Où sont donc le Doyen des Juges, Massamba Sall et le Procureur, Serigne Bassirou Guèye ? Par Ahmadou Diop.
CPC- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW exige l’ouverture immédiate d’une enquête sur l’Affaire Mame Mbaye Niang, les assassinats et les scandales : la justice tenue en laisse brille-t-elle par son silence coupable ?
Face aux affaires scandaleuses du régime fasciste de la décadence et les escalades massives des assassinats torrentiels, jamais élucidés, la justice politique farandole Nommément instrumentalisée de la tète aux pieds —, qui est fondamentalement discriminatoire de fond en comble, vouée aux gémonies totalitaires du despote Macky Sall, rend-elle vraiment des décisions convaincantes en toute conscience au nom du peuple par le peuple et pour le peuple, ou s’accommode-elle du Ndiguel » permanent, venu d’en haut ?
Nous ne le croyons pas, puisqu’elle est hérétique, ne s’aligne et s’exécute que ce qu’on lui dicte, le couteau sous la gorge. À cet effet, il est temps de Dynamiter les verrous, les tabous, pour les esprits : un devoir moral, de civisme et de patriotisme en action matérielle.
Quant à nous, qui sommes membres actifs de la Conscience patriotique pour le changement- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW, déclarons solennellement nulle et venue la loi scélérate sur le parrainage adukalpé – Foxarchi- kef-nanguti !
Le bouffon terrible de la mal gouvernance, qui défraie quotidiennement la chronique, continue encore ses escapades burlesques, par sa désinvolture flegmatique, sous le fallacieux prétexte d’un patriotisme hypocrite, atterrit à Moscou avec une délégation et à l’occasion de la coupe du mondiale, soi-disant pour supporter en bandoulière les lions de la Téranga, et dont les contribuables sénégalais, oubliés, fatigués, criblés d’impôts et de taxes de toutes sortes, tous lassés et laissés pour compte sur quai, payent absolument les frais additionnels en continu. Ce qui alourdit autant un gouffre financier grossier.
S’agit-il donc d’une récupération politique ? La réponse ne souffre d’aucune discussion possible.
Or, ces derniers ne sont pas pour l’instant présents à Moscou, à l’exception de Mohamed ben Salman, dont l’équipe a été battue. La morale aurait voulu qu’il attende d’abord que les lions de la Téranga soient présents aux demi-finales.
Mais l’oiseau de mauvais augure, ou l’éternel pigeon voyageur dans les airs, n’en a cure, n’en démord jamais, dépense sans compter, jouit du pouvoir, ne vise qu’à engranger des dividendes politiques de bas étage. Le but recherché, est que les médias de la sarabande relayent et labellisent l’image décriée à la scène internationale, à la seule fin de croire redorer son blason terriblement écorné. On peut s’attendre raisonnablement qu’il fasse nécessairement un détour immanquable à Paris, son passage obligé.
Le meurtrier du regretté Fallou Sène, bien connu, se promène librement, comme si rien n’était. Même chose pour les assassins de Bassirou Faye et de Fatou Matar Ndiaye, la défunte militante à la sauce apr. Une spécialité criminelle, semble-il, du régime pourri, avarié, s’autoproclame un donneur de leçons, agit sans éthique ni équité et s’y complait.
Qui peut compter les dérives et les crimes de l’ASP- viole en toute impunité une femme handicapée physique ?
Grâce présidentielle des fêtes religieuses devient un instrument politique au service du despote mercenaire.
La sale politique de Coumba am ndeye ak Coumba Amul dey dirigée par le premier bandit de la république de la racaille en bande organisée et sa cohorte de ramassis sèment la pagaille, agissent tout vent et sans foi ni loi depuis le 25 mars 2012.
Le premier cambrioleur, ou l’homme du foutoir et des galéjades, désigné à la fois le braqueur électoral et le Caniche de l’occident, reste le plus sûr servile en Afrique des larbins guignols, tient sa justice qui s’exécute pitoyablement.
Deux types de citoyens s’opposent. Le premier pour un oui ou pour un non, pourvu qu’il soit suspect, est cueilli manu militari, bénéficie d’un mandat de dépôt, sans qu’il ait la possibilité de se défendre, tandis que le second, bénéficie de facto de passe droit, tant qu’il est dans l’escarcelle mafieuse de l’état apr., grâce aux largesses incommensurables du chef de l’exécutif, qui est juge et partie, s’applique à lui-même l’adage, selon lequel il ne peut scier la branche sur laquelle il est assis.
Qu’attendent donc les deux personnages singuliers, symbolisés respectivement par les soi-disant procureur Serigne Bassirou Guèye et le juge, Massamba Sall, pour s’autosaisir et fouiner et enquêter avec fracas de façon diligente sur la prétendue Fondation nébuleuse Bidon « Servir le Sénégal », pour Asservir le Sénégal —Un instrument de domination et de propagande, cataclysmiques, indignes, indigestes —pour les beaux d’un couple de malfaiteurs organisés en association de terroristes—, et dont l’objectif majeur ne vise qu’à transvaser et blanchir par la ruse des milliards de F CFA, sortis de terre, on ne sait où et comment, sont détournés à des fins professionnelles et politiques, voire personnelles—, sont à la disposition de Marième Faye, qui porte servilement des cheveux de cadavres d’indiennes sur sa tête, pour paraphraser un afriquemonde.org
La femme fatale au culte de la personnalité et de l’idolâtrie et de la démesure, pour exister, l’écervelée, est encartée à la peau blanche bon teint, tente de compenser ses tares abyssales, qui lui collent à la peau, se refugie derrière des lunettes noires fumée avec des parures ostentatoires et attentatoires.
Et ce n’est pas tout, puisqu’elle s’autorise des sacs valant la bagatelle de plus de 19000 euros, pour une femme, si pauvre, très pauvre même, hier, tirait le diable par la queue, vivait avec son mari dans les quartiers populaires de la capitale sénégalaise. Evidemment, elle a bien la mémoire courte tout comme son époux « Fouille et Mbew », qui a déjà bu le calice jusqu’à la lie, élague, cisaille, non seulement toutes les libertés d’expression indispensables. Pis encore, le minable viole systématiquement le premier droit inaliénable d’un peuple libre, mais réduit aussi de façon drastique, toute démocratie et toute son opposition à sa plus simple expression et toute capacité de résistance, qui lui font de l’ombre. Le ridicule ne tue plus dans notre pays étrange et à la renverse. Circulez, il n’ya rien à voir et rompez les rangs !
Quelle image renvoie-t-elle à la jeunesse africaine féminine ?
À qui la faute ? Évidemment, nous sommes mal barrés, lorsque nous avons des élites complexées, négresses de service, de la tête aux pieds de la trempe Macky Sall , Ouattara et Cie, ou le Modélisme des racailles unifiées, accroupies à l’échelle supra nationale africaine comment voulez-vous que l’on nous respecte ?
Celle qui est désormais dénommée pompeusement la première dame affreuse, se métamorphose en femme fatale aux vertus peu orthodoxes, ou l’ apanage étrange guichet automatique, curieusement, n’a aucun poste officiel au regard de la constitution moribonde, agit ouvertement au nez et sous la barbe de la justice, avec la complicité directe de son mari, lequel paraît peu regardant, se passe allégrement de tout et se substitue éperdument de l’état receveur, collectionne à tour de bras des mrds de F CFA et des cargaisons de dons matériels de toutes sortes, de la part des états donateurs.
En vérité, nous avons affaire à un couple maléfique de receleurs, nés chapardeurs dans l’âme jusqu’à l’abysse, excellant dans l’art du blanchiment d’argent ténébreux en continu. Chaque jour que dieu fait avec son lot de fadaises grossières empilées les unes après les autres, car la vraie vice- présidente réelle, adoube bizarrement son mari, fait parler d’elle, distribue sans compter des quantités industrielles de chèques innombrables, au nom d’un altruisme miraculeux, baroque, suffocant à couper le souffle. Les fins d’année qui défraient hystériquement la chronique n’échappent plus à la règle de la tyrannie. Pour ce faire, une certaine presse monopolisée, farandole, corrompue, alignée par le pouvoir tortionnaire, calamiteux, se charge lamentablement de relayer la propagande de piètre qualité à l’échelle nationale.
Décidément, Marième Faye, s’autoproclame bassement le symbole de la Baraka- imaginaire- Nguistane – et ceci sous la caméra tape- l’œil -, immortalise le spectacle permanent, surréaliste, et sous le fallacieux prétexte de la bienfaisance ou d’un humanitarisme repoussant, envoie sa tante, interposée, avec un chèque de 3 million de FCFA, libellé au nom des parents du nouveau- né, comblé. Comme un effet de boomerang, les poussettes et les couches pour bébé s’amoncellent pour une période d’au moins de deux ou trois ans. Et la recherche de la machine ordurière clientéliste de la corruption généralisée à haut débit, qui n’y va plus sur le dos de la cuillère, parraine ce qu’il est convenu d’appeler le label grotesque d’une supercherie gouvernementale ethnique, familiale de la ribambelle. Il n’y a plus ni plus ni moins.
Voilà donc en continu un prête-nom de l’apr d’une pourriture, pour animer la campagne électorale, déloyale et décousue du Secrétaire Général, qui n’est rien d’autre que macky Sall himself en chair et en os, s’autoproclamant un donneur de leçons. Mon œil ! Ce qui dit en long sur le règne d’un régime le plus scandaleux le plus long et le plus ordurier dans toute l’histoire du Sénégal que nous ayons connue ait connu à ce jour, malgré l’abondance du tapage médiatico-politico, emphatique, inflationniste, d’un surréalisme mortifère de l’indécence.
Et les 12 milliards de f CFA qu’aurait versés Une compagnie pétrolière à Une certaine Association, selon le journaliste d’investigation, Baba Aidara ?
LE DÉCRET QUI ENFONCE MACKY ET ALIOU SALL, Aliou Sall, frere du président Macky Sall, journaliste de nom, n’a jamais écrit en tant qu’un professionnel en la matière- est maire de la ville de Guediawaye, banquier, directeur général de la Caisse des dépôts et consignation, en remplacement de Thierno Niane, s’arroge administrateur de plusieurs sociétés d’écran, dont Sahel Aviation, qui est domicilié aux Etats-Unis, un prête-nom ? Les documents publiés par le journaliste d’investigation Baba Aïdara, en date du 5 juin 2012.
Qu’attendent donc le procureur Serigne Bassirou Guèye et le juge, Massamba Sall ?
Il est inacceptable que dans un état de droit qu’un chef de parti politique, fût-il un président de la république puisse s’accommoder l’impunité de se servir des deniers de l’état, utilise par devers et librement sans contrôle une structure présumée philanthropique, est en réalité, dans les faits accablants, un outil politique, caché, au service du chef de l’exécutif, et dont le moins que l’on puisse dire par son caractère ostentatoire et e attentatoire, n’échappe plus à personne.
Qu’attendent le procureur Serigne Bassirou Guèye et le juge, Massamba Sall sur l’affaire scabreuse constituée par l’argent russe- dont 1 million 500 euros épinglent directement le Sallgate et Jakpot père fils? Si Macly Sall n’a rien à se reprocher, on peut se demander pourquoi il ne refuse de livrer le délinquant Massata Diack à la justice française. Pourquoi l’arroseur arrosé, -t–il traîne les pieds pour livrer le colis encombrant ?
Et le scandale du secret de l’autoroute à péage Dakar Diamniadio et ses zones d’ombre bruyants ? Le Groupe Eiffage, empoche par devers 148 MRDS de F CFA, s’octroie librement un marché de 30 ans pour un tronçon de 20 km entre PIKINE et DIAMNIADO. Pendant ce temps, sur l’affaire karim wade, l’état du Sénégal, qui avait porté plainte à paris contre le fils de son père, en l’occurrence, l’ancien super ministre d’état du Ciel et de la Terre. Et le tribunal a fini par débouter plus d’une fois l’état-apr Macky Sall.
Quant à khalifa Sall, il est toujours en prison pour escroquerie et détournement d’un milliard 800.000 FCFA sur la caisse d’avance présumée, sans s’enrichir lui-même personnellement. La commission d’instruction (Ci) de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), qui a confié à Abdoulaye Sylla, l’administration provisoire de Ahs, qui est basée…aux Iles Vierges Britanniques, traine une ardoise de plus 800 MILLIONS de FCFA, court toujours, ne s’inquiète pas outre mesure. Awa Coudou Ndiaye et Omar Hann, deux apéristes chevronnés, bénéficient tous les deux incontestablement d’un soutien du chef de l’exécutif. Deux poids et deux mesures. Etrange !
Les éternels tripatouillages des institutions étrangères savamment élaborées pensées par les valets les plus sûrs de la Françafrique- Senghor, Houphouët boigny- paix à leurs âmes- dont Alassane Ouattara et son acolyte pédigrée, Macky Sall et Cie, tous soumis, ne visent qu’à confisquer durablement le pouvoir par la ruse.
Qui peut compter donc les coups d’état permanents de la part du symbole pour la unième fois et à quelques encablures des cirques électoraux en bande organisée ? Le personnage singulier atypique, entre avec fracas et de plein pied dans la cour des dictateurs autocrates incorrigibles à l’échelle africaine francophone, restent tous des asservis. L’inimitable escroc en place, au Sénégal au cœur de l’état sénégalais, n’a rien à envier à Paul Biya et son collègue ivoirien, est venu au pouvoir grâce aux coups de canon du gendarme colonial. Alors, que l’auteur polémiste, accouche ce qu’il appelle la rhétorique de caniveau – dénommée pompeusement « Conviction Républicaine », n’est rien de plus « un Convictionnisme » peu glorieux. Un euphémisme pour dire qu’il est pire que l’octogénaire, maître du Cameroun, qui confond sa poche et celle de son pays.
Les intérêts colonialistes, moribonds ne doivent pas être supérieurs à ceux de la nation sénégalaise.