s’accommode piteusement à réduire en charpie tout patriote et vote hystériquement des lois antidémocratiques sur commande du pouvoir de l’exécutif totalitaire.