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Sommes-nous des incapables pour changer le rapport de force, face au tyran ? [Par Ahmadou Diop].

Sommes-nous  un peuple majoritairement  béni  et uni pour la trahison et désuni  pour changer, face à un traitre irrécupérable ?

La question se pose en toute légitimité.

Au lieu de subir la loi de la  profession  de foi d’un menteur professionnel,  ensemble, nous  pouvons changer et opérer une nette rupture, si nous voulons.  Mais  il  va  de soi  qu’il y ait  nécessairement un préalable absolu. Il faut que nous soyons  tous debout unis  par un bloc monolithique, pour en découdre,  face à la bande des fripouilles pouilleuses unifiées.

 Nous avons le devoir moral de rendre le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple.

Sommes-nous donc des incapables, manipulables  par des abrutis,  traitres, qui nous  narguent,  nous mènent  constamment en bateau et nous tromper, pour arriver à leurs fins ?

Le changement ne viendra jamais  ni du suffrage universel,  mais exclusivement  de  l’abrogation de  la constitution    moribonde qui renforce  davantage les pouvoirs exorbitants  du pouvoir monarchique, demeure  plus que jamais  la source de nos éternelles déconvenues, depuis 1963

Malgré nos discours de qualité,   le Sénégal  est plus  que jamais dans la  somnolence  la  tourmente et dans la pénombre.

 Aujourd’hui, nous sommes  bien dans une Assemblée servile, de service et des sinécures !   Quand demain fera jour, la même  mécanique Assemblée vassalisée des  chiens de garde  d’une bande de  capharnaüm, sévira encore, rempilera dans son rôle  de farandole, si toutefois et par malheur,  nous renouvèlerons par notre étourdie massive, généralisée à l’échelle nationale, en donnant hystériquement, mécaniquement et  par le suivisme  une majorité parlementaire à la monarchie présidentielle totalitaire.

Le peuple vote quantitativement, irrationnellement,  mécaniquement par suivisme,  mais on peut lui enlever à tout instant son pouvoir par des mécanismes douteux.

Au moment où tous les pays  civilisés,  font émerger de nouvelles têtes, la majorité de nos  citoyens divisés,  s’oublient eux-mêmes ,laissent le champ libre  à des  faussaires  menteurs professeurs  qui     se coalisent en mercenaires –alimentaires   agissent envers et conte tous, sèment la terreur, s’unissent  et rempilent ,préparent encore  des parodies législatives , comme si rien  n’était.  Plus les mensonges cousus de fil deviennent grotesques, se  corsent, se perlent de plus, les uns près les autres,  dans un cataclysme suffocant, mieux c’est,

La plupart des discours alambiqués  de ceux que l’on croit  audibles prétendument justes passent, à côté de la plaque  convergent tous  vers la confusion totale, comme si rien n’est impossible dans le sens des progrès.

Le Sénégal, est-il  devenu donc  la face  cachée de l’iceberg trompe-l’œil ?

Le Sénégal, qui est majoritairement  de confession musulmane, nous dit-on,  occupe le bonnet d’âne des faits divers des crimes les plus abjects,  se multiplient à un rythme effréné,  malgré son apparence, n’est  aussi  pas   exemplaire en matière de droiture dans la sous région.

Nous   oublions de faire  l’essentiel,  nous nous  focalisons davantage le plus souvent  sur ce qui  nous divise et fait le lit  du pouvoir tyrannique apocalyptique en place.

Pire,   ceux que l’on  considère   comme des  valeurs sûrs ou  des experts du savoir,  se défaussent  habillent  par des pirouettes et des incantations stériles , versent constamment   dans un verbiage creux et se gardent bien   de  procéder à des analyses objectives, comme s’ils ont  en filigrane des comptes personnels  à régler entre eux, à cela; y ajoutent  systématiquement  des  litanies   démentielles, inutiles, si  bien que le commun des mortel ,égaré, se dise finalement dans son for intérieur, autant  que  l’on puisse  garde r le  caniche,  qui apparaît  à ses yeux  le moindre  mal par rapport aux autres.

En vérité, il y’a beaucoup plus de mosquées que d’usines et quand bien même  le mal perdure.  La pauvreté ambiante prend le dessus sur tout le reste. Puisque  le sauve-qui peut autorise toutes les dérives  vont en pis de plus en plus.

Des milliardaires  politicards de tout bord    se  coalisent  tous par leur solidarité de classe,  se frottent,  détiennent  étrangement  par devers  et contre  tous les capitaux, pendant que le reste majoritaire  croupit  crève de faim, vit au seuil de la pauvreté   chronique, patauge dans la malnutrition et la misère absolue,.

Il ne sert  à  rien d’en fourcher  des bonnets ou des grands boubous frou-frou- Dakandé, pour se  déclarer appartenir à cette communauté musulman,  pour faire beau, ou  pour se donner bonne conscience, pour croire pouvoir tromper le bon dieu, le miséricordieux, le clément, créateur  et maître de  tout l’univers, si nous nous offusquons  à traduire   en actes concrets ce qu’il recommande à travers sons saint  coran.

Aliou Sall, le maire de Guédiawaye, l’homme aux multiples casquettes,  signe et persiste,  est revenu samedi 29 avril sur son investiture ratée comme tête de liste de « Benno » lors des législatives du 30 juillet.

Décidément, le ridicule ne tue plus. Une bande familiale, presseuse, insignifiante,  hier inconnue,  comme par hasard au moment Macky sall,  le maître,  promoteur du népotisme et de la gabegie,  s’est toujours transformé potentat  négre de servic ,  a été élu  dans des conditions exceptionnelles, inédites, président de la république du  Sénégal.  Aliou Sall, les Timbo  et Cie,  qui sont sortis de terre et des ténèbres,  on ne sait où,  plastronnent piteusement à la place publique,  vivent aux crochets des deniers de l’état, se donnent allégrement des notoriétés  opportunistes de bas étage.

Après tant de reniements récurrents  à la pelle  en continu par  des charrettes d’arrestations massives tout azimut,  de la  part du pouvoir politique, dont la lâcheté n’échappe plus à personne,  portent incontestablement des soubassements  bassement politiques de bas étage, tendant à confisquer  durablement  par des méthodes fascistes.  Pourrions-nous, alors,   tomber si  bas encore,  en acceptant l’idée   que l’on puisse attribuer une majorité parlementaire au président de la république, qui fait preuve de moult parjures  infinis ?

 Dans ces conditions, la seule option possible  qui vaille, quelles que soient ses combines et ses combinaisons,   c’est de faire bloc contre la tyrannie ethnique et le déboulonner tout simplement par la légitime défense. il n’y a d’autre alternative possible.

Trois mois après son élection à la magistrature suprême, Macky sall, sans ambages, déclarait à Jeune Afrique qu’avec lui, tout va changer.
Oui, tout a changé dans le sens du recul. En lieu et place d’une vraie rupture, nous avons un despote fraudeur nègre de nègre, abonné aux reniements éternels les plus fous.

La Crei réactivée illégalement par un décret présidentiel de Macky Sall n’est qu’un amas de mercenaires monstrueux en service commandé.

Et Abdoulaye Baldé dans tout cela ? Il est apparemment blanchi dans la traque des biens mal acquis

Le procureur spécial de Macky Sall, Alioune Ndao déclarait : « tous les biens de Mme Baldé née Aminata Gassama appartiennent à son époux Abdoulaye Baldé ».

La constitution  moribonde qui revêt   éminemment un caractère bancal, blasphématoire,  n’est qu’une écharde  à la démocratie,  une escroquerie, indigne qu’il faille absolument la réformer à tout prix. pour ce faire, quoique macky sall puise faire, il faudrait une majorité parlementaire  du peuple debout  au point l’actuel gouvernement  de garnement soit censuré

 Parlons donc du  retour de Sénégalais à Dakar : Révélations d’un Deal Merkerl- Macky Sall  vrai ou faux ?

Le  nouveau Nègrier de service  rapatrie  hystériquement ses semblables à Dakar pour ses propres intérêts  mesquins,  en tire profit, pendant que la misère sociale  galopante,  s’aggrave  quotidiennement chaque jour que dieu fait.

Il  nous faut que le maître des mensonges  nous éclaire avec des preuves  matérielles  à l’appui.

 Mais il ne suffit  point d’utiliser  le raccourci  de la lâcheté et les services de l’état pour camoufler ce qu’il est convenu  d’appeler un nouveau scandale qui constitue  à n’en pas douter  la face cachée de l’iceberg. Le scandale fait le buzz sur la planète et suscite des commentaires bien justifiés,  entière malgré le cataclysmique  des échappatoires de boyau.

Nonobstant les  dérives exponentielles du  Farba, estampillé  la mascotte  qui  se cramponne sur la françafrique,  s’y plie, telle une teigne, après avoir bradé, pillé toutes nos ressources pétrolières et gazières,  qu’il a livrées  à ses maîtres blancs leur leuco derme, comme gages,  passe de plus en plus à la vitesse supérieure, s’est dégonflé une fois de plus,  signe des accords  avec l’Allemagne, en échange de plusieurs milliards de f CFA, avoisinant la rondelette  somme d’un milliard  d’euros et 800 millions,  vend  maintenant  les sénégalais de l’extérieur,  comme monnaie d’échange. Les sénégalais  qui  bravent  les terres  et les mers au péril de leurs vies,  viennent s’ajouter sur la  longue liste interminable des chômeurs  déjà chroniques sur le terrain du crime.

Bizarrement, Macky sall, sa famille immédiate et son clan sont tous à l’abri de tout besoin, alors qu’hier, les nouveaux riches  du népotisme,  vivaient d’eau fraîche, en tirant le diable par la queue dans les quartiers populaires de la Capitale sénégalaise.

 Comme toujours et sans répit, le pédigrée exceptionnel,  renégat,  suppôt atypique, mécréant par définition, non repenti,  l’irrécupérable, traitre, égoïste,  méprisant profanateur menteur dans l’âme dans son rôle de pantin,  monstre du haut de son piédestal se nourrit du sang des sénégalais, s’en accommodes bassement ,  nous  a habitués à  ses scandales  qu’il blanchit  à travers ses mercenaires  et  par sa presse de servitude ? Voilà donc un véritable nègre de service, qui tient mordicus à labelliser sa haine et  par la rhétorique de caniveau et des rancunes  faire de plus répugnant, depuis hélas, le regrettable et triste soir  historique du 25 mars 2012, reste comme du plomb dans nos gorges. La pilule ne passera pas. Il n’y a pas de fumée sans feu, n’est-ce pas ?.

Pour étouffer l’affaire démentielle et tuer dans l’œuf  le scandale, Sory Kaba, qui est  envoyé aux charbons, bétonne magiquement  l’esclavagisme dégradant moderne par ses pirouettes  abondantes de piètre qualité.

 Le  sémillant, minable- Doungourou,  fidèle captif,  propagandiste, tout comme son mentor,  se défausse. Pis,  le  versatile dans son taux d’ADN, versus  directeur lamentablement des sénégalais de l’extérieur au service du fasciste Pétain noir sénégalais, lequel est  surnommé  à juste titre, l’Envoyé Spécial  Colonial en Afrique, attitré et accrédité à Dakar,  prend les devants, sévit et menace  de porter plainte.  L’éclat suscité ne peut être en aucun cas,  la loi de l’omerta.  Qu’il se le tienne pour dit !  Encore un scandale parmi tant  fait jaser les sénégalais et tous les africains sidérés, face au tonitruant encombrant,  converti en  label de caniveau,  que l’on appelle le nouveau chef, adulé  des esclaves des 15 pays assujetties des élites serviles, promptes de la françafrique se complaisent sous tutelle coloniale, depuis les indépendances formelles.

L’homme n’est pas à son coup d’essai, tant s’en faut,  rempile et continue à faire parler de lui. On rappelle des tirs groupés, lors de l’envoi forcé de nos diambars, pour n’être  que des chairs  canon en Arabie saoudite, contre le terrorisme crée habilement de toute pièce par les mêmes falsificateurs historiques. de tous les temps

L’argent est passé la raison,  n’est-ce pas ?  Puisqu’il y a de gros sous en arrière-plan. Plus de 100 milliards F CFA ont promis à au nègrier, esclave,  chef des esclaves.  Et ce n’est pas tout,  car les américains recyclent deux terroristes innocentés à Dakar et en échange quoi et à quelle fin ? Toutes les suppurations sont autorisées sans retenue. Et les sénégalaise jusqu’ici  restent sur leur faim sur cette question. Bouche et motus cousue.

Dans l’hypothèse où  la vigilance par le sursaut national  ne sera pas de rigueur,  Macky Sall, malgré ses dérives torrentielles, rempotera  haut la main les parodies  législatives programmées   de juillet 2017- le mois béni des submersions catastrophiques.

Les nominations monarchiques, hystériques à la pelle, deviennent un même mode de gouvernance transparente. C’est bien le culte d’un népotisme insolite. Le chef de l’état devient en même temps, le Secrétaire Général de son propre parti. Au nom de la transhumance forcée, il faut amnistier à la fois les coupables entrants  et les obliger à se mouler sous l’escarcelle de l’apérisme survoltant.

Voila la  marchandise avariée que l’on nous  a bien vendue !  Un vaste tissuthèque de mensonges  infinis, grotesques,  que l’on ne saurait  passer sous silence.  Qui peut donc le nier, au risque d’être ridicule ? Chassez le naturel, il revient au galop.

 

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