Macky Sall, L’Envoyé Spécial Colonial en Afrique À Paris. Par Ahmadou Diop
Macky Sall, le terroriste intégriste cherche-t-il une bouée de sauvetage sur sa gouvernance moribonde de piètre qualité, qu’il tente de blanchir vaille que vaille par ses méthodes fascistes ? Que prépare le pantin de service à Paris ? L’homme semble agir de concert et par télépathie cordiale avec son chef, Abdou Diouf, le Commandant des Esclaves, bénis. C’est Un secret de polichinelle, il n’y a ni moins ni plus. Point barre.
L’occident ne soutient que des dictateurs africains qui lui sont favorables. C’est la règle que personne ne peut nier.
Macky Sall, le français À Paris, est chez lui Pour une Visite D’état. Une honte que l’on ne saurait passer sous silence. Ce n’est nullement une visite D’état, mais l’homme a bien élu domicile dans son fief traditionnel, auquel il paie des impôts, avoisinant des millions d’euros, en sus de ce qu’il en fait autant chez le pays d’Obama- Trump, vient constamment, régulièrement pour prendre directement des directives qu’il respecte à la lettre, sans qu’il ait besoin de broncher, comme tout félon de son espèce.
Pendant que les sénégalais trinquent, le fraudeur continue ses escapades et dépense sans compter l’argent du contribuable sénégalais astiqué d’impôts et criblé de toutes sortes de taxes.
Macky Sall A paris : « Je ne mêle jamais ma famille à la gestion du pays »
Plus menteur pollueur, nihiliste, négationniste que Macky Sall, l’effroyable pitre, irrécupérable tu n’existes pas dans le monde. L’indignité correspond au diable pedigree de naissance, de son espèce
L’archétype densifie froidement à la place publique et au cœur de Paris ses sorties monstrueuses, purulentes démoniaques par saccades, disent en long sur l’état pathologique d’un minable défroqué irréversiblement atteint de cécité, n’a pas d’alter Ego.
L’apostat, le mécréant, vulgaire menteur profanateur culotté dans l’âme sans vergogne, ment plus qu’il ne respire que notre pays, le Sénégal ait jamais connu dans son histoire.
Il est un mythomane né, le plus ridicule hors pair de classe exceptionnelle par ses menteries suffocantes.
Qui peut vraiment croire aux insolentes inepties incommensurables du plus lamentable tonitruant archétypique traitre médiocre ?
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, depuis les parodies des indépendances formelles de la dépendance dynamique à nos jours, le gotha des 14 pays des renégats, asservis, tous assujettis, accroupis, s’accordent par leur indignité et leurs trahisons massives, incompressibles, préfèrent porter la corde autour de leurs cous, plutôt d’assurer la souveraineté de leurs pays respectifs sous tutelle coloniale.
Dans ces conditions, il va sans dire que la platitude manifeste des médiocres de service plombe dangereusement le développement de l’Afrique, la démocratie et les libertés fondamentales des citoyens.
Quand certains pays africains sortent la tête de l’eau pour émerger, le Sénégal, hélas, cette étrange terre, obscure des mercenaires, dont en tête desquels Abdou Diouf, l’agent français le plus docile et sa doublure, nègre de service, prennent le contrepied de l’Egyptologue, scientifique sénégalais, Cheikh Anta Diop, le digne fils du continent africain-ou la profusion de la référence emblématique, charismatique par excellence de l’homme de l’intellectuel noir, voire même mondial, fut incontestablement la figure de proue exemplaire et à juste titre, comme étant la pierre angulaire du panafricanisme, le représentant le plus tenace, le plus coriace, qui plaida pour la cause et la dignité africaine de toute l’histoire mondiale par sa capacité mentale, qu’il partagea, jusqu’à sa mort avec le leader exceptionnel ghanéen, Nkwamé Nkrumah, l’autre panafricain, mort en exil en Roumanie, le 27 avril 1972, pour ses convictions politiques légitimes et l’amour de toute l’Afrique noire à l’échelle continentale africaine.
Tous les chefs d’État de la CEDEAO ont décidé de se rendre à Banjul le 19 janvier pour l’investiture d Adama Barrow.
Que nenni ! La mafia africaine, franc-maçonnique des larbins cartellisés, envoyés aux charbons « doungourou » plastronne et promet de se rendre Banjul le 19 janvier. Pas si sûr qu’ils le laissent croire. La Com ‘ de caniveau de la ribambelle sévit. Il pourrait y avoir des surprises.
Un bluff ou une ruse qui en dit long sur leur bassesse. Les mêmes donneurs de leçons, fouteurs de troubles, qui ne sont pas propres doivent s’appliquer eux-mêmes la même règle qu’ils prétendent donner à Yaya Jammeh, le dictateur. Quand l’hypocrisie du conglomérat unifié à l’échelle continentale, tient l’Afrique et retarde son émergence plurielle.
Pour qui travaille, le pion, l’échevelé ? L’homme se complait hystériquement dans son rôle d’Envoyé Spécial Colonial en Afrique, accrédité à Dakar, s’adjuge tout et agit promptement pour plaire à ses supérieurs outre atlantiques par-delà de l’hémisphère nord. Adama barow semble prêt, pour livrer yaya Jammeh à la CPI.
Tout africain enchanté par le tribunal international suprémaciste blanc bon teint, est un traitre par définition en chair et en os. Le tribunal ne juge jamais des coupables occidentaux, qui ont occupé des postes de haut niveau. Il n’y a que des nègres présumés indigènes, qui soient traduits à la cour pénale internationale.
De 2000- 2014 : Abdou Diouf était invisible sur le paysage politique sénégalais. Bizarrement comme par hasard, décidément, l’homme des français et des lobbies mafieux, surgit des ténèbres, au lieu de prendre sa retraite, l’homme reprend du service, assiste le traitre nègre de service qu’il manipule à sa propre guise.
Ceux qui se ressemblent, s’assemblent le plus naturellement du monde. Le traitre est beaucoup plus présent à l’extérieur, notamment en France qu’à l’intérieur du Sénégal. Tout sert de prétexte pour qu’il voyage et dépense sans compter du contribuable sénégalais qu’il confond avec sa poche. la gouvernance incurieuse du nullard constitue à n’en pas douter, un gouffre financier, insurmontable, dont les conséquences désastreuses, sont incalculables. que voulez-vous, chez les nègres valets de l’impérialisme international, le pouvoir est une question de jouissance et de brutalité.
Les serviles fascistes n’en ont cure de la misère sociale, ce qui compte pour eux, c’est leur propre surmoi qui ne dépasse nullement le bout de leur nez.
L’éternel pigeon, apocalyptique, voyageur dans les airs, dénommé, à juste titre, le parisien noir, tout comme Abdou Diouf, son mentor, père spirituel, lui-même apparaît plus francophile que sénégalophile. Le terroriste non repenti, qui promène à Paris, peut reporter les législatives et par-delà les présidentielles de 2019.
Comme tout félon de son espèce, le diable en chair et en os, tente d’y trouve son pain béni, pour distiller ses mensonges grotesques, adroits, comme tout fasciste de sa trempe.
En vérité, l’archétype de la mal gouvernance et promoteur du népotisme, s’érige le symbole de la délinquance, cache immanquablement son incapacité à nous gouverner sereinement, car ses trahisons multiples dont il ne cesse de nous habituer à longueur de journées, depuis, hélas, le soir du 25 mars 2012, prouvent qu’il tient à se dépêtrer des raisons pour lesquelles, il a été élu à défaut et par dépit.
Le vote électoraliste présidentialiste, qui date de 5 ans, n’a pas été l’expression du peuple mature politiquement, ni une quelconque adhésion totale d’un programme cohérent, bien ficelé, fondé sur l’éthique et l’équité. Les sénégalais ont été des victimes, grugées, tondues, téléguidées et roulées dans la farine par les médias de servitude, mercenaires, clientélistes. Il ne s’agissait tout simplement d’une sotte d’humeur, que l’on peut qualifier rationnellement à une sanction contre Abdoulaye wade.
L’eau non potable qui contient du plomb menace réellement la santé des citoyens, surtout les campagnes rurales.
L’aéroport international blaise Diagne est encore reporté d’un an, selon le calendrier caché d’un escroc. A quoi bon de le réélire ? Le Train Express Régional ? Quel est son impact réel en termes d’économie d’emplois durables ?
En vérité, nous n’avons ni des patriotes et des panafricains au cœur de l’état personnalisé, mais des usurpateurs – mercenaires –combinards en bande mafieuse-organisée –workat, abusent de la force publique, à dessein de museler toute contradiction politique et pour croire pouvoir échapper demain à la justice et couvrir leurs forfaits imprescriptibles.
A quoi sert de donner du crédit à des prestidigitateurs qui confectionnent des programmes lénifiants, mielleux, si les mêmes qui ont la mémoire courte, les piétinent une fois qu’ils sont sous les lambris dorés du palais. Pour les menteurs professionnels, les promesses électorales n’engagent que les citoyens présagés, agencés de seconde zone.