Macky Sall, le Violeur – Casseur du Siècle au Sénégal: le Pouvoir est par définition, un Moyen de Chantage, de Jouissance et de Pression. PAR AHMADOU DIOP CPC.
En 2012, pour croire bien faire, on a fait des pieds et des mains, en déboulonnant bruyamment un régime supposé dictatorial, tant décrié sur la scène nationale et internationale, en le remplaçant sur un coup de tète par un autre plus dur, plus autoritaire, tant par son caractère lamentablement liberticide que pervers, et qui agit à l’encontre de l’éthique et de la rigueur. En politique et en toute logique, toute erreur se paie cash.
Que nenni, par notre étourderie massive généralisée et à l’échelle nationale inclusive, nous avons tous commis massivement une faute politique la plus grotesque et la plus lourde de notre histoire, qu’on n’ait connue jusqu’ici, et dont les conséquences incommensurables ne sauraient être mesurées à juste titre dans le temps et dans l’espace.
Alors, sans le savoir, nous avons donc élu un sous-marin masqué, un complexé de nature taciturne, pithiatique, non moins comploteur hors-pair de classe exceptionnelle, maître, tortionnaire, inégalé et inégalable des rapines , voleur déclaré-non éclairé, qui se niche au plus haut sommet de l’état, grâce à son carnet d’adresse caché et à l’esclandre de ses mds FCFA sortis de terre on ne sait où et comment – surtout par le miracle des postes de nominations tansabulanex- maintenant, nous avons vu et vécu, car nous payons donc le prix le plus fort, qui risque de s’aggraver, malgré nos incantations éternelles à couper le souffle.
Le spécialiste des coups tordus, qui est plus connu désormais sous le sobriquet affairiste, arriviste « Pétain noir », le personnage atypique sénégalais, s’érige donneurs de leçons- mon œil !- est devenu si riche, a eu tout même l’outrecuidance de déclarer hystériquement, via le conseil anticonstitutionnel, un patrimoine immobilier de 8 mds FCFA, qui contraste parfaitement avec l’indice de son salaire, fait abstraction totale de tous comptes bancaires ouverts et placés à l’étranger.
Après 9 ans de mal gouvernance absolutiste et ses charrettes d’arrestations, symbolisé par l’emprisonnement de 57 personnalités de l’ancien régime, y compris des opposants politiques, qui ont élu domicile dans les prisons de la Gestapo- Guy Marius Sagna- et auxquels s’y ajoutent abondamment et quotidiennement des victimes criblées de balles, non élucidées, quel est donc l’état des lieux du butin de l’asservi à qui on déroule le tapis ? La fortune personnelle de certains chefs d’états africains est égale à la datte de leur pays, disait feu François-Xavier Verschave.
À combien s’élève donc le magot planqué dans les paradis fiscaux et à l’abri des regards indiscrets ? De 2019 à nos jours, le silencieux, s’est bien gardé de faire une déclaration publique de son patrimoine, dont le moins que l’on puisse dire, à augmenter de façon exponentielle. Le capricieux versatile, irascible, insaisissable, disons le variable démon – farceur dénommé la machine toxique à scandales-, qui est en tête de la république mafieuse des prédateurs en bande organisée, règne en maître absolu au cœur de l’état familial avec ses tontons macoutes. Lequel est étonnamment adulé et apprécié manifestement hors de nos frontières extra-africaines, et dont la duplicité mordante ne se discute plus. Certes, l’aventurier, est démasqué depuis belle lurette, par sa nature surréaliste, ment plus qu’il ne respire.
En Europe, sa popularité reste plus que jamais intacte à l’extérieur qu’à l’intérieur du pays. Allez savoir pourquoi et pour cause ! Malgré ses nombreuses casseroles et ses dénégations à l’infini, à savoir les affaires grossières, qui s’amoncellent les unes après les autres, et qui éclaboussent le chantre du népotisme, de la corruption et de la pagaille en continu- je veux parler d’abord des affaires Jackpot père et fils, Arcelor Mittal et tant d’autres. Alors, l’ancien premier ministre Tony Blair, qui est périodiquement au palais « nédo ko bandoum ». « le scandale Arcelor Mittal : Tony Blair au cœur de la transaction entre Macky Sall et Mittal ». Il n’y a pas de fumée sans feu. En vérité celui qui est constamment décoré, n’est jamais l’odeur d’une sainteté.
Macky Sall, le Violeur – Casseur du Siècle au Sénégal: le Pouvoir est par définition, un Moyen de Chantage, de Jouissance et de Pression, pour régler ses comptes personnels avec son opposition. Ce n’est pas parce qu’il a gravi tous les échelons, selon la volonté de son ex mentor, qu’il est un véritable chef d’état exemplaire.
Il n’a jamais eu l’étoffe d’un président normal de la république. C’est une simple vue de l’esprit. D’autre part, la qualité d’institution, est un état d’esprit, ne se décrète pas, et point n’est besoin de la claironner partout et par médias étrangers, paternalistes, interposés, mais se vit nécessairement sur le terrain et ce par la matérialité des faits .
Or, depuis le triste regrettable soir historique du 25 mars 2012 à nos jours, le Sénégal, est tombé plus bas qu’il ne l’était hier sous d’autres cieux. La montagne a accouché d’une souris. En vérité, il s’agit bien d’une marchandise avariée. Point barre !
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, sous l’autel farfelu de la soi-disant sacro-sainte loi contre le terrorisme invisible au Sénégal- un fourre tout- tendant à légitimer par la ruse l’institution de la dictature en place, ne peut être en aucun cas, en marche, selon les intérêts décousus d’un despote terroriste, de son espèce, jusqu’à l’abîme, pour dire la vérité.
Le Cancre- Médiocre-Traitre haineux, dit l’encombrant Entonnoir Colonial, le sulfureux suffisant, verbeux Tribaliste, dans son piédestal, par son verbatim désarticulé et par ses ratonnades, qui lui collent à la peau, trie au volet, flagorne, gratifie hystériquement et élève à la pelle sans discernement ses généraux dociles, se contentent de jouer les supplétifs, car selon lui, le Pouvoir est un Moyen de Chantage et de Pression. Quand on est petit, on agit de la sorte, n’est-ce pas ?
Dans un état de droit supposé, il est quasiment impossible que l’on vote des lois, selon les orientations et les pulsions névrotiques et les intérêts antagoniques d’un chauffard, qui signale à gauche et tourne comme une girouette à droite.
Le plus surprenant, c’est qu’en même temps, le Variant Tropical- dénommé le caractériel, versatile de la tête aux pieds, qui n’a jamais dévié d’un pouce de sa trajectoire totalitaire, s’accroche mordicus dans sa tour d’ivoire, nous gouverne par la dictature qui tourne plus que jamais à plein régime, dicte lui-même ses propres lois sataniques, arbitraires et tyranniques, et réquisitionne et impose à tour de bras sa kyrielle mécanique, tondue, et dont le moins que l’on puisse dire, par son déchéance apparente, est totalement dévoyée et dévouée pour la cause et les faits d’une hélice déréglée, vote mécaniquement, chaque jour que dieu fait, des lois liberticides polluantes, à profusion, la tête baissée.
Le tout répressif sévit tout azimut sans état d’âme. Le but affiché, c’est de garantir le caractère d’impunité de son régime incurieux, corrompu, prédateur, et réduire et restreindre davantage les contradictions politiques et comprimer de facto la liberté d’expression et toutes les voix dissonantes indispensables, avec comme arrière-plan, d’assurer ses arriérés aussi opaques que la nuit.
Ses escapades décapantes, mortifères, et ses folies dépensières, inutiles ont aggravé un peu les cas en crescendo. Et « Le variant indien ou Delta » nous rappelle étrangement l’appellation incohérente de la grippe « dite Mexicaine » en 2009. Après la Chine, personne n’ignore que l’épicentre de la pandémie mortelle a été signalé en Europe avant de se propager à la planète entière. Comment un tel variant si contagieux, a pu se transformer en Delta, ou en Alpha à la Brexit, que sais-je encore ? Décidément le variant, est devenu un exutoire, un raccourci politique sur lequel s’arcboute le promoteur des transvasements à coups de mds FCFA.
Pour ce faire et croire pérenniser sa latitude démente, lapidaire, l’écharde à la démocratie, occupe le terrain, et occulte la politique sanitaire et la dépendance coloniale, ordonne à son amas de ramassis sémillants « doungourou »- camériers-, interposés d’écarter par la ruse, son opposition dans le jeu politique. Il avait déjà annoncé la couleur depuis belle lurette, met à exécution ce qu’il avait promis orbi et urbi à ciel ouvert : c’est-à-dire réduire absolument son opposition à sa plus simple expression, dont il n’a eu que du mépris abyssal.
Pour se maintenir au pouvoir par le socle de la terreur, et à la suite de la tempête Tropicale, qui a bien failli l’emporter dans les décombres des poubelles, et sous le fallacieux prétexte de troubles à l’ordre public d’un terrorisme imaginaire, ses dépités mécaniques ont voté promptement la modification du code pénal, de sorte que toute manifestation légale soit synonyme de terrorisme.
Il [Macky Sall] y ajoute nécessairement une couche épaisse supplémentaire, comme d’habitude, certes, la modification du code électoral a éliminé pour l’instant Karim Wade et Khalifa Sall. Sont-ils pour autant condamnés définitivement à la peine de mort politique, et peut être même Ousmane Sonko, si on le laisse faire ?
Je me suis déjà exprimé à maintes reprises sur la question. Les exemples foisonnent de partout dans le monde : au Brésil, le cas Lula, est là.
Peut-on déchoir définitivement des acteurs politiques pour le reste de leurs vies, selon les intérêts d’un médiocre, violeur et casseur du siècle au Sénégal ? C’est une mission vouée à l’échec, périlleuse et quasiment impossible. La fin justifie les moyens, fussent-ils abjects.
Il n’en a cure. Les morts, qui s’enchevêtrent à profusion ne comptent point. Après tout, c’est le résultat qui compte et sans état d’âme. Peu importe qu’il marche sur des cadavres pour arriver à ses fins.
La conception schizophrénique du revanchard boucanier visiblement autocrate, qui correspond à son pédigrée, ne dépasse pas le bout de son nez, car non seulement pour le lâche pantouflard, et dont la cécité alarmante , est synonyme de pathologie aggravée, le pouvoir est une jouissance- « PUKEURE »-, mais aussi un moyen de chantage et de pression, confond sciemment l’art de la stratégie politique et la malfaisance machiavélique.
À peine élu en mars 2012 et sous le fallacieux prétexte de la traque des biens mal acquis, spoliés et placés à l’étranger, l’étrange violeur-voleur du siècle au Sénégal, réactive arbitrairement et illégalement et par décret, sa CREI à lui,- qu’il considère son arme de guerre confiscatoire à la démocratie- déclenche par devers et tout azimut la chasse aux sorcières à géométrie variable et au double standard, place à ciel ouvert toute sa famille immédiate au cœur de l’état dans des structures de haut niveau, contrastant parfaitement avec leurs cv bidonnés de ramassis.
Cerise sur le gâteau, sa bande de canailles « taxrip » jusqu’à la lie, se promène en toute impunité et en toute circonstance, est à l’abri de toute poursuite judiciaire et ce devant le nez et à la barbe de la justice injuste, soumise et instrumentalisée, s’accommode bassement dans son rôle de supplétif.
On le sait, Karim Wade a été gracié et déporté an catimini contre son gré au Qatar, y compris Khalifa Sall, qui a perdu sa casquette de député-maire de la Capitale sénégalaise, pour avoir lorgné un peu le siège tant convoité.
Et Ousmane Sonko, le patriote, l’incontournable soldat panafricain, intrépide, auteur du brûlot célébrissime Pétrole et gaz au Sénégal, Chronique d’une spoliation. qui empêche le palais de dormir, est sous contrôle judiciaire, a lui aussi l’épée de Damoclès qui pèse sur sa tète, et jusqu’à quand donc ?
Et la bourrique, qui se gargarise pitoyablement le cheval de Troie d’une exemplarité cousue de fil blanc, demeure comme jamais le Berger Colonial, ne s’encombre outre mesure, d’aucune parcelle d’éthique, ni d’équité, passe tout son temps à promouvoir la culture de la trahison et l’anti panafricanisme. Que voulez-vous ?
Les âmes en pourrissement avancé, se ressemblent, s’unissent, s’assemblent à jamais, se reconnaissent toutes entre elles, n’est-ce pas ?
Pendant que les caïds multirécidivistes, ou les rats de terre, les vermines et la sarabande de racailles goinfrées, alignées, dont Aliou Sall Pétro-tim], digère sa proie dans les eaux troubles de l’apr, qui est par définition, le laboratoire et dépotoir des déchets toxiques, plus exactement l’abreuvoir de l’indécence cyniquement exhibitionniste des prédateurs et des pillards béni oui-oui en vase clos, en tête desquels figurent naturellement en première loge, les très prolixes Mame Mbaye Niang[ prodac], Cheikh Omar Hann et Cie [Scandale au cœur de la République – Le dossier du COUD /auteur Pape Alé Niang, le journaliste professionnel d’investigation.
Les mêmes n’ont que des insultes, de la haine viscérale et du sang dans la bouche, pour exister, vivent aux crochets de l’état inquisitoire, bénéficient immoralement, ostensiblement et de façon attentatoire du philtre magique d’en haut, est juge et partie, et qui s’ auto déclare affreusement en Belgique, le parangon du développement et de l’anticorruption, est bien l’habitacle de la corruption massive à haut débit.
Et Bougane Dany Guèye, qui veut succéder à tout prix au maître de l’esbroufe, laisse des plumes : « ON VIENT DE M’ENVOYER UN REDRESSEMENT FISCAL DE 2, 4 MDS F CFA.
Il ne sert à rien que nous ayons des corps de contrôle institutionnels, si ces cohortes sont sous les bottes et le contrôle d’un fraudeur nègre de services, a réécrit le scénario du film, s’est lui-même taillé sur mesure son score fantasmagorique digne d’un tyran. Lors de la parodie présidentielle de 2019, via son juge politique, en l’occurrence, Demba Kandji, s’ est auto déclare lui-même , le vainqueur et le maître des horloges des leurres.