Macky Sall : l’invariable démon et ses habituelles élucubrations. Par Ahmadou Diop CPC.

Le Sénégal, n’est jamais aussi tombé aussi bas, régresse dangereusement et à petit feu et se réduit comme une peau de chagrin. Depuis 8 ans, on n’a jamais aussi déversé autant de littérature que sous le règne d’un régime le plus scandaleux du siècle avec son écosystème d’apartheid visiblement made « Nédo ko bandoum » qu’on n’ait connu à ce jour.
Comme à l’accoutumée, la machine propagandiste de référence mondialiste, paternaliste jusqu’à la lie, demeure plus que jamais le relais de l’esbroufe, pour se dédouaner par la baguette magique, et arrondir les angles et cintrer les coins, tente de sauver le soldat indigne, le naufragé de la françafrique, par la ruse, prend les devants, titre emphatiquement « Macky Sall brise le silence », comme pour l’excuser entre les lignes l’autocrate pantin, déclaré, non éclairé, ou la mascotte de la culture de la trahison en continu.
Le mercenaire dévergondé, pimente encore une fois de plus à la place publique, ses légèretés si fumantes, décousues et irrationnelles, selon lesquelles, « Si je dis que je ne serai pas candidat, les membres du gouvernement ne vont plus travailler, chacun va essayer de se positionner. Si je dis que je serai candidat, une vive polémique va s’ensuivre».
La machine toxique, trompe-l’œil n’a jamais brisé le silence sur le 3 EME MANDAT illégitime, c’est archi faux.
Le caniche est toujours aussi bavard que jamais, renforce sa parole par son nombrilisme suffocant. Un tel taux d’adrénaline démesuré de la part d’un escroc égoïste, en dit long sur un monstre, qui relègue au second plan l’intérêt supérieur de la nation sénégalais, balaie d’un revers de main le suffrage universaliste de tout un peuple. Il s’agit tout simplement d’un manque chronique de considération envers le peuple sénégalais, dont il n’a que du mépris.
En Europe et aux États-Unis et dans le monde civilisé, l’interdiction du 3 eme mandat, est inviolable et respectée à la lettre, reste un consensus partagé, qu’on ne discute point, sous aucun prétexte. Curieusement en Afrique des faquins, ça se discute ouvertement, comme les élites traitresses ont droit de vie et de mort sur l’ensemble des citoyens, sont présumés des sujets modulables et crevables et à merci.
Le comble du comble, est que parmi la sarabande de journalistes présagés professionnels, triés au volet sur le plateau, face au numéro du monologue, menteur professionnel, mécréant, franc-maçon et ses rapines endiablées, il n’y a pas un seul d’entre eux qui eût le réflexe à faire avaler ses pirouettes mensongères et ses échappées torrides et ce par une démonstration magistrale et preuves à l’appui.
En conséquence, excellence des leurres –mon œil, sous aucun prétexte, nous ne pouvons pas avoir ni aucune courtoisie, ni lui accorder la moindre circonstance atténuante, peu ou prou, puisqu’elle n’a aucun mérite, ni respect, ni égard à son encontre, à partir du moment où elle continue à fouler du pied les intérêts vitaux de notre pays, le Sénégal.
En vérité, le pays de la téranga, malgré son apparence de piètre qualité, fait partie des pays les plus corrompus de la planète entière, où les inégalités sociales, criardes sont monnaie courantes. Une minorité clientéliste toute puissante, est abondamment arrosée par les deniers de l’état, tandis que le reste fataliste et résigné, est laissé pour compte sur le quai, ne mange à leur faim, manque de soins de santé les plus les plus élémentaires. C’est la face cachée du Sénégal étrange et à la renverse, mais un tabou.
Par ailleurs, pour faire beau, l’éco, a remplacé le FCFA, ou la colonie française d’Afrique, dite l’ingérence monétaire, la montagne a accouché d’une souris, puisque ce dernier, est toujours garanti et arrimé à l’euro et par le même gendarme colonial. Lequel imprime les billets et choisit le nombre et contrôle en France métropole .
Rien n’a véritablement changé d’un iota, et tout continue dans le meilleur des mondes, comme rien n’était. Celui qui fabrique la monnaie des 15 pays africains sous tutelle coloniale, contrôle non seulement les élites de pacotille, mais contrôle et dicte aussi sa loi et de facto toutes leurs économies respectives. En politique, tout se tient.
Par ricochet, les pays africains francophones qui n’ont pas leur souveraineté monétaire et leur défense nationale, ne sont pas en réalité ni libres, ni indépendants. Croire que nous sommes affranchis relève d’une illusion monumentale.
Comme d’habitude, depuis le triste et regrettable soir historique du 25 mars 2012 à nos jours, le même berger colonial, caractériel, nous sert le même menu, fait du réchauffé à chaque 31 décembre, blanchit son bilan si chaotique, met en exergue ses prétendues réalisations imaginaires, avec des chiffres bidons, qu’il aligne abondamment à l’appui, et ce au nom d’un sénégalais émergent, contraste parfaitement avec l’augmentation inconsidérée du prix de l’électricité.
Pis encore, la majorité des sénégalais s’appauvrissent davantage et de plus en plus, qui subissent drastiquement les effets combinés et simultanés par les éternels plans structurels de la banque mondiale et du FMI , symbolisées par les deux institutions de dominations capitalistes, impérialistes, et dont l’existence est de nature à piller de fond à comble, plombe et retarde durablement tout décollage de l’Afrique à l’échelle continentale.
Contrairement à ce qu’elle laisse croire, le tourniquet apocalyptique n’y va sur plus sur le dos de la cuillère, reste droit dans ses bottes, fixe le cap, n’a que des intentions malveillantes et du mépris abyssal contre nous tous, n’en démord pas, ne compte jamais dévier d’un pouce sur sa trajectoire mortifère, encore moins de briser le silence dans le sens des progrès, n’en a cure et peu importe les récriminations populaires, légitime.
Le vassal teigneux béni oui, oui, l’arrogant, le suffisant, le traitre versatile en chair et en os, signe et persiste, se complaît dans le flou, ne change pas, cristallise les esprits, et entretient sciemment et froidement le doute sur sa candidature présidentielle illégale en 2024.
L’Insaisissable voyou taciturne des ritournelles, dit le minable imposteur, enivré par l’euphorie du pouvoir, dans l’âme jusqu’à l’abime, se croit plus futé que nous tous, dans le secret des dieux, semble-t-il, mesure la température ambiante, confond la malfaisance et la stratégie, deux notions opposées antagoniques , c’est à dire la tactique politique et le sadisme, veut créer à tout prix l’effet de surprise, en prêchant la rhétorique de caniveau par le faux suspense.
Un tel personnage atypique, reste impassible, est toujours fidèle à lui-même, tente de mettre en avant ses propres intérêts crypto personnels mal placés, et ceux de ses parrains tapis dans l’ombre, qui lui donnent des ordres. Pour ce faire, il tient mordicus à faire avaler la pilule amère, pour arriver à ses fins de basse besogne.
Je l’ai déjà écrit et martelé à maintes reprises. On aura beau maquiller broc à bric le produit de parues pour bien le vendre sur le marché, mais quelles que soient les notices et les retouches nécessairement transcendantales au nom d’une image trans-internationale pour la présenter sous de faux postulats, il n’en demeure pas moins vrai qu’elle porte en elle-même l’estampille nocive, éternelle devant l’éternel, puisque la substance magico- moléculaire laisse apparaitre nettement des défauts de fiabilité. Instrumentalisation, manipulations, désinformations, tromperie, démagogie outrancière. Bref, le socle de l’enfumage classique continue ! Voilà la continuation permanente à l’épreuve sans rupture ! La bête immonde reprend du poil.
le régime monarchique- prédateur présidentialiste, ou l’idéologie colonialiste, sous le socle et versus le prétendu droit international se supplée à notre de mode de civilisation et nos valeurs traditionnelles historiques.
La frontière entre le droit dit INTERNATIONAL ET LES NOUVEAUX PRESIDENTS-MONARQUES ASSISTES [PMA], est poreuse.
Le Sénégal préfère perdre, hélas, étioler son âme et ses valeurs, pour s’aliéner tout seul, copie servilement les valeurs idéologiques venues d’ailleurs, adopte servilement la monarchie présidentielle, pensée et élaborée par les mêmes, qui nous ont réduits en simples marchandises durant 5 siècles. Lesquelles ont permis la création de leurs banques, leur essor économique et leur développement industriel en pleine expansion.
Nous sommes toujours sous l’ère coloniale, malgré nos discours de haut niveau. Car Le paradigme triomphaliste colonialiste, fait florès, imprime par devers sa marque digitale, est présumé universaliste. En revanche, nous avons déporté toutes nos valeurs traditionnelles et notre civilisation d’antan, pour les mettre aux vestiaires, que nous considérons décadentes.
En adoptant le nazisme monétaire, les institutions et la langue, Nous n’avons pas ni des états libres, indépendants et souverains, mais des relais tondus, au service de nos oppresseurs.
Toutes les interventions européennes en Afrique portent exclusivement la marque de fabrique idéologique et sur fond de leurs propres valeurs culturelles. Elle le dit tout haut et sans langue de bois. L’interventionnisme humanitariste, qui rime avec paternalisme, porte un caractère expansionniste soft, dans les faits établis.
Le colonialisme a démantelé la prétendue féodalité monarchique, ringarde, et on la commuté par une autre, qui est pire que tout , se nomme universaliste des leurres.
Le va-t-en guerre, ou le désarticulé en place, du haut de son rang, par sa lâcheté inouïe, et corrodante, et ce malgré ce qu’il affiche publiquement, veut laver à grande eau et blanchir à la fois le 3 EME MANDAT ILLEGAL et ses trahisons cataclysmiques abondantes, récurrentes par ses justiciers interposés, tous ferrés, bridés, ne sont que des jouets et des corrompus.
Selon le droit international édicté par les mêmes leuco dermes suprémacistes, impérialistes, l’impunité des marionnettes pantins qui prime sur tout, doit être nécessairement source de pédagogie immuable.
Rappel de LA CHARTE DE L’IMPÉRIALISME ou « La Charte de la Servitude » :
En témoignent éloquemment les ramassis farandoles pantins, acrobates satellites au premier rang desquels Juan Gaido, Ouattara et Macky SALL en constituent une parfaite illustration. Qui donc le nier ?