Tempête dans le Temple des faux passeports diplomatiques. Par Ahmadou Diop CPC.
Macky Sall, est le parrain des scandales et du trafic des passeports diplomatiques et sa justice injuste aux ordres. Il faut le dire tout et à intelligible voix sans retenue, ni modération.
Les prochaines locales du 23 janvier 2022 à date échue constituent à n’en pas douter un test grandeur nature, pour mesurer la température ambiante, détermineront à coup sûr l’horizon 2024 et le rapport de force en présence dans l’échiquier politique.
Manifestement, compte tenu de ce que nous savons déjà sur les intentions malveillantes du désarticulé et, clinquant, face au rouleau compresseur de la Gestapo, notre avenir incertain, est plus que jamais sombre, prenons en compte la gravité exceptionnelle et nos responsabilités à bras le corps et soyons tous unis debout comme un seul homme, en faisant cause commune,
En vérité, la politique partisane, parcellaire, va-t’en guerre, source de trahison Coumba am ndeye ak Coumba amoul ndeye à double standard et à géométrie variable dépend de la posture des uns et des autres, selon qu’ils soient au bon et mauvais endroit. La même mécanique cataclysmique à géométrie variable continue sa trajectoire totalitaire plus belle que jamais, n’y va plus sur le dos de la cuillère.
Quand les intimidations, le chantage, la pression, les fake news d’un fabricateur sans vergogne, l’oppression, les manipulations, les complots, les mensonges tous azimuts et les violences d’état servent de contradictions, Seul compte le rapport de force pour en finir avec la mal gouvernance. L’ignorance, l’injustice et la soumission sont les pires ennemies de tout peuple. Comme on dit, tel pays, tels citoyens.
À défaut que nous ne soyons pas vigilants et sur nos gardes, le triomphalisme du mal endémique, qui n’a que trop duré, ira nécessairement en pis,
Et pour cause. Pour rappel, toute voix dissonante, toute dispersion peu ou prou, ou toute division fera le lit du pouvoir autoritaire prédateur. Seule l’union sacrée de la coalition de toute l’opposition réunie, permettra de venir à bout au régime fantoche des délinquants en bande organisée. Comme le disait Napoléon Bonaparte, le mot de vertu politique est un non-sens.
Le machiavel sénégalais en place applique à la lettre cette doctrine totalitaire. Face au trafic des passeports diplomatiques, qui continue de défrayer hystériquement depuis plusieurs semaines, l’assemblée nationale des godillots certes saisie, et par la voix de son chef, en l’occurrence, Moustapha Niasse, le cireur des bottes de l’autocrate, excelle dans la langue de bois, traîne les pieds, à dessein d’arrondir les angles et cintrer les coins, veut détruire à tout prix, quoiqu’il arrive, les preuves matérielles, qui accablent la caste des prédateurs et des trafiquants des passeports diplomatiques, Lesquels sont dans la loge maléfique de l’apr, le temple des manières aléatoires.
À cet effet, malheureusement, compte tenu de nos incantations stériles en continu, quand demain fera jour, il y aura lieu des gueules de bois et des surprises énormes que celles que nous avons déjà eues, d’autant plus le énième coup d’état permanent stricto sensu sévira par le vacarme hystérique d’un troisième mandat obsolète, risque de passer comme une lettre à la poste, nous donnera du fil à retordre. Nous avons tout vécu et vu dans notre pays étrange et à la renverse.
Modification du code pénal et code de procédure pénale sont en totale contradiction avec le préambule de la constitution au Sénégal et auxquelles se compilent en propensions de façon inconsidérée les parrainages illégaux, décriés par la Cédéao, y compris le code liberticide des communications et la loi soi-disant de trouble à l’ordre public, le terrorisme par extension, que sais-je encore ? Or, le droit européen a alors la primauté sur les droits nationaux.
Ainsi,, si une règle nationale est contraire à une disposition européenne, les autorités des États membres doivent appliquer la disposition européenne.
Ici en Afrique, les incongruités prennent le dessus sur tout et les progrès, le contraire à la renverse, prime, Car on marche sur la tète et à contresens de l’histoire, et sous le prétexte fallacieux de la souveraineté nationale de chaque état. En vérité, sans discontinuer, hélas, depuis le regrettable soir historique du 25 mars 2012 à nos jours, par notre étourderie généralisée à l’échelle nationale, au plus haut sommet de l’état prédateur et mafieux, la politique de la tromperie à ciel ouvert devient une vocation et un véritable business dans la caste des affairistes empestés en bande organisée.
Le ridicule ne tue plus. Il n’y a eu plus d’état dans le sens élevé du terme, mais le spectacle désolant d’un amas de délinquants à col blanc, qui sévissent en toute impunité, et ce, devant le nez et la barbe des forces du désordre, se contentent son rôle de supplétif, face au label de la tyrannie bande ses muscles plastiques à la moindre incartade.
Cela n’est possible qu’en Afrique des satellites-pantins, guignols de leur rang, sont tous logés dans la charte de l’impérialisme, Jamais dans son histoire politique, Le Sénégal n’est tombé aussi bas que la république des prédateurs et des corrompus, trafiquants tous genres, n’a connu dans son existence autant de soubresauts et de scandales inégalés, aussi massifs et infinis, qui se perlent, s’empilent les uns et autres, et dans un rythme effréné, suffocant, au point que celui-ci devienne une norme établie.
Qui peut compter les crimes tant politiques, physiques, économiques que financiers, depuis 9 ans, sans tomber des nues, et dont le maître absolutiste du népotisme, de la corruption et de la pagaille, est comptable devant l’histoire ? Disons le clairement, sans tabou, ni langue de bois, Macky Sall, le spécialiste des coups tordus, demeure comme jamais le coupable désigné, cornaque par derrière les manœuvres dilatoires tuer dans l’œuf le trafic des passeports diplomatiques, dont sont coupables son escarcelle de dépités.
Désormais, qu’on le veuille ou non, il [ Macky Sall] fait partie des réseaux occultes de l’hydre mafieuse, tentaculaire et de la galaxie des dictateurs-prédateurs les plus corrompus de la françafrique et des soumis de la planète entière, sont sous la remorque du pré-carré colonial.
C’est bien lui-même en chair et en os, fait de la diversion, sème la zizanie, en entravant sa justice des courbettes et qui trouble aussi par devers l’ordre public par son impunité abrasive et au mépris des consciences médusées.
Et ce scandale, dont nous parlons tant jusqu’à perdre notre cocc barma, n’est que la face émergée de l’iceberg. Si nous étions dans un état de droit avec des institutions libres, indépendantes, souveraines et transparentes, Macky Sall et son ramassis de tribalistes en vase clos, seraient depuis fort longtemps hors d’état de nuire et sous bonne, comme l’ont déjà sans bruits, le Mali et la Guinée Conakry pour le cas Alpha Condé et IBK.Sur le cas d’espèce, qui l’éclabousse et son camp immédiat, sa caisse de résonance et d’enregistrement ne travaille que sur commande d’en haut, et dont le but est d’étouffer l’affaire sordide. Alors que sous d’autres cieux, l’opposition, qui en a pour grade, est automatique charcutée et traînée dans la boue comme des malfrats et dans les tribunaux aux ordres, s’autosaisissent promptement mécaniquement et la tète baissée, tels des abrutis.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, pour rappel au Fouta et lors de la tempête Tropicale, les escalades mortifères des nervis enjolivés, couverts et encadrés par la police et la gendarmerie, désignés sous le nom de Tontons macoutes, avaient fait parle d’eux-mêmes.
Comme si cela ne suffisait pas encore, les mêmes récidivent à ciel ouvert, agissent sans foi, ni loi et attaquent en toute impunité le convoi de son adversaire du moment, dont le commanditaire complice direct n’est autre que l’aventurier. Cela n’est qu’un euphémisme, qui ne souffre d’aucune ambigüité.
Que nenni, la temporalité politique Coumba am ndeye ak Coumba amoul ndeye veut que le scandale des faux passeports diplomatique touche non seulement la sarabande des dépités, la prétendue ministronne des affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur, en particulier, le fabricateur des fake news et des faux bonds, est de loin l’épicentre et le laboratoire des faux passeports, des passe-droits et des privilèges indus.
Et ce scandale, dont nous parlons tant jusqu’à perdre notre cocc barma, n’est que la face émergée de l’iceberg. Si nous étions dans un état de droit avec des institutions libres, indépendantes, souveraines et transparentes, Macky Sall et son ramassis de tribalistes en vase clos, seraient depuis fort longtemps hors d’état de nuire et sous bonne, comme l’ont déjà sans bruits, le Mali et la Guinée Conakry pour le cas Alpha Condé et IBK.