Projet diabolique de la réforme des institutions bancales : CPC le déclare solennellement nul et non avenu ! Par Ahmadou Diop CPC
CPC, qui est le porte étendard, porte drapeau et porte-parole des sans voix, se met en porte à faux contre l la réforme funeste du despote Macky Sall, veut trancher, se substituer en lieu et place du peuple sénégalais, souverain, indépendant et libre.
Pour la CPC, la ruse d’un tel plan diabolique de ne peut assouvir de promotion d’un mythomane, opportuniste, arriviste, jusqu’à l’abysse s’autorise tout et n’importe quoi, pour blanchir de façon indécente les échappées torrides d’un diable.
D’une part, lorsque Macky Sall propose la réforme des institutions, en même temps, réduit au silence tous ses opposants, se dédire irréversiblement de son mandat présidentiel, interdit toute manifestation pacifique, en oubliant tout le peuple, et garder sa caquette de secrétaire général de son parti politique.
Cela partcipe à un mensonge grotesque, d’autre part, selon l’article 27 de la constitution, la réduction du mandat ne peut être modifiée que par voie référendaire. Une seule question essentielle, unique doit être posée : oui ou non pour la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans.
La Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal- -«XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW», est à la fois l’ossature, la colonne vertébrale et la tète de pont des patriotes, chargée de la légitime défense démocratique, se veut un véritable contre-pouvoir libre indépendant, souverain, pour la restauration d’un état de droit.
Dans ces conditions, la Conscience patriotique pour le changement au Sénégal, XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW s’insurge, rejette, condamne énergiquement sans appel et s’érige contre la réforme des institutions, diligentée sur commande par le président de la république, qui est en réalité, juge et partie.
En lieu et place d’une véritable rupture dans l’action, plus qu’un village entier digne d’un capharnaüm, constitué exclusivement d’un corporatisme ethnocentrique, s’approprie de tout l’appareil d’état avec des postes de haute pointure, taillés sur mesure, sans compter le même clan de soi-disant dg au service public, portent mécaniquement les mêmes substantifs particuliers. En définitive, sous l’ère Macky, tout est permis.
Le référendum en mai 2016 est une chose, mais la prétendue réforme des institutions figurées, c’en est une autre. Il n y a point de lien entre les deux termes. Car tous les deux sont totalement dissemblables. Que Macky Sall se le tienne pour dit ! Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, sans lague de bois.
Il n’incombe nullement au président de l’Assemblée nationale d’obéir au premier magistrat de la république sur la question vitale. Encore moins, l’avis des cinq Sages du Conseil constitutionnel sur le projet de référendum n’a qu’un caractère consultatif. Rien n’est donc supérieur au calendrier républicain, référendaire, qui doit se tenir à date échue, le 29 mai 2016.
Une seule et unique question demeure : oui ou non pour la réduction du mandat présidentiel de Macky Sall , qui passe de 7 à 5 ans. Outrepasser cette question indivisible, en y incluant d’autres interrogations supplémentaires, constitue à un manquement ou viol contre l’esprit de la constitution.
Cette censure contre l’avis du peuple qui n’en est pas une n’est plus acceptable. Car la souveraineté appartient au peuple libre, indépdendant qui l’execerce par voie référendaire en toute légitimité
La gouvernance des parloes dédites est devenue une religion d’état, sous Macky Sall, s’érige en arnaqueur, endurci, nègre de service.
Cette réduction qui était donc une promesse de campagne du candidat, doit se matérialiser sur le terrain et dans l’action par un véritable référendum populaire dans laquelle la liberté de choix des citoyens libres, sans bruits, ni encombre, ni fioritures, doit primer.
En vérité, ce régime fasciste, fainéant, fantaisiste, fantoche, qui interdit à tout vent, toute manifestation pacifique, embastille ses adversaires politiques, tue la liberté, réduit toute voix discordante des opinions, qui est le premier droit inaliénable des citoyens, ne peut être crédible.
Or, dans une véritable démocratie, transparente, efficiente, celui qui s’autproclame le parangon de la rupture tangible et à l’épreuve des faits, doit mettre en exécution sa parole donnée, de façon que le référendum programmé, puisse se tenir à date échue. Conditionner la consultation ou y ajouter des questions annexes, constitue immanquablement à des mensonges d’état.
Les dessous de la prétendue réforme des institutions qui cachent des rapines politiques, ne visent qu’à blanchir et présenter Macky Sall sous de faux postulat sur la scène mondiale, présumée faiseur de rois, avec comme en arrière-plan, un prestige fabriqué de toute pièce.
Contrairement aux idées reçues, il n’y a pas que l’intégrisme religieux, tant s’en faut, mais il y a aussi son corollaire, qui est aussi dangereux, à savoir l’intégrisme terroriste, politico-ethnique, étatique, médiatique, savamment élaboré, et échappe à toute règle, en sens qu’il est légalisé, démocratisé par sa violence qu’elle exerce sur les citoyens.
La violence psychologique et physique exercée par les ustensiles de Macky Sall contre toute opinion libre ou sur toute opposition réelle ou supposée, qu’il tient à réduire au silence, dans la perspective d’arracher la victoire et pour tuer en elle toute velléité de contradiction politique.
Manigances, hableries, filouteries, manipulations à dessein de tromper et gruger les sénégalais par des échappées suffocantes, ne passeront pas. Encore moins, la pilule ne passera pas.
Donc tous debout pour déjouer un référendum taillé sur mesure pour un éternel faussaire de naissance et dans l’âme jusqu’à l’abîme, représenté en la personne de Macky Sall, qui prépare habilement une masacarde référendaire fourre- tout- un foutoir — dont le but inavoué consiste à légaliser par la l’artifice ce qu’il est convenu d’appeler avec euphémisme un banditisme étatique.
Le référendum n’a rien à voir avec les réformes institutionnelles présumées, qui ne sont qu’une vaste escroquerie, tendant à créer les conditions d’un hold-up électoral.
Macky sall, qui est devenu le maître de l’esclandre des scandales, prépare en toute logique, les esprits qu’il tient à phagocyter par la ruse, alors qu’une une seule question demeure oui ou non pour la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans.
Le Sénégal a élu par son étourderie manifeste, massive, généralisée et l’échelle nationale, collective, une sangsue, vampirisée, qui s’est bien nourrie sur l’épaule de la république, vit aux crochets de l’argent du contribuable sénégalais, astiqué, comme il en existe chez les élites africaines de pacotille, plus riches que Crésus par les raccourcis politiques. Lesquelles ne disposent aucunement de la moindre once de moralité.
Le référendum, reste la priorité absolue, qui est au-dessus des interêts partisans, divise et crée la cacophonie au niveau de majorité de la classe politicarde désertique, s’accorde bassement à la trajectoire du fasciste Macky sall, le presseux, fourbe et chef clanique de la république des fripouilles de la racaille des menteurs professionnels, incultes, mercenaires et alimentaires.