Sunu Sénégal Guii \Nanu Guen CI GuuTeu- AK Boumu Ndiam- BITIM REW ! Par Ahmadou Diop
Libérons- nous donc de la politique de la Soumission \ Dépendance Coloniale Dynamique en Puissance, qui est source de nos éternelles décadences (…)
Nous devons sortir de l’éternel scandale permanent entre dominateurs et dominés, ou le déséquilibre effarant à couper, qui donne des vertiges, tant sur le plan juridique, commercial , économique, que politique, car les échanges internationaux inégalitaires tout azimut, retardent notre décollage économique. Au nom du populisme, outre atlantique, les marchands d’illusions font des amalgames entre immigrés et criminalité, criminalisent à mots couverts l’immigration, qu’ils opposent à l’expatriation, se barricadent et ferment leurs frontières.
GuuTeu- AK Bumu Ndiam – signifie tout simplement le goulot d’étranglement de l’extérieur vindicatif, tel vampire, suce notre sang, nous mène dans l’impasse totale, nous maintient dans l’esclavage et nous siphonne habilement par des mécanismes savamment élaborés des siècles des siècles, depuis jusqu’à la parodie d’indépendance qui n’est qu’une souveraineté virtuelle, au regard des faits matériels en action.
Il est impératif que nous écrivions en toute indépendance notre propre histoire et l’enseigner dans nos écoles et nos universités, de façon que l’on puisse la transmettre de génération, sans demander l’avis de qui ce quoi.
De plus, que l’on ne s’y trompe point. Contrairement à ce que l’on veut faire, pour continuer à nous dominer, aussi longtemps que cela s’avérera nécessaire, le droit international pose un problème moral et porte comme arrière-plan une idéologique, politique, y compris les institutions satellites, inféodées, aux modèles de la démocratie impérialiste de l’arbitraire, capitaliste, ne sont que en définitive que des rapines, infondées, servent en toute logique qu’aux mêmes qui les ont crées par la ruse.
Nous avons le devoir moral de penser pour nous-mêmes et par nous-mêmes, et en finir avec la dépendance servile, pour créer pour nous mêmes notre propre spécimen, intrinsèque qui nous est spécifique, par rapport à nos valeurs morales et nos traditions et sur la base de notre civilisation, source de vitalité et liberté qui constituent le ciment et le socle fédérateur, si nous voulons traiter, demain, librement avec nos partenaires sur des bases égalitaristes que nous aurons choisis en toute indépendance et en toute conscience, pour défendre nos propres intérêts légitimes.
Maintenant, il est temps que nous puissions nous sortir de notre torpeur dans laquelle les puissances occidentales veulent nous ferrer à jamais, pour nous maintenir autant que dans l’esclavage qui ne dit pas son nom. Or, en plein 21 énième siècle, la servitude est bannie, obsolète, révolue.
Nous sommes aussi intelligents que les autres espèces humaines. C’est en Afrique noire que l’homme a vu le jour pour la première fois, a engendré toutes les autres civilisations, dixit le professeur Cheikh Anta Diop, qui fut l’Egyptologue, le scientifique hors pair nous avons l’obligation d’être en première loge dans l’hagiographie mondiale, plutôt d’être traînés dans la boue comme des malfrats amnésiques, pour n’être que les derniers de la classe.
Nous avons vécu et vu, pour avoir plus souffert que d’autres sur l’échelle planétaire internationale. Il faut que nous sortions de l’expectative, facteur du fatalisme ahurissant et de notre léthargie. Si nous voulons, nous pouvons réussir et agir tous ensemble. Le panafricanisme n’est ni un délit, ni un Casus belli contre qui que ce soi.
Nous devons sortir des politiques de la dépendance servile. La volonté de se développer est un acte légitime, normal, ne peut être, en aucun, une offense contre personne. C’est le devoir moral de tout pays digne, souverain, indépendant et libre qui se réclame comme tel, doit disposer de ses télécommunications, de ses propres ressources vitales et avoir sa propre monnaie et assurer sa défense nationale. Nous ne pouvons pas être à la fois riches et pauvres. C’est un contre sens doublé d’une malédiction que nous ne pouvons nullement accepter.
Nous sommes pris à la fois en étau par le colonialisme exogène et le totalitarisme endogène en bande organisée qui travaillent en osmose main dans la main. Refusons les contingences mentales. Mettons donc fin aux impunités qui nous narguent, nous oppriment et nous enquiquinent !
Le droit du peuple est inaliénable, légitime. Il faut que cela soit clair dans la tête de ceux qui réfractaires à la justice et qui se croient les plus intelligents de la terre ! C’est une question de volontarisme, de vision politique, d’abnégation de dynamisme et d’impulsion nationale sur le plan supranational. Mais faut –il que l’ensemble la majorité des citoyens africains le sachent ?
Car ce droit international apparaît comme trompe-l’œil, tel qu’il est dessiné et appliqué partout à la lettre, laisse un champ de ruines dans lequel il n’y a point la moindre parcelle de démocratie visible, ni de progrès sensibles, exponentiels, mais produit de facto, la désolation généralisée et le malaise social, chronique, en pis, aux effets multiples cataclysmiques.
Pourquoi, l’état Sénégalais ne prend pas ses responsabilités pour garantir librement son destin en main sur es bases voulues, pour sortir de la dépendance soft ,dégradante ?
Il faut absolument que nous ayons le courage de débattre publiquement sans entrave aucune et mettre fin au tabou et au complexe d’infériorité vis-à-vis de la prétendue supériorité leucodermique qui n’est que la conséquence directe de la colonisation, cet éternel crime contre l’humanité, contre lequel nous devons tous agir tous ensemble et concentrer tous efforts, de sorte qu’il puisse nous forger nos consciences libérées, à l’instar des nations émergentes, qui ont tiré les conséquences de cette tragédie historique.
Sur la question du colonialisme, l’Europe, en particulier, la France, ne font jamais de repentance, au contraire, en parler, crée systématiquement des délires et de l’hystérie, voire même un cataclysme généralisé, au point que la Chape de plomb, ou la thématique constitue un chemin de croix et une descente aux enfers pour certains d’entre eux ? Une levée de bouclier – car les médias encordés aux politiques, font cause commune, comme une levée de bouclier, restent dans le sillage, ne défendent autre chose que la démocratie impérialiste.
Probablement, ni la justice, ni la vertu au nom du le droit international, ne les motivent, en réalité, tant s’en faut. Les intérêts expansionnistes outranciers priment sur ceux de la morale platonique.
Les pays du sud, qui sont très riches en matières de ressources minières, inestimables, doivent être leurs vaches à lait pour assurer leur propre survie menacée par la faim et les récessions récurrentes des crises capitalistes, impérialistes, inhérents, qu’ils ont mises en place.
Mais apparemment, le discours du visionnaire africain, en l’occurrence, Cheikh Anta Diop, tombe dans les oreilles des élites minables, qui préfèrent, hélas, porter la corde autour de leurs cous, s’alignent indignement sur le colonialisme triomphaliste, gardent le pouvoir et le transmettent de pères en fils.
Pour cela, des outils de dominations imparables, symbolisés par des moyens logistiques extraordinaires, qui leur permettent d’intervenir partout en Afrique, par guidage laser, et sans pertes humaines, maitrisent tout le ciel africain à l’échelle continentale. C’est pour celte raison que le regretté panafricain, Cheikh Anta Diop, le scientifique parla de mettre l’accent sur la science, pour mettre un terme définitif aux brimades et aux humiliations l’expansionnisme européen, qui imprime sa marque depuis 5 siècles à nos jours.
En dehors de L’Algérie et peut-être d’autres, qui se sont dotés de la haute technologie de pointe, c’est les mêmes maîtrisent, dominent le ciel africain à l’échelle continentale et par leur puissance de feu sur le terrain du crime. Sans ces moyens, la supériorité physique corpulente des africains fait pencher indiscutablement la balance ;
Autrement dit, la géopolitique stratégique, non assumée, autorise toutes dérives, quand il s’agit de piller les 14 pays africains dits francophones, tous assujettis, satellites et sous coloniale. La suprématie expansionniste ne vise qu’à perpétuer durablement et autant que possible le joug colonial, pour appauvrir davantage ce qu’elle appelle entre les lignes, leurs colonies de plein droit, pour asseoir leurs hégémonies, sans d’âme, ni scrupules, et peu importe que les moyens soient répréhensibles, pour arriver à leurs fins ; car c’est le résultat qui compte.
Toute personne qui va à l’encontre de l’intérêt national sera traitée comme tel sans état d’âme. C’est la philosophie occidentale est leur socle depuis des millénaires rien ne peut les dévier de leur trajectoire. Nous devons comprendre cela. C’est ça qui manque malheureusement s à nos élites nullardes quine sont pas à la hauteur. C’est notre tragédie qui explique notre régression en pis – une aberration. Etre ou ne pas être dans l’histoire ? Voilà les enjeux !
Nous devons restaurer, sanctuariser le civisme et la culture du patriotisme.
Faire les états généraux de la presse et de la justice qui sont des instruments politiques au service du totalitarisme.
L’indépendance politique commence par la souveraineté monétaire, économique et par la souveraineté nationale, la nationalisation des télécommunications et de nos ressources vitales.
Réduire notre dépendance vis à vis de l’extérieur est devenu une priorité absolue.
Nous devons saisir le ballon au vif pour nous éveiller et prendre la mesure de la gravité exceptionnelle.
Le pétrole et le gaz couleront à flot, demain et pour les puissances coloniales ? Lorsque les politicards sont soumis, il en sera toujours ainsi.
Le Sénégal est un grand pays historique au point de vue du savoir pluriel et de la morale en puissance
Le débat revêt donc un caractère éminemment pédagogique, en ce sens qu’il fixe les consciences imprégnées de la réalité historique pour savoir qui nous sommes, à l’instar des autres nations émergentes, qui ont bien compris que pour aller de l’avant, il faut savoir perdre- pour en tirer profit et en tire toutes les conséquences. C’est le cas de la chine, qui joue aujourd’hui dans la cour des grands, a laissé les puissances implanter leurs industries lourdes sur son sol, a beaucoup appris, alors que nous dormons dans nos lauriers. Nous importons beaucoup plus que nous exportons. Pis, nous perdons beaucoup plus que nous gagnons en termes des échanges internationaux. Si nous avions installé des industries lourdes, dans notre pays, comme l’a fait la Chine, qui a bien compris les intérêts majeurs, a bénéficié des transferts de technologies nous aurions pu transformer nos matières premières en produits finis pour les exporter.
Dans ces conditions, nous ne pouvons subir les lois des puissances, puisque nous n’agissons pas. Je l’ai déjà écrit antérieurement.
Enseigner une langue étrangère comme langue officielle, c’est aussi assimiler par réflexe, d’autres cultures venues d’ailleurs. Cela finit par naître dans nos substrats une aliénation culturelle très difficile à corriger. Point de survie, ni d’avenir d’un peuple qui oublie ses idiomes caractéristiques. Aucun peuple ne peut s’épanouir réellement sans l’intégration de ses propres valeurs culturelles, linguistiques, spécifiques. Alors, sommes-nous des incapables pour aller de l’avant ?
ici, chez nous, malgré les intrusions, les collusions, les agissements inadmissibles, les manquements et dysfonctionnements en continu du tonitruant Macky Sall-Himself, interdit tout vent et systématiquement par le truchement toute manifestation légal , autorisée par la constitution de 2001, afin de tuer dans l’œuf toute capacité de résistance, face à son régime de capharnaüm, au moyen de ses auxiliaires, tous tenus en laisse , s’exécutent promptement par devers et contre tous, dont l’objectif majeur n’a d’autre fin qu’à rester comme le seul maître à bord , une fois que tous ses adversaires sont éliminés dans le champ politique.
pour toutes ces raisons, nous exigeons, sans conditions, que la justice ouvre une information judiciaire à l’encontre du chef de la république des fripouilles, en l’occurrence, Macky Sall pour escroqueries , népotisme, favoritisme, opacité, manque de transparence, vols, enrichissements illicites, personnels, dissimulations , virement des 72 milliards de F CFA à son compte personnel ouvert à la BNP, suite au règlement à l’amiable du litige , qui avait opposant l’Etat du Sénégal à la société Arcelor –Mittal, entre autres, les pillages appartenant à l’état sénégalais, notamment prise de marché et d’intérêts illégaux sur le pétrole et gaz du Sénégal, banditisme financier, abus de pouvoirs, détournements massifs des deniers de l’état recels de biens sociaux, en bande familiale organisée, en lien avec une entreprise terroriste ségrégationniste, intégralement négationniste d’un régime ethnique , pandémique, trafic d’influence, n’échappent plus personne, pour qu’il soit jugé, écroué par les tribunaux indépendants, libres et libérés des griffes ethniques du totalitarisme.