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Policière agressée près de Nantes : Qui est Ndiaga Dieye, l’assaillant de La Chapelle-sur-Erdre ?

PORTRAIT – « C’était quelqu’un de très discret », décrit une voisine de palier du petit immeuble HLM où l’homme de 39 ans habitait depuis deux mois.

Multirécidiviste condamné à 19 reprises, Ndiaga Dieye, l’agresseur de la policière municipale de La Chapelle-sur-Erdre, a passé presque la moitié de sa vie en prison, où il a été diagnostiqué schizophrène et s’est radicalisé. Depuis sa dernière libération le 22 mars, après avoir purgé sa peine, cet homme de 39 ans avait retrouvé un emploi et un logement, grâce à une association d’insertion de cette commune paisible de la banlieue nantaise.

« C’était quelqu’un de très discret », décrit une voisine de palier du petit immeuble HLM où il habitait depuis deux mois. « Il était très calme, mais on l’entendait parler tout seul la nuit », ajoute Jimmy, le voisin du dessus, qui lui avait vendu sa voiture.

« C’est un échec du système judiciaire »
Ndiaga Dieye respectait une obligation de soins et n’avait plus fait parler de lui jusqu’à sa récidive vendredi, quand il a frappé au couteau une policière municipale, à moins de 1 km de chez lui. Séquestrant une jeune femme pendant plus de deux heures durant sa fuite, l’agresseur a ensuite tiré sur les gendarmes, en blessant deux avant d’être abattu.

« C’est un échec du système judiciaire. Il a commencé à faire de la prison à 17 ans, il a été ultracondamné tout le temps et ça n’a pas marché », déplore son avocat, Me Vincent de La Morandière. « Il a fait des allers-retours entre le béton de la prison et le béton de la cité. Il a quasiment passé la moitié de sa vie en prison », a ajouté sur BFMTV celui qui l’avait défendu devant la cour d’assises du Nord.

Multirécidiviste condamné à 19 reprises, Ndiaga Dieye, l’agresseur de la policière municipale de La Chapelle-sur-Erdre, a passé presque la moitié de sa vie en prison, où il a été diagnostiqué schizophrène et s’est radicalisé. Depuis sa dernière libération le 22 mars, après avoir purgé sa peine, cet homme de 39 ans avait retrouvé un emploi et un logement, grâce à une association d’insertion de cette commune paisible de la banlieue nantaise.

« C’était quelqu’un de très discret », décrit une voisine de palier du petit immeuble HLM où il habitait depuis deux mois. « Il était très calme, mais on l’entendait parler tout seul la nuit », ajoute Jimmy, le voisin du dessus, qui lui avait vendu sa voiture.

« C’est un échec du système judiciaire »
Ndiaga Dieye respectait une obligation de soins et n’avait plus fait parler de lui jusqu’à sa récidive vendredi, quand il a frappé au couteau une policière municipale, à moins de 1 km de chez lui. Séquestrant une jeune femme pendant plus de deux heures durant sa fuite, l’agresseur a ensuite tiré sur les gendarmes, en blessant deux avant d’être abattu.

« C’est un échec du système judiciaire. Il a commencé à faire de la prison à 17 ans, il a été ultracondamné tout le temps et ça n’a pas marché », déplore son avocat, Me Vincent de La Morandière. « Il a fait des allers-retours entre le béton de la prison et le béton de la cité. Il a quasiment passé la moitié de sa vie en prison », a ajouté sur BFMTV celui qui l’avait défendu devant la cour d’assises du Nord.

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