« Le bon élève de la FrançAfrique , le Mal du Siècle au Sénégal », a-t-il donc réécrit d’avance le Scénario, à l’Instar des Monarques Africains ? Par Ahmadou Diop
Dans un état régalien avec une justice libre et indépendante, il appartient aux plus autorités, d’assurer la sécurité des personnes et la circulation de leurs biens, mais dans les faits, il n’en est rien. Et pour cause.
Que l’IGnare, l’autocrate, le pillard, Dégage – NADEM MBA CI NII MBA CI NAA !
À quelle planète sommes-nous donc pour que le mal endémique, qui n’a que trop duré, puisse triompher, contre la volonté de tout le pays debout ? Macky Sall, est le maître de l’incivilité banalise à ciel ouvert, la corruption, l’achat des consciences abîmées, et légalise par-dessus tout la transhumance, qui deviennent une norme établie, en les sacralisant ouvertement et à la place publique.
- Affaires bictogo : 12 milliards FCFA pour les passeports biométriques
- Arcelor mittal qui éclabousse le maître de l’esbroufe : 72 Mrds FCFA sont déposés dans le compte de macky SALL à Paris
- jackpot et fils, ou l’argent des russes : 1, 500.000 EUROS, dont le principal bénéficiaire n’est rien d’autre que Macky sall himself pour arroser sa campagne électorale contre ABDOULAYE Wade. Une telle esquille aurait de quoi faire sauter son état entier, n’est que la face émergée de l’iceberg. Et ce n’est pas tout.
- Main basse sur le pétrole et gaz du Sénégal avec ses zones d’ombre, rétro commissions et les des marchés de gré à gré s’enchaînent, tels des écheveaux.
- Opacité totale de la rénovation du building administratif par un novice, gagne étonnamment le marché, estimé dans un premier temps à 17 Mrds, s’allongent pour une valeur de plus 37 MRDS FCFA.
- LeXVe Sommet de la Francophonie, qui s’est tenue à Dakar (Sénégal) du 29 au 30 novembre 2014
Adama Faye, le petit frère de Marème Faye gagne un marché de plus de 200 millions F CFA par contrat en date du 12 mai 2014,Une société étrangère belge se taille un montant de 2.5 mrds de F CFA sans le moindre appel d’offre.
- Un nouveau palais présidentiel sera bâti à Diamniadio POUR 100 MRDS FR CFA. Est-ce à dire que l’autocrate ne compte pas quitter le pouvoir en 2019, pour s’y loger durant des années, et égaler , damner le pion à son Co-pedigree, l’ivoirien de la dernière heure, Alassane Ouattara ?
Est-ce à dire que l’autocrate ne compte pas quitter le pouvoir en 2019, pour s’y loger durant des années, et égaler , damner le pion à son Co-pedigree, l’ivoirien de la dernière heure, Alassane Ouattara ?
- Abdoulaye Sylla, administrateur provisoire de ahs, laisse une ardoise de plus d’un milliards FCFA
- Omar HANN, maire de NDIOUM et directeur du coud, court toujours, et vaque à ses besognes, alors qu’il est épinglé d’avoir mis la main sur 81 MILLIONS de FCFA
- Aliou Sall, le prête nom de son frangin, maître de Guédiawaye, gravit de plus en plus des échelons, contrastent parfaitement avec sa capacité, atterrit allégrement à la caisse des dépôts et consignation.
À l’effigie des Ouattara, des Bongo I et BONGO II et Cie, le plastique frangin, sera parachuté, le vice-président, en cas de la victoire de son frère ? Macky Sall. Ne soyons pas surpris et scandalisés, toutefois que l’éternel braqueur électoral remporterait la présidentielle de 2019, et ce, par une baguette magique !
Sommes-nous donc amnésiques, pour réélire le pantin, suppôt, tant ses casseroles si infinies, qui s’amoncellent, et se perlent à la pelle devant la barbe et au nez de sa justice joue les vacataires.
- Déguerpissement des populations mal indemnisées, pour construire le chemin de fer sur lequel l’onéreux Ter, coûtera la somme astronomique de plus 1365 MRDS F CFA et les services après- vente et toutes les garanties inimaginables.
La liste des scandales surréalistes sont si longues que l’on ne saurait les énumérer tous.
Alors, en l’absence d’experts économiques et financiers, formés à bonne école, sur le plateau de la rts, auraient pu porter la contradiction, et pour nous faire part de leurs analyses et leurs expertises, face à la platitude manifeste d’un guignol attardé et ses salades, en lui faisant avaler ses quantités industrielles de mensonges pimentes, ont tous malheureusement abdiqué sur toute la ligne, par leurs manquements et par leurs dysfonctionnement en continu, brillent dans un mutisme ahurissant sur la question vitale du pétrole et gaz du Sénégal, et dont l’opacité manifestement criarde plus que ténébreuse, plombera durablement à coup sûr l’émergence de notre pays et son avenir incertain.
Évidement, le lâche, qui occupe le terrain, fait son show, son spectacle permanent, se dédouane de tout, en s’accommodant dans la désinformation et la manipulation outrancière, auxquelles il nous habitués, depuis le triste regrettable soir historique du 25 mars 2012, à nos jours.
Amadou Bâ, le ministron des mensonges-tan sabula nex- qui n’est ni un spécialiste financier, encore moins un expert en la matière, prétend s’appuyer sur l’expertise de la banque mondiale et du fmi, lesquels ne sont que des institutions capitalistes , impérialistes et des instruments de domination ,de pillage et à caractère colonial,
À l’époque, précisément en 2012, le candidat de la France, qui est plus que jamais aujourd’hui fidèle à lui-même, et dont la côte de popularité de popularité avait été exagérément amplifiée, fut peint faussement sous les défroques victimaires des leurres, grâce à la sainte sacro sainte loi de la machine de propagande de référence internationale, n’avait obtenu que 25 % au premier tour de l’élection présidentielle en 2012, alors qu’Abdoulaye Wade détenait 35%. Au deuxième tour, compte tenu de la conjoncture politique et du vote protestataire contre le Pape du Sopi, le cheval marron sur la base de ses promesses électorales, était largement élu par dépit et à défaut, avec un score de 65 % et dans des circonstances exceptionnelles inédites.
Il faut dire que le fameux score du chef de bande l’apr, n’était ni un chèque en blanc, ni un vote de confiance, encore moins une adhésion totale à son programme politique et en terme de progrès, mais une expression virtuelle. Quoiqu’il arrive, Il fallait à tout prix, éliminer de facto Abdoulaye Wade, qui était accusé de vouloir installer la dévolution monarchique, en mettant son fils, Karim Meissa Wade, l’ex super ministre d’état des infrastructures du Ciel et de la Terre.
Depuis hélas et à nos jours, et au regard des faits qui parlent d’eux-mêmes, qui témoignent de la pire magistrature la plus scandaleuse que l’on n’ait jamais connue dans notre histoire par son bilan calamiteux et ses zones d’ombre, en toute logique, rationnellement, toutefois que la présidentielle de février 2019, se déroulerait dans les conditions transparentes, optimales et démocratiques, l’actuel chef de la mal gouvernance endémique, serait automatiquement recalé, car le score des 25% qu’il avait obtenu miraculeusement lors du premier tour en 2012, se réduirait politiquement, drastiquement comme une peau de chagrin, serait divisé dans une certaine mesure par 3.
Sept ans après, d’une magistrature incurieuse et de scandales infinis, nous avons été tous tombés des nues, déçus et déchantés. Les promesses électorales n’ont été jamais tenues, ni de près, ni de loin, malgré le tapage médiatique emphatique, suffocant à l’abondance. Depuis lors, jusqu’ici, nous assistons donc à une gouvernance familiale, confiscatoire à la démocratie. Comme on dit, certes, voler un tam-tam, est une chose, mais quand il s’agit de le battre, c’en est une autre : « sac am ndeund yombna wayé fokoy teugué moodiafé ».
Et les crimes d’État impunis qui passent sous silence ?
La rituelle magistrature, qui sévit constamment avec ses morts suspectes tous genres et ses crimes en compilations non élucidés, s’enchevêtrent les uns et aux autres, semblent prendre des allures démentielles et sur l’autel des sacrifices humains, obéissent à des pratiques mystiques.
Apparemment toutes les disparitions étranges des albinos, notamment lors des manifestations estudiantines, sont de nature à tuer dans l’œuf toute velléité de résistance, deviennent nécessairement une pédagogie mortifère, prime surtout Il n’y a que des victimes, sans qu’il ait nécessairement pour autant des coupables désignés et à la place publique.
De Senghor à Abdou Diouf, en passant par Abdoulaye wade personne n’échappe à la règle, et surtout Macky Sall, le chef de bande, le tribaliste « nédo ko bandoum « du parti politique cliniquement clanique, le plus médiocre de tout l’échiquier politique sénégalais, détient absolument le triste record des morts, quand les tireurs bien même les assassins sont connus. Une curiosité déconcertante. Mais bizarrement, il suffit qu’un citoyen ou une citoyenne, dise son opinion sur le régime autoritaire, dans les minutes qui suivent, la personne bénéficie presto illico d’un mandat de dépôt de la part du procureur, zélé, qui s’autosaisit sur ndiguel de celui qui se donne une respectabilité de pacotille derrière les grilles du palais « alpulaarisé, » décidément peint aux couleurs marron- étrange et à la renverse.
Qui peut donc compter les violences policières de ces dernières années, dont sont constamment victimes nos concitoyens et concitoyennes, qui apparaissent tous comme des gibiers ?
La longue liste macabre, qui s’allonge inexorablement, frisant la démence, est plus que choquante, nous horripile. Nous sommes choqués, indignés et condamnons fermement et jusqu’à la dernière énergie les crimes crapuleux.
Nous interpellons directement l’état laxiste, qui semble avoir d’autres préoccupations, que d’agir efficacement pour mettre la main sur les auteurs des crimes abjects. nous rappelons que tous ces crimes massifs, impunis, qui passent sous silence, engagent, et relèvent incontestablement de la responsabilité directe de l’état, qui a manifestement failli à sa mission, ne peut en aucun cas, se ,dédouaner, sous aucun prétexte, peu ou prou. Curieusement, les coupables bien connus, courent, circulent librement en toute impunité au su et au vu de tout le monde, ne s’inquiètent outre mesure, on ne sait par quelle magie et pour quelle raison d’état, mal placée, mais la raison d’état rime avec l’impunité du président de la république, est source d’immunité. Il faut le voir pour le croire. C’est une exclusivité africaine à dormir debout.
– Bassirou Faye, l’agneau du sacrifice, a été assassiné par la police de la Stasi en place, le jeudi 14 août 2014, lors des manifestations étudiantes à l’université Cheikh ANTA Diop
L’étudiant Bassirou Faye, est décédé suite à « un traumatisme crânien avec fracture et hémorragie interne et externe, survenus à la suite de coups et blessures par arme à feu », selon les conclusions de l’autopsie confiée au professeur Victorino Mendes.
Les forces du désordre n’ont que la gâchette facile, tirent à vue et à bout portant, et de façon disproportionnée à chaque manifestation.
Crimes d’Etat en permanence par la soldatesque SS Waffen : les étudiants, opprimés, sont des coupables désignés d’avance, selon la lecteur du pouvoir fantoche, qui le prouve
La république mystique des procès politiques, sismiques, présumés judiciaires, cachent le bilan calamiteux d’un gangstérisme d’état, légitime ses violences, peu à peu, met en avant son prétendu PSE, et à la seule fin de croire se tirer d’affaire et confisquer infiniment le pouvoir. Pour ce faire, le régime colonial veut laver à grande eau ses crimes politiques, économiques, financiers que physiques contre des étudiants. C’est toujours le visible contre l’invisible, qu’il met en exergue pour se donner une virginité imaginaire.
Les éternelles victimes, oubliées, se perlent de plus et à la pelle, mais jamais de coupables désignés.
IL n’y a qu’en Afrique et au Sénégal des élites courbettes, où de tels ignobles crimes sont perpétrés contre des étudiants, sont possibles.
Après Bassirou Faye, voici la liste funèbre et provisoire des victimes :
– Fatou Matar Ndiaye
–Abdoulaye Timéra
–Seck Ndiaye
–Pape Sarr
-Fallou Sène
-Ibrahima Mbow, mort d’une balle lors d’une émeute à la MAC de Rebeuss
– Elimane Touré
–Omar Watt
Pour Macky Sall, le Sénégal est une démocratie
Or, en lieu et place d’une vraie rupture par l’action matérielle sur le terrain, contre toute attente, le présumé cheval de Troie change radicalement sa mouture, privilégie la particratie familiale ethnocentrique d’un village entier, comme si les compétences bidonnées des cv de ramassis, se mesurent exclusivement à l’aune du bazar et des mêmes patronymes particuliers.
D’où la déception totale de la majorité des sénégalais, au point qu’ils se considèrent trahis par celui qui nous promettait l’éthique et l’équité. Depuis lors, le désarroi et la mal gouvernance s’installent, puisque beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, car depuis, le règne du régime le plus scandaleux de toute l’histoire, nous donne la mesure d’un bilan si chaotique.
Les soi-disant réalisations coloniales ou les Trophées de Guerre cachent donc un affreux monstre Despotique satanique, machiavélique, digne de son rang.
Les réalisations des infrastructures mises en avant sont certes louables, mais à quel prix et pour qui, ne peuvent constituer une fin en soi ?
Les nombreux chantiers sur lesquels s’appuie le nègre de service, sont en réalité dictés et sur commande. L’économie sénégalaise, exsangue, est totalement extravertie et tournée à l’extérieur.
Point n’est besoin d’être un économiste, financier pour balayer d’un revers le PSE. Car , d’une part, l’éternel taux de croissance, bidonné, pour faire beau, et qui grimpe de plus en plus, dans un rythme effréné, n’est qu’un tissuthèque de mensonges, ne reflète nullement la réalité sur le terrain du crime, et au climat délétère, d’autre part, 70% des jeunes valides sont abonnés au chômage chronique, vivent dans le marasme social, en sus des endettements permanents, mettent en péril et le pouvoir d’achat inexistant. Tous les bénéfices engendrés par les entreprises coloniales sont rapatriés dans leurs pays d’origine, émergent, pendant que les compagnies nationales sont reléguées au second plan.
NB ; tous les fascistes déclarés n’agissent jamais seuls ni au hasard, au contraire, ils sont soutenus matériellement par de gros bras et dans le secret des dieux et de façon souterraine. Danion am Guinaw Et les exemples foisonnent partout en Afrique des élites fantoches, notamment au Moyen-Orient et dans les monarchies autoritaires, bien connues. Alors, un tel homme au passé et au présent si ombrageux par ses casseroles bruyantes, ne mérite pas d’être réélu à date échue.
Ce n’est pas parce que Macky Sall fait des réalisations, que cela ne l’empêche pas d’être une esquille à la démocratie. Ne perdons de vue cet aspect. C’est un enfumage classique de tout autocrate. C’est un écran de fumée. C’est connu. Tout dictateur, pour être charismatique, joue contradictoirement sur deux tableaux : c’est-à-dire, il met en relief à la fois et l’accent sur l’aspect prétendument économique et passe par derrière, en restreignant drastiquement la liberté de la presse, les libertés fondamentales de conscience et les libertés individuelles, collectives, indispensables, qui consistent aussi à instrumentaliser sa juste contre ses adversaires politiques immédiats.
On peut dire que la montagne a donc accouché d’une souris, et les langues ont commencé à se délier de plus en plus, et de façon très prononcée, et ce, malgré la campagne de la désinformation, de la manipulation d’intoxication médiatico-politique du plan Sénégal émergent peu convaincant, tout azimut, qui reste plus que jamais colonial, n’est qu’une coquille vide de piètre qualité.
Compte tenu de tous ses éléments, qui se sont passés depuis sept ans, comme facteurs de régressions empilés les uns aux autres, notamment l’abondance des richesses étalées et si rapides, symbolisées par le vacarme blasphématoire, ostentatoire et attentatoire des grosses cylindrées de sorties de terre ; on ne sait où et comment,, auxquelles s’y ajoutent hystériquement et le code des communications électroniques liberticides, et les éternels procès politiques, cataclysmiques, loufoques à sens unique, ciblant , ainsi, tous ceux qui ne veulent pas se mouiller, où se mouler dans l’escarcelle empestée du rouleau compresseur.
Le logiciel apr, ou la mécanique ignoble, inégalée, inégalable, devient de facto un fourre-tout,, voire une boîte de pandore et une caisse à outils et à corruptions massives et à haut dépit, recycle par devers et en continu tous les déchets toxiques, au premier rang desquels Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng, deux multimilliardaires étranges des raccourcis politiques parmi tant d’autres et par le miracle des postes de nomination TAN SABULANEX, échappent miraculeusement comme par hasard aux griffes de la CREI : cour de répression de l’enrichissement illicite, réactivée par décret présidentiel – un bien grand mot nébuleux -ou une cour royale, martiale unique au monde, digne de la Stasi, représente incontestablement des conflits d’intérêts manifestes.
Comme tout le reste, la justice partiale, partisane, témoigne éloquemment d’un magistère totalement bancal, tyrannique et calamiteux. Une justice aux ordres, instrumentalisée, est totalement illégale juridiquement, moralement et politiquement : une arme politique de guerre confiscatoire à la démocratie et aux libertés fondamentales de conscience, ne travaille que sur commande d’en haut, qui est juge et partie.
Les liaisons dangereuses du sénégalais caractériel machiavel, qui est probablement aussi un franco- américano sont –elles de nature à nous rassurer ?