Les élites serviles – « Buur » en Afrique des Seigneurs de guerre, indigènes, pesants, sont plus que jamais sous tutelle coloniale, depuis les parodies d’indépendances, formelles de la décadence, y compris celui qui est en place pathologiquement par son Adn caractériel.
Chez nous, « Un « Buur » – virtuel, pantin si plastique, Béni-oui-oui., règne en maître absolu, fait ses lois arbitraires, tue la démocratie et les libertés fondamentales des consciences, et, ceci, sous le nez et la barbe de tout un pays entier, amorphe, qui est ce géant virtuel aux pieds d’argile, capitulé jusqu’à la lie.
Les Etats-Unis d’Amérique ont crée leurs propres institutions, se sont fièrement affranchis de la tutelle monarchie britannique, depuis des siècles, sont considérés comme étant la première puissance mondiale.
La France a crée ses propres institutions, même si elles sont d’inspiration monarchique, dispose elle aussi d’une puissance de frappe.
La Russie, quant à elle, a crée elle aussi ses propres institutions libres, n’a de compte à rendre à personne, dispose de matériels militaires avec des logistiques imparables de haute technologie, ne se laisse pas marcher sur les pieds, prouve remarquablement son indépendance totalement, agit librement, selon ses propres intérêts, qu’elle défend becs et ongles
Le Royaume –Uni reste fidèle à elle-même, tient mordicus à ses institutions intouchables, comme la prunelle de ses yeux, depuis des millénaires.
La Chine de Mao, qui a vaincu Chiang Kaï-Shek, l’homme des occidentaux, n’avait d’autres choix que de se réfugier à l’île de Formose, si bien que le Géant de l’Asie, joue nécessairement dans la cour des Grands, a arraché son droit de véto au même pied d’égalité que les trois autres puissances
Quant à nous autres africains, nous abdiquons en continu, pour subir les lois des autres comme si nous sommes des montons tondus. En vérité, nous nous plions, en nous accommodons dogmatiquement aux règles tyranniques, érigées par des impérialistes, et par des larbins traitres [Dak diamu Tubabi] interposés locaux, farandoles, se chargent lamentablement d’exécuter des basses œuvres auxquelles ils sont confinés.
On ne change pas pour aller dans le sens du recul en pis. Sommes-nous obligés de copier servilement des institutions qui nous ramènent à la pierre taillée, alors sommes-nous des incapables maudits Golo Dibay « Bamboune Di Doundé « ?
Pour nous libérer de l’esclavage, humiliant, qui est ce guêpier infernal auquel nous sommes confrontés, nous devons nous sortir des institutions étrangères, qui sont arrimées au droit international. Si nous voulons, nous pouvons. Nous devons distinguer le droit international, qui est en définition, une mascarade et le droit de notre souveraineté, d’indépendance. Ce n’est pas la même chose. Comme le pensent certains esprits libres, Laurent Gbagbo et son lieutenant Blé Goudé sont-ils les jouets de La CPI suprémaciste blanche, fait polémique plus que jamais ?
Les mêmes qui la financent à coup de mrds de dollars, ne l’ont jamais ratifiée, jusqu’ici, n’ont accepté jamais ni de près, ni de loin que l’on puisse leurs propres citoyens et leurs citoyennes.
Lorsque l’ethnocentrique, guignol, le chantre et le pourvoyeur du népotisme, de la transhumance, du cannibalisme politique, des transvasements des marchés de gré à gré, sans égal, s’adjuge l’indélicatesse de nègre de service de piètre qualité, nomme Sidiki Kaba, son ministron des Affaires étrangères auprès de cette soi-disant institution, neutre, – mon œil- cela revient à un appel du pied, qui ne souffre d’aucune ambigüité, peu ou prou. À qui profitent donc les crimes ?
Le droit international apparaît nettement comme étant une stratégie exclusivement conçue par une cour royale monocolore (de 5 puissances) où chacune d’entre elle, selon sa loi, pour assurer sa survie menacée par la faim, défend ses propres intérêts mercantilistes, politiques, économiques et financiers, passent avant sur le droit humain, et ceci sur fond de la géopolitique, et de domination, comme si le monde leur appartient, comme un legs de droit divin. Tout comme le réalisateur cinématographe, qui écrit d’abord le scenario, et les pays du sud, peu considérés, sont tout simplement ravalés comme des moins que rien, ne jouent que leur rôle dévolu de figurants, pour embellir le décor et amuser la galerie.
Le 5 juin 1947, en dehors de L’URRS pour des raisons de souveraineté, qui a rejeté l’aide américaine et a demandé la même à ses pays sous satellites, les états européens, qui étaient détruits par la seconde guerre mondiale, ont tous eux-mêmes bénéficié du plan George C. Marshall, Secrétaire d’État du président Harry Truman. Le plan Marshall des américains s’inscrivit donc en droite ligne dans une politique d’endiguement contre le bloc soviétique.
Ce fameux plan a vu le jour dans un contexte particulier, pour éviter le spectre de l’expansion communiste en Europe occidentale et dans une période Guerre froide.
Alors que l’Europe était totalement en désastre à cause de la deuxième guerre meurtrière, pendant que les Etats-Unis qui pratiquaient l’isolationnisme, et dont l’économie américaine était en plein essor, débarquaient pour soutenir les alliés.
En toute logique, le plan Marshall leur a assuré leur essor tant sur le plan économique, financier, que leur puissance de feu à travers la planète entière. Pourquoi rechignent-ils à appliquer la même règle pour les pays du sud, dont beaucoup de Tirailleurs sénégalais, ont aussi laissé leurs vies dans les champs de batailles en Europe ?
Au lieu de nous servir la sauce de l ’Aide au développement, qui a simplement changé de sémantique, prend l’appellation d’investissements solidaires, n’est que de la poudre aux yeux, est source des leurres, il feraient mieux de nous appliquer les mêmes ressorts du même plan Marshall, dont ils ont joui.
Incontestablement, si le plan Marshall était en Afrique, cela signifierait sa puissance, puisqu’elle disposerait aujourd’hui d’armes égales par rapport à l’Europe. Autant donc rapiécer le continent africain en mille morceaux pour le dominer et faire d’elle son pré-carré, pour qu’il demeure l’éternelle vache à lait, de sorte que des suppôts, corrompus et inféodés à la démocratie mondialiste y trouvent naturellement leurs comptes. Et tant pis !
L’Europe vend des armes à ses partenaires, multiplie ses relations tout azimut, selon ses intérêts. Et nos élites corvéables se laissent dominer pour être ferrées dans le pré-carré colonial. Alors que rien ne nous empêche de traiter librement avec les Brics qui ont un gigantesque marché de 700 MRDS de DOLLARS, ont reproduit à l’identique le FMI et la banque mondiale.
Si la banque mondiale et le FMI étaient efficaces, cela se saurait depuis fort longtemps. Et pour cause. Partout où les deux officines financières internationales interviennent, dans le monde et sévissent et le marasme social, la corruption, la désolation, le chômage, la misère pandémique et les guerres incessantes,
Puisque les jeunes les plus valides, bravent les terres et les mers au péril de leurs vies, sont livrés à la merci des passeurs véreux et des requins.
Le monde est donc un et indivisible, tel un collier qui se tient. Tout déséquilibre, peu ou prou, se fait sentir, et entraîne de facto, des conséquences directes, quand bien ceux même, qui s’auto- glorifient d’une mission divine, sous le socle du fardeau de la mission de l’homme blanc, soutiennent des autocrates, africains—les bourreaux de leurs peuples— se barricadent eux-mêmes, en fermant ses frontières, qu’ils appellent « la crise migratoire », ou la crise politique,
« La politique commerciale, coloniale », telle qu’elle est menée savamment par la banque mondiale et le FMI [fonds monétaire International] prouve éloquemment : deux instruments politiques de domination en attente cordiale, ont tendance à étayer entre les lignes, sans le dire ouvertement, la charte de l’impérialisme ? Qui peut donc le nier ?
Car selon certains experts bien renseignés, la charte de l’impérialisme comporte plusieurs articles, dont le plus important se définit, ainsi : Devise de l’impérialisme : Gouverner le monde et contrôler les richesses de la planète ; Notre politique est de diviser pour mieux régner, dominer, exploiter et piller pour remplir nos banques et faire d’elles les plus puissantes du monde.
C’est le même principe du prolongement qui sévit dans les hypothétiques Accords APE, que l’on appelle emphatiquement les Accords de Programmes Économiques.
Or, les prétendues bonnes causes, cachent en bandoulière les mauvaises raisons, entre autres, les incessants Emprunts Obligatoires se perlent de plus en plus dans un rythme effréné, cerise sur le gâteau, s’enchevêtrent massivement et à la pelle, et sans répit, les charrettes permanentes des plans structurels de la Banque Mondiale et de sa Sœur jumelle, le Fmi- deux institutions financières internationales, impérialistes, capitalistes et de pillage systématique, ont vu le jour aux accords de Bretton Woods en juillet 1944, sont nées au lendemain n’ont que des effets multiples dévastateurs, incommensurables, que sont les, à savoir la Banque Mondiale et de sa Sœur Jumelle, le Fmi- les deux institutions financières internationales entrainant de facto des Dégâts collatéraux, auxquels s’ajoutent les taux d’intérêts massifs, comme prime, pour pimenter la sauce, afin de plomber durablement l’avenir et créer ainsi, les conditions de la dépendance, tant qu’il sera nécessaire.
Contrairement aux idées reçues, ceux qui dominent le monde, cautionnent la politique du pire, protègent malgré tout, harnachent par des mécanismes douteux leurs laquais, qui foulent du pied les violations du droit humain. Ces derniers en échange des services rendus, réciproques, leur donnent des parts de marché, et au nom de l’impunité, et, leurs souteneurs, revigorés, à leur tour, assurent le service après-vente, même s’ils n’ignorent point leurs forfaitures. « Les esclaves « bénéficieront immanquablement d’un parapluie militaire imparable, tant qu’ils leur seront fidèles. Le maître et son esclave, sont inséparables. Autrement dit, dans le monde moderne, entre « les esclaves et leurs maîtres du monde « lesquels des deux dominent ?
Ce que l’on sait, c’est que les premiers ne peuvent vivre sans les seconds et vice versa. En vérité, il y a une interaction dynamique, réciproque, d’autant plus que ce qui les unit est supérieur à ce qui les désunit. Mais les populations orphelines, lassées et lassés pour comptes, sont les principales victimes, en payent le prix fort.
Pour couper le cordon ombilical qui n’a que trop duré, c’est-à-dire les liaisons dangereuses, autant que nous soyons capables de mettre sur pied des institutions fortes et inviolables, solides et nécessairement des garde-fous, des patriotes respectés, respectables à l’endroit, si nous voulons un véritable état régalien avec à la clé la séparation des pouvoirs et un contre-pouvoir ? À défaut, le mal ira en pis, puisque le président- monarque en place et ses successeurs et ses souteneurs auront encore de belles années devant eux.
SUNU SENEGALGUII DEÑU KO SENTOO WONE CI GUILEM MU WAC CI MBAM.
On l’oublie souvent. Senghor,-paix à son âme, qui fut le chantre de l’aliénation culturelle, le porte-drapeau l’homme des français, est à la base de nos éternels déboires de nos déconvenues en pis : « la colonisation est un mal nécessaire », cautionnait et faisait donc l’apologie des crimes sans équivoque, car le colonialisme, est synonyme crimes pluriels. Son disciple en place au palais- Macky Sall- lui emboite machinalement le pas plus d’une fois en 2012, lors de la révision des accords de défense bidon, signés entre les deux tours des élections présidentielles, déclare, je le cite textuellement à la lettre : « le retrait des troupes et bases militaires françaises relevait quelque peu d’un nationalisme mal placé ».
Le récidiviste, dénommé l’envoyé spécial colonial en Afrique, attitré et accrédité à Dakar, y ajouta des couches supplémentaires épaisses dans une hystérie décapante à propos de la monnaie coloniale, baptisée le nazisme monétaire, ou l’ingérence monétaire du FCFA : « la déclare bonne monnaie à garder »
À l’instar de la constitution de la Vème République, par mimétisme et par servilité et pour faire plaisir à l’ancienne puissance coloniale, qui est toujours plus que présente sur le terrain du crime, Senghor, qui fut à la fois et le codificateur du fascisme et le meilleur élève de la francophonie par sa négritude politique interposée, l’admirateur de Gaulle, déclara avoir une faiblesse pour la France, s’autoproclama le président de la république du Sénégal— en lieu et place de la République Sénégalaise(RS) à la suite du coup d’état contre Mamadou Dia [Le président du Conseil ], ouvrit donc la boîte de pandore, instaura le régime présidentiel fort, et totalement illégal, concentrait à lui seul tous les pouvoirs sans qu’il y eût une quelconque approbation généralisée des sénégalais par voie référendaire.
Les PMA —la unième appellation mordante, peu glorieuse à l’égard des pays du sud — pour les qualifier de façon rétrograde, importent plus qu’ils n’exportent. D’où le déséquilibre entre gagnants et perdants. Car les pays développés qui s’auto-déclarent les plus- inversent drôlement les rôles contre les pays du sud, dits pauvres, sont en réalité plus riches en ressources naturelles de toutes : pétrole, diamant, zircon, or, ce don de dieu. Pour ne citer que celles –ci. Je me passerai du renforcement des troupes et les basses militaires d’occupation et ses clauses secrètes.
Lorsque le parquet —obéit implicitement sans brocher, n’a aucune indépendance — un bien grand mot— qui devient lui-même non seulement le paquet, le jouet et l’instrument politique, le bras armé du chef de l’exécutif, lequel à ses yeux, entre l’état et sa personne, ne font qu’un, puisqu’il est à la fois et le chef de bande de son propre parti politique, cliniquement clanique ; oriente dangereusement sa justice dans le sens voulu, concentre tous les leviers du pouvoir, diligente tout par dernière, sans qu’aucune ligne Maginot n’ait dressée contre lui. Dire le contraire relève d’une hypocrisie totale, voire d’un gros mensonge.
Or, dans une démocratie réelle et tangible dans un état régalien, l’on ne saurait accepter l’idée incongrue qu’un seul homme, fût-il un président de la République, puisse t-il être au dessus des lois étrangères, monarchiques et scélérates, taillées sur mesure, pendant que de l’autre côté, sous n’importe quel prétexte bidon, farfelu, on s’acharne honteusement et brutalement sur tout citoyen, député, quelque soit son rang, on leur applique sans discernement la fatwa d’un mandat de dépôt. Ce n’est juste. Soyons sérieux ! On a voulu détruire la féodalité, en mettant place à une autre plus cynique.
Par conséquent, nous ne sommes jam pas dans une démocratie, mais dans une monarchie qui tourne à plein régime, car il y a une collusion flagrante et manifestement un conflit d’intérêt, pour dire la vérité des faits têtus. Malgré leur apparence, tous les corps de contrôle prétendument intentionnels, sont tous des lèches- bottes et des bouquets de fleurs du président- monarque.
La police, l’armée, la gendarme, l’assemblée nationale, l’administration sénégalaise, les Consuls généraux, et les ambassadeurs n’échappent à la règle, restent tous soumis pour n’être que des instruments politiques au service d’un seul homme, paresseux, détient tout par devers tous les leviers du pouvoir : confisque le pouvoir de l’exécutif, législatif, judiciaire, politique, financier, économique et maintenant médiatique. Tout passe au peigne fin, puisque rien ne lui résiste, punit, qui il veut, quand il veut, comme il veut et à sa propre convenance, quand il le désire, contrôle qui il veut, n’a de compte à rendre personne, quand même bien même, par sa posture supposée, la constitution l’autorise, irresponsable des actes qu’il pose, fussent ils abjects.
Sénégal/le Scandale du Régime Présidentiel-Monarchique, un Coup d’état Permanent !
Sommes-nous des incapables pour mettre fin au Scandale du Président-monarchique le planificateur des éternels coups d’état permanent ?
Le Sénégal a préféré s’incliner bassement sous l’autel de la soumission totale face à l’hégémonie suprémaciste blanche, triomphaliste, s’accorde, en s’encordant aux institutions étrangères, impérialistes, marche irréversiblement aux pas de ceux qui dominent par des marionnettes interposées, font réellement office de présidents- monarques, serviles.
Le Sénégal, reste plus que jamais le ciel ouvert de l’expansionnisme, redevient incontestablement donc dans les faits, un protectorat, une province de Marianne, ayant à sa tète des serviteurs-gouverneurs dociles, malléables et marqués au fer rouge. Qui peut parler donc de Progrès, de liberté d’indépendance ou de démocratie visible ? « Lan mofi yoku wala délu guinaw » ?
Le régime présidentiel, tel qu’il est conçu en Afrique des nègres de service, est un kyste confiscatoire à démocratie et aux libertés fondamentales des Consciences.
Le président-Roi : un hors-la loi, un Scandale permanent D’inspiration Monarchique ; un Kyste confiscatoire aux libertés fondamentales des Consciences ?
Pour nous dominer éternellement et nous emberlificoter davantage nous a asservis et assujettis pour nous tenir en laisse en laisse, On a démantelé nos monarchies féodales, et tué nos modes de pensée, culturels, civilisationnels et traditionnels, qui firent, jadis, le ciment fédérateur, unificateur de la cohésion sociale et de l’unité nationale. Nos rois furent vulgairement catalogués comme des symboles sanguinaires, maléfiques, rétrogrades et des autocratiques, sont remplacés par des marionnettes, qui sont encartées à la démocratie impériale, supposée universaliste.
Certes, quand même bien, on nous tambourine à longueur de journées, l’idée, selon laquelle le député bénéficie d’une soi-disant immunité parlementaire, n’est que virtuelle au regard des faits contradictoires, n’est à l’abri de rien, par rapport au roi- président de la république.
Lequel reste plus jamais que » intouchable « par son caractère d’impunité, quoiqu’il puisse faire, par ses dérives, n’est jamais responsable de ses actes, même s’ils sont délictueux, durant son mandat, en tant que monarque, ubiquitaire, détient automatiquement la majorité parlementaire à l’assemblée nationale, sa cour royale, par définition, dévouée pour sa cause et à ses gémonies : un déséquilibre net patent, indigne des pouvoirs, d’où deux poids et deux mesures. C’est pire que le système féodal, et, ce, sous le fallacieux prétexte de créer l’instabilité politique, doit nécessairement garder son immunité, tant qu’il sera aux commandes. Ce qui est surréaliste et fort de café. Nous avons rétabli, dans les faits, un roi divin, qui dit bien son nom, qui a droit de vie et de mort sur ses sujets.
Entre le statut du président- monarque et les monarchies constitutionnelles actuelles dans le monde, il n’y a nullement l’ombre d’une séparation. Comme on dit, c’est blanc bonnet et bonnet blanc, nous renseigne sur une hypocrisie consensuelle et d’un tabou.