L’Equation Macky Sall & le braquage électoral permanent d’un Gangstérisme de l’Etat policier du Sénégal ! (Par Ahmadou Diop).
La bête immonde reprend du poil et du service. Chassez le naturel, il revient toujours au galop. Voilà l’exercice auquel s’adonne le cambrioleur non repenti et pour cause.
Ça y est. Comme on s’y attendait d’ailleurs, les résultats des législatives de pacotille tombent comme un couperet : BBY, monocolore monopolise l’Assemblée nationale, qui est au service du tyran arrache par devers et contre tous par le braquage électoral cousu de fil blanc les 125 députés sur les 165 que comptera la future l’Assemblée nationale.
La soi-disant Assemblée Nationale de godillot, de service et des sinécures – entendez des doungourous- dont Moustapha Niasse, qui est le chef de service attitré et le cireur des bottes du despote encombrant.
Tandis que tout le reste se contente exclusivement des mettes qu’on veuille bien leur laisser.
Rien ne change, au contraire tout continue dans le meilleur des mondes, comme si rien n’était. Comme je l’avais prédit la semaine dernière dans l’Info Autrement, le menteur fourbe- professionnel, pickpocket et brigand dans l’âme, à travers sa presse de servitude, qui lui set de relais, fait vent debout contre tous, tente vaille que vaille à légitimer ses forfaitures immenses, et pour plaire à la dite Communauté Internationale, Suprémaciste Blanche, bon teint, complice de la tartufferie, est présumée faiseur de rois et d’’opinions en Afrique des 14 pays larbinisés.
Rien n’y fait, car le pédigrée, faussaire né, encombrant, récidiviste dans l’âme; tient mordicus contre vents et marrées, persiste et signe, ne fait pas mentir tous les pronostics, n’entend rien, reste sourd et muet, se taille une fois de plus son propre score fantasmagorique sur la base des mécanismes fascistes, réitérant ainsi, sans pudeur, ni scrupules son gangstérisme qui lui colle à la peau par un braquage électoral permanent, digne de lui, qu’on lui connaît, officialise ouvertement par devers ses méthodes fascistes.
Avant la pénétration coloniale, l’organisation des sociétés africaines était analogue ou supérieure à celle de l’Europe, écrit de marbre le célèbre scientifique égyptologue Kamit- bon teint, la figure de proue, emblématique, charismatique, panafricaine de premier plan, hors pair et de classe exceptionnelle, en l’occurrence, cheikh Anta Dsiop-paix à son âme- auteur de plusieurs ouvrages, bien connus, parmi lesquels, Nations Nègres et cultures, dont le moins que l’on puisse dire, ne sont pas des moindres, comme tant d’autres de ses écrits si nombreux.
Ainsi, le Sénégal, le pays de la Téranga, reste plus jamais le havre de paix, dans lequel toutes les ethnies diverses de tout bord, les toucouleurs, les sérères, entre autres, les diolas et les wolofs, etc., sont toutes soudées, enchevêtrées les unes aux autres, vivent paisiblement en parfaite entente cordiale et en harmonie totale, sans accroc, d’aucune sorte; continuent de cohabiter ensemble et en osmose totale, tel un écheveau. C’est ce même ciment fédérateur qui constitue remarquablement et admirablement la fierté d’un peuple, qui partage le même socle fondamental, composé d’un agrégat d’hommes et de femmes, ont le même sang qui coule dans nos veines.
L’usurpateur ethnique né, machiavel dans son esprit étroit,, pour assurer ses forfaits, dont il est l’unique coupable devant l’histoire, cherchait-il alors à remettre en cause la cohésion sociale, l’unité nationale pour nous diviser, pour régner, et plaire on ne sait pour qui et à quelle fin ?
Vouloir briser et bouleverser un tel équilibre, cultuel, historique par la renverse, qui nous lie, nous, sied, depuis la nuit des temps, n’augure rien de bon, compte tenu des risques encourus. Et c’est triste, irresponsable et condamnable.
Or, pour la première fois dans l’histoire du Sénégal, depuis le regrettable soir du 25 mars 2012 à nos jours, un seul homme venu de nulle part, dénommé à juste titre, «le nouveau machiavel caniche ethnique satanique », plus connu sous le vocable « d’Envoyé Spécial Colonial en Afrique, attitré et accrédité à Dakar « , joue cyniquement la mécanique de la diversion, et pactise envers et contre tous avec le diable, pour arriver à ses fins et quel que soit le prix à payer.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, le maître exceptionnel des faux bons, capitulard par sa gouvernance bancale, s’arc-boute dangereusement par l’esclandre de la démocratie ethnique, tribaliste, ostensiblement satanique plombe et retarde le développement du Sénégal, tandis que, ses nouveaux chiens de garde, qui se complaisent dans leur rôle de mercenaire alimentaire, farandole, tous sont devenus des corrompus, tondus, goinfrés, moelleux, se frottent les mains, ne font rien d’autre que d’applaudir l’énormité d’un tyran, cumulent à la fois et la prétendue qualité de député et d’autres postes de nominations indus qui coûtent très cher aux contribuables sénégalais, astiqués et criblés d’impôts de toutes sortes.
Le despote encapuchonné, le valet taciturne s’est métamorphosé en caméléon, qui a gouverné avec son mentor, Abdoulaye Wade pendant 8 ans, qui l’a trahi, s’adjuge, aujourd’hui affreusement en changeant ridicule et la face du monde.
Et pour réussir son coup et tromper durablement tous les sénégalais enfarines, s’est fait peindre faussement sous les défroques victimaires, a eu l’outrecuidance et la prouesse de focaliser sa campagne électorale sur la thématique de la rupture, sombre, transparente et efficiente, n’a pas jamais produit les effets escomptés. Que cela plaise ou non !
Alors, pour le despote endurci, le suffrage universel est sciemment détournée de sa vocation première, politique, se mesure exclusivement à l’aune des mécanismes décriés, qui sont compatibles avec les pires méthodes fascistes, dignes de la Stasi et par le vacarme du braquage électoral permanent, comme étant la seule contradiction politique.
On ne peut pas bâtir un véritable plan Sénégal émergent, en créant systématiquement la division entre les groupes sociaux, natifs d’un pays, qui consiste à donner la primauté, aux uns et aux autres, ou à favoriser ouvertement, cyniquement et délibérément, son appartenance ethnique à qui on attribue des postes de stature dans les hautes structures de l’état et à des fins bassement politiques ; en instrumentalisant, affaiblissant davantage la justice marionnette, en détruisant le tissu social pour sa propre gloire et pour des intérêts personnels mesquins.
Juin 2013-{VIDEO}Macky Sall s’exprimant, ainsi, sur les droits des homosexuels à l’Université de Harvard: « Il faut protéger les minorités ». L’homme ne s’arrête pas là, martèle de nouveau, je le cite : « qu’ils soient homosexuels, c’est leur problème ». Voilà un aveu de taille qu’il prend cause et faits pour ces derniers.
Pendant ce temps, les imams Ndao et Cie sont déférés manu militari, sans ménagement, sans aucune matérielle à l’appui pour terrorisme supposé.
Depuis le regrettable soir historique, sans répit, et jusqu’ici, les compilation d’arrestations massives, incessantes, y compris, entre autres, les offenses supposées au chef d’état, imaginaires, créées de toute pièce, se perlent de plus en plus et dans à un rythme effréné, sans fin, jamais égalé, en sus, pour ne rien arranger, les interdictions des marches légales, toutes autorisées par la constitution de 2001, sont bannies et balayées d’un revers de main tout azimut et sous n’importe quel prétexte bidon de trouble à l’ordre public, confiscation totale des libertés fondamentales ;parodie référendaire et jusqu’à la dernière comédie électorale, loufoque, fondamentale illégale, qui est ce foutoir devenu, demeure plus que jamais l’éternel braquage électoral en continu.
Pour donner encore des gages à l’occident et pour le convaincre par son habileté, alors qu’il n’en pense pas un seul mot de ce qu’il avance piteusement , l’inimitable profanateur professionnel menteur dans l’âme, Macky Sall fulmine avec fracas, sans la moindre preuve matérielle dans les colonnes du journal français, L’express : « Aucun pays au monde, même le Sénégal, n’est à l’abri d’un attentat ». Propos recueillis par Vincent Hugeux, publié le 26/01/2016.
Vous avez promis de ramener la durée du mandat du chef de l’Etat – dont celui en cours – de sept à cinq ans. Tiendrez-vous parole?
« Absolument. Il y aura bien en 2016 un référendum constitutionnel, dont je donnerai la date précise dans les prochains jours; puis un scrutin présidentiel au début de 2017. »
L’incivilité patente du politiquement du pantin –écervelé, incapable , par définition, et ses parodies électorales, mortifères, ne resteront pas impunies. Mais faut-il qu’il le sache, comme tout despote incorrigible de son espèce ?
Le dictateur tant qu’il est au pouvoir, en abuse dangereusement, pense qu’il a droit de vie et de mort sur ses concitoyens, qu’il assimile comme ses sujets; se croit investi d’une mission divine, s’autorise tout, ne voit venir, jusqu’au où moment il dégringole brutalement, médusé, et piteusement par la petite porte et à la face du monde, quand ce sera trop tard. Tous les détraqués tyrans ont partagent le même dénominateur. C’est un tic consigné dans leur ADN vicieux. Car le pouvoir rend fou pour celui qui méconnaît totalement l’histoire-« Bew –Fouille par nature».
Ni le Sénégal, ni les sénégalais que nous sommes, ne seront jamais soumis, malgré les absurdes escalades électorales, organisées par le machiavel pion –mercenaire, qui tient mordicus à nous aliéner. Mais le peuple vainqueur, uni aura toujours le dernier, quoiqu’il fasse; qu’il le sache, l’entende dans ses oreilles.
Nous ne sommes pas des demeurés, ni des poltrons. Au contraire, le lâche, c’est celui, qui a été élu dans des conditions exceptionnelles, inédites même, utilise par ses trahisons incommensurables, la force publique et en abuse, parce que se croit immortel, surhumain et invincible.
Dans un article que j’ai moi-même écrit et publié simultanément sur notre site internet ruepublique.com et dans mon propre blog en Octobre 2016, que j’ai intitulé : “Le Casse du Siècle au Sénégal“ et la parade pandémique des interdictions burlesques ? Par Ahmadou Diop CPC. Je rappelle que Ledit article est toujours disponible sur internet.
L’indécence singulière, abracadabrantesque symbolisée par cet étrange régime le plus scandaleux, notoirement satanique est fondamentalement ethnocentrique, apocalyptique, intégralement intégriste, ségrégationniste d’apartheid, par définition, en témoigne éloquemment par ses escapades, ses turpitudes, abrasives, pandémiques, fait écho et donne assurément des idées à ceux qui sont catalogués comme tels.
En vérité, cela les renforce, les réconforte davantage et un peu plus de ce ce qu’il est convenu d’appeler un euphémisme patent, constitue à nos yeux un blasphème, qui menace l’unité nationale et la cohésion sociale.
Je me suis inspiré de Ndiawar Diop, qui a éloquemment dressé la longue liste infinie ethnique avec des preuves matérielles à l’appui, toutes les nominations burlesques, se trouvent sur le site sn. gouv, par décrets présidentiels.
L’activiste Ethniciste , Macky Sall, qui fait preuve d’ethnocentrisme débridé dans les faits, ne peut pas interdire qu’on en parle. Car une telle mission périlleuse qui est vouée à l’échec, ne passera pas sous la loi de la tyrannie ethnique, indigne.
« Lu défu waxu- lu ay di ndiambat », dit un adage bien de chez nous- c’est la règle générale qui ne passera pas comme une lettre à la poste et pourquoi d’ailleurs et au nom de quoi ?
La longue liste infinie, surréaliste laisse apparaître nettement des nominations est à caractère purement ethnique sans éthique ni équité par des décrets présidentiels grossiers à répétitions. Lisez là sans retenue ! Car nous n’inventons rien – les faits matériels parlent d’eux-mêmes. Dénoncer un tel régime calamiteux ne peut aucun cas la loi de l’omerta- et pourquoi ? Vous verrez et serez édifiés, effarés et tombés des nues sur la nature ubuesque de la tyrannie du régime ethnique-
Dans l’hypothèse où Macky Sall en chair et en os, n’est pas un ethniciste, chevronné, il n’y a jamais eu de dictateurs dans l’histoire du monde , ni de traitres , et que la dictature n’ a jamais existé, n’est qu’une invention- autrement dit, il n’y a jamais eu de régime ethnique dans le monde.
– Sur Sunuker. com- Emission Xew Xewi Rewmi du mardi 13 Septembre 2016 avec Ahmadou Diop: Macky Sall, le mercenaire du colonialisme en puissance.
Amy Collé Dieng – n’a fait que reproduire et rapporter tout haut ce que nous avions déjà dit depuis des années durant à travers les ondes de notre radio sunuker FM: La première radio panafricaine en Californie- de renommée internationale, et ce que savent les autres, qui se tuent par leur silence coupable.
En définitive, la chanteuse, l’icône, demeure le porte-parole des sans voix- de ce que pensent tout bas la majorité des sénégalais.
Le tyran endurci, tente de sacralise le braquage électoral permanent et légitimer ainsi ses méthodes fascistes. Le profanateur mentir professionnel imposteur, jusqu’à l’abîme, tient à leur donner un caractère divin, érigé en dogmes hystériques, comme une norme établie.
L’Equation du Braquage électoral permanent du tyran nègre de service encombrant est la plus grave. La sortie de la Chanteuse Amy Collé Dieng, n’est qu’une broutille ? Qui pourrait être le bras armé, ou l’inspirateur de Penda Bâ ?
N’est-elle pas devenue le porte-parole, ou le porte -voix attitré, officieusement, qui dit ce que son parrain ne peut exprimer librement, pour justifier l’injustifiable ? Cette façon de faire est le propre de tout despote machiavélique.
Quand on veut quelque chose, il y’a toujours un moyen pour y arriver et peu importe donc qu’il soit abject. La question ne souffre d’aucune discussion possible en toute logique. Car en politique tout sen tient tel un collier. Qu’on le veuille ou non, il ne peut en être autrement.
La sortie de Penda Bâ est-elle donc un hasard, ou une coïncidence, au moment où la soldatesque Waffen SS -BBY arrache son score fantasmagorique pour Macky Sall, le despote fraudeur nègre de service, ethniciste déclaré, arrive au pouvoir par l’esclandre de son butin ?
Est-ce donc une habileté d’éteindre l’incendie, qui est le braquage électoral resté dans nos gorges comme du plomb, pour détourner la conscience des citoyens ?
Comme on dit, Narbi lumu wax ca tente ba lako dégué. Autrement dit, l’apr demeure plus que jamais, comme étant le laboratoire des rancunes de caniveau et des invectives à couper le souffle. Le seul responsable des dérives est celui qui se niche derrière les grilles du palais alpulaarisé.