Surréalisme au Sénégal : Du statut d’Immunité, Source d’Impunité À Celui d’un Voleur-Violeur, qui crie au faux violeur. PAR AHMADOU DIOP CPC.
À quoi joue donc le Technocrate Charlatan, Criminel, Voleur-Violeur, Chef de bande de la République des Proxénètes et des Prédateurs Corrompus , qui crie au violeur imaginaire ? Le coupable est tout trouvé, et ce n’est pas l’ancien inspecteur des impôts, major de sa promotion !
Macky Sall- Ousmane Sonko : qui est donc le véritable patriote, le serviteur, et le traitre violeur- voleur, casseur du siècle au Sénégal ?
En vérité, l’ancien inspecteur des impôts, le résistant leader pastef, est devenu par la force des choses un député charismatique et un acteur politique de gros calibre, redoutable, dont le moins que l’on puisse dire, est tant redouté par ses salves et ses sorties récurrentes, abrasives, qu’on lui connaît, au point qu’il ébranle, dérange au plus haut sommet de l’état. Alors, que les enseignants payent 70.000 FCFA en impôt, Sonko dénonce à voix audible sur la place publique, les injustices attentatoires et les émoluments excessifs, dont sont coupables les parlementaires, ne payent comme impôt que la somme dérisoire de 1500 de CFA, selon le dénonciateur, la victime, présumé coupable-mon œil.
Plus grave encore, par son courage et par son altruisme, il y ajoute en sus les privilèges et les passe-droits indus du système prédateur corporatiste, politico-mafieux, ploutocrate et gérontocrate, fait main basse sur le pétrole et gaz du Sénégal.
Les vraies raisons sont ailleurs que celles que l’on croit. L’invisible prime contre le visible invoqué. D’où le conflit d’intérêts manifeste ne souffre d’aucune ambigüité.
L’ex fonctionnaire , qui n’a pas sa langue dans sa poche, pour avoir refusé la politique du savoir et se taire, donne du fil à retordre à celui qui est considéré à juste titre, comme le chantre, négationniste du népotisme, de la pagaille, et de la trahison, et qu’il faille donc le châtier, par des croche-pieds, ou des crocs-en jambes, pour le faire taire à tout prix par des mécanismes douteux.
Tôt ou tard, l’intriguant, clinquant, le clivant de la magistrature, qui est comptable de ses crimes physiques, économiques et financiers, rendra des comptes pour moult et hautes trahisons et utilisation de décharges électriques dans les organes génitaux des jeunes militants de Pastef, arrêtés, puis libérés.
En vérité, il s’agit bien d’un complot satanique, ourdi au plus haut sommet de l’état, tire par derrière les ficelles, pour salir par des pirouettes et des manières purement totalitaires, décousues l’opposant, Sonko, qui est au bon endroit et à la place qu’il faut contre l’envers du décor. Il n’y a nullement l’ombre d’un doute possible.
Le résistant leader pastef a toujours fait preuve de patriotisme, renvoie dans la corde, met à nu et au pinacle la gestion nébuleuse, scandaleuse d’un régime calamiteux, ethnique, désarticulé et ses folies dépensières, inutiles.
Sonko, l’opposant n’est pas au pouvoir. Derrière l’autocrate voleur-menteur professionnel en place, jusqu’à la moelle se cache un violeur en puissance, qui le prouve matériellement sur le terrain du crime, crie au violeur imaginaire.
Qu’il se le tienne pour dit ! Il s’agit bien de MACKY SALL, le bluffeur spécialiste exceptionnel, criminel, est passé maître des coups tordus, en chair et en os. L’accusateur, accusé, ou l’arroseur arrosé, le bourreau du Sénégal, fabrique ses mensonges suintants, cataclysmiques, et s’érige en même temps victimaire des leurres renverse les rôles, criminalise par devers ses adversaires politiques, sont systématiquement désignés tous coupables, et ce, sous l’autel de la rengaine viscérale.
Sommes-nous obligés de croire aux mensonges grossiers, cornaqués par un mythomane comploteur et auquel cas nous sommes ferrés par le diable et ses diablotins ?
Le pouvoir fétichiste, fasciste, apocalyptique, veut absoudre et blanchir à grande eau et à bras raccourci ses crimes imprescriptibles, fait croire à l’opinion nationale et internationale les affaires de l’opposant Sonko, joue sur les plates bandes de Donald Trump, prend ses propres mensonges comme une vérité alternative, éternelle.
A l’approche de la présidentialiste de pacotille de 2019, la permanence du leader Pastef a été caillassée, pour atteindre son moral et le déstabiliser. Rien n’y fait.
Depuis des mois, la servitude encartée à la démocratie familiale, qui travaille sur commande d’en haut, titre, et répète honteusement, quotidiennement les mêmes éléments de langage en grande pompe les supposées affaires des 94 milliards de CFA à grand renfort de publicité mensongère ses inepties corrodantes. Et ce n’est pas parce que les mensonges sont répétés à longueur de journées, qu’ils deviennent absolument des vérités éternelles et devant l’éternel.
Alors, la diabolique campagne dé dénigrements n’arrivant pas à produire ses effets escomptés, la bête immonde ourdit un complot satanique au plus haut sommet de l’état mafieux, tire par derrière les ficelles, veut salir la peau du député et pour le faire tomber. C’est donc le violeur-voleur, qui crie au viol imaginaire.
Il n’y a pas eu ni de près, ni de loin, des probables, probantes affaires Sonko. En vérité, il n’y a que les affaires SALLGATE et les scandales infinis d’un bazar. L’état Macky SALL, reste la marque de fabrique, demeure comme le marqueur des manipulations, de la désinformation et des dénigrements sismiques les plus les plus déments de toute l’histoire politico-financière du Sénégal qu’ait connus notre pays.
Le monstre, qui est incapable d’apporter la moindre contradiction politique face à la patate chaude, Ousmane Sonko, son principal challenger du moment, le célébrissime auteur du brûlot : « Pétrole et gaz au Sénégal. Chronique d’une spoliation », et pour le faire taire définitivement, il le traite grossièrement de violeur faux.
Et pour ce faire, et pour arrondir les angles et cintrer les coins, le kleptocrate béni oui-oui, utilise par devers et à bras raccourci, pour lever l’immunité du député parlementaire, déclenche une fois de plus l’artillerie lourde, et à travers sa mécanique paillassonnée ordurière, interposée aux ordres, représentée par sa caisse d’enregistrement et de résonance, déplorable , déshonorable, boiteuse et irrationnelle, en tète de laquelle le politicard, chef d’entreprise, acteur pétrolier, en l’occurrence, le richissime gérontocrate, Moustapha Niasse, ne doit son ascension vertigineuse, qu’à des potes de nomination tansa bulax nex.
Pour preuves, le dinosaure , en chair et en os, puisqu’il s’agit bien de lui, demeure comme jamais dans la postérité, comme l’un des éléments insulteurs acclamés de la république des ripoux et des saillies contredises, et dont le moins que l’on puisse dire, pour rappel, s’adressait à son ex numéro 2, Malick Gakou, dans une célébrissime diatribe , reste de marbre, comme un marqueur de l’effronterie abyssale, mortifère, le 23 janvier 2015, je le cite textuellement , disait : » aucun salopard ou imbécile ne peut rompre ce qui me lie à Macky Sall ».
Un tel individu déréglé, suffisant, n’est jamais un exemple, ni l’odeur d’une sainteté, malgré son apparence trompe-l’œil, a pourtant mangé dans tous les râteliers, est aux attaches et sous la botte et l’escarcelle du tyran incorrigible jusqu’à l’abyme. Cela veut dire que tous ceux qui s’unissent à jamais, se reconnaissent eux-mêmes, s’assemblent, et ressemblent, par leur platitude, n’est-ce pas ? Point barre !