Place maintenant à la légitime défense contre la tyrannie et l’arbitraire !
Nanou boloo nek ben djoobo ci sunu biir » pour en découdre avec le pantin de classe exceptionnelle, devenu un obscur multimilliardaire, sorti de terre et des ténèbres on ne sait où et comment.
Unissons toutes nos forces contre la tyrannie et l’arbitraire satanique !
Demain, c’est maintenant ! Point n’est besoin de reporter ce qui est bien possible aujourd’hui ! Nous avons été charitables jusqu’ici au risque d’être ridicules. Ça suffit maintenant ! Et la récréation est terminée.
Depuis le soir du 25 mars 2012, l’autoritarisme sévit de plus belle sans que rien ne l’arrête pour l’instant. Depuis cette date historique, malheureuse, tout sert nécessairement de déstabilisation système pour interdire tout et n’importe quoi. Sommes-nous donc des moins que rien ou des couards pour se plier aux règles de la tyrannie et de l’arbitraire de la salissure envahissante ? Il est maintenant temps d’organiser la riposte nécessaire, qui doit être obligatoirement proportionnelle à l’impunité à propension. La contradiction politique doit servir de levier pour nous tirer d’affaire des griffes d’un tyran traitre de la démesure. « Ku xamul buur déna, nioo waxko né buur say na », en langage clair, qui ne comprend le roi a disparu, on lui dit que le roi est mort ».
Comme je l’écrivais déjà dans un article en date sur 22 Juillet 2011[Contribution]- Sénégal-la liberté au nom de la démocratie, suite au ticket vice-président à l’assemblée nationale, je reprends nécessairement du service pour demander le départ, sans condition du nullard, Macky Sall, opposant de circonstance, fraudeur au plus sommet de l’état !
Depuis le 25 mars 2012, «la politique répréhensible du maatey ak diay doley » ou le service après vente de la médiocrité des promesses électorales non tenues, va de report en port pour les municipales comme si le pays tout entier est devenu un objet personnel pour le plaisir d’un despote honni.
Face à la loi de l’arbitraire et de la tyrannie, la légitime défense par la lutte sans merci, s’impose, maintenant, pour balayer définitivement les ailes démesurées de ce nègre fraudeur de service, incorrigible, aujourd’hui, au plus haut sommet de l’état par l’étourderie massive, généralisée à grande échelle, lors du grand cirque électoraliste de la part des sénégalais totalement grugés, sous le parrainage effectif des lobbies locaux convertis en pantins, lesquels en totale osmose avec le syndicat international des oligarchies financières , extérieures, aux odeurs colonialistes, tapies dans l’ombre, ont crée nos éternelles déconvenues. Les causes apparentes ne doivent nullement servir les mauvaises raisons.
Rebelote, nous avons vu et vécu. Nous n’avons qu’un seul choix que de le bouter pour le mettre hors d’état de nous nuire. C’est le seul choix qui s’impose, maintenant pour défénestrer ce nègre de service non repenti, bien trempé dans les eaux troubles de la franc-maçonnerie, articulée à la sauce de la françafrique, la filiale de la francophonie, cette insulte permanente contre les consciences libres, qu’on tient à diluer et qui fait vent debout contre tout. Tout pour en finir définitivement avec celui qui s’autorise tout, avant qu’il n’en finisse avec nous !
Il a sciemment rompu et violé délibérément de façon unilatérale le contrat qui nous liait avec lui. Nous sommes en droit de dénoncer le pacte de trahison, transmué en agression permanente contre le peuple qu’on insulte en permanence, dont il fait toujours preuve tous les jours, à savoir le report des premières élections républicaines qu’il continue de reporter indéfiniment.
Alors, que dire des promesses électorales qu’il n’a jamais tenues, si ce n’est la mise en orbite de sa propre famille paresseuse, ses beaux frères, ses beaux-pères, entres autres, le placement d’amis
médiocres, en sus des nominations décriées, inopportunes, et inutiles, budgétivores à la pelle des griots de la dernière heure avec l’insuffisance manifeste et criante de tailleurs au conseil économique social et environnemental ; cette usine de déchets toxiques bien recyclés et aux parfums clientélistes , nauséabonds, bien abondants.
La chute libre de ce régime bancal, comme un fruit avarié, aux éternelles histoires carambouilleuses, sur fond de mœurs totalement aléatoires, surréalistes, excellant dans l’impunité est salutaire. La moindre honorabilité probante ne peut le couvrir. Il continue de prouver son savoir faire bien connu. C’est un secret de polichinelle que de dire qu’il est l’écharde de la république à l’épreuve des faits bien tangibles sur le même terrain du crime.
La stratégie de riposte rencontrera sur son chemin la détermination intacte du peuple vaillant, toujours vainqueur, en dernier ressort, uni, soudé, mobilisé pour la cause légitime contre les adeptes des manières fortes. Le combat de la liberté a commencé pour finir par la victoire finale et totale sur les renégats unis dans la trahison. L’immoralité de l’arrogance se paiera cash pour certains esprits illuminés, tentés par le démon pour sauver le diable déjà naufragé.
Que valent donc les longues litanies, conformes à l’immoralité affreuse d’un clown égaré par l’ivresse d’un pouvoir en putréfaction ?
Que dire donc de l’écurie pestilentielle du grand ordonnateur de la corruption sur commande recommandée, dont le moins qu’on puisse dire, n’est qu’un vulgaire bandit multimilliardaire de grand chemin bien effronté au cœur d’une mafia transformée en gangstérisme d’Etat comme mode de gouvernance, pour régler des contradictions politiques ?
Incurie, concussions, prévarications, gabegie, manipulations, mensonges cousus de fil blanc, extorsions de fonds, exclusion massive d’entreprises Sénégalaises, clientélisme, népotisme, les marchés de gré à gré à n’en plus finir, à grande échelle, création de toute pièce de la soi-disant agence de sécurité de proximité, mon œil ! C’est bien une peste que représente cette engeance maléfique savamment orchestrée par un procréateur toujours boulimique, pour assouvir les ambitions démesurées d’un cancre de service et de naissance de notoriété publique nationale et internationale, peu courageux pour son manque chronique de vision politique. Il préfère porter bassement la corde autour de son cou, plutôt de servir la patrie. Voilà donc le bilan aussi sombre que la nuit. Voilà ce que dénoncent les voix les plus autorisées de la parole libre.
Il est nécessairement obligatoire de renverser ce régime aux pieds d’argile au risque de périr et de disparaître à jamais. Ne pas le faire, c’est trahir la conscience des hommes d’honneur de la patrie. Quand la République est menacée par une horde de bandits, nul n’a le droit de se taire ou de se compromettre, au risque d’encourager les vils adeptes de la mal gouvernance, défiant tout un peuple en colère et qui dit non, c’est trop, halte ! Il n’est pas acceptable qu’une minorité de goinfres, au nom du raccourci politique, circule ostensiblement à bord de gros bolides de luxe, dernier cri, avec une insolence opulente, aux comptes bancaires bien fournis, planqués dans des paradis fiscaux, à l’abri des regards indiscrets, tandis que le reste majoritairement, laissé et lassé pour compte sur le quai, considéré comme des demeurés éternels tirent toujours le diable par la queue.
Que représentent vraiment les familles paresseuses des Faye- Sall, des Gassama et Cie ?
A bon entendeur salut !
Pour un Sénégal prospère, libre, souverain et indépendant !
Le combat continue !
Ahmadou Diop