Pour un Changement de Régime et de Système ! Par Ahmadou Diop.

Face à l’entonnoir colonial, le Changement de régime et de système s’impose maintenant par le rapport de force du pouvoir du peule par le peuple et pour le peuple.
On ne peut pas bâtir une nation solide avec l’expertise d’un paradigme colonialiste, universaliste. C’est un contre sens.
J’en profite au passage pour saluer la mémoire fertile, incommensurable du Grand Savant, scientifique, historien, kamit-panafricain, philosophe et égyptologue le plus coriace de tous les temps jusqu’à nos jours, disait : « la vérité sonne blanche ».
À contrario, quand le kamit patriote panafricain dit la vérité rationnelle, objective, tangible, avec des preuves matérielles à l’appui, certains sénégalais et sénégalaises d’obédience visiblement clanique, rancunière et viscéralement haineuse, n’en ont cure du contenu de son auteur, tentent de le livrer aux chiens par des légèretés fumantes, à dessein de cliver les uns aux autres, pour plaire à leur chef, Macky Sall – himsel, gardien du temple des intérêts colonialistes et voleur dans l’âme jusqu’à l’abîme, crie aux voleurs.
Or, chez nous au Sénégal, tout journaliste professionnel, libre et indépendant, dans l’exercice de ses fonctions, qui agit en toute logique, en toute conscience dans les règles de l’art, dit la vérité, rien que la vérité, fait des révélations scandaleuses, incriminant directement et sans ambages des politiques sur les affaires de la cité, ou le premier d’entre eux, bénéficiera automatiquement , presto illico d’un mandat de dépôt, doit révéler ses sources, et sous les chefs d’accusation bidons de divulgations de fausses informations, recels de documents administratifs , que sais-je encore, alors que dans les grandes démocraties à haute teneur, les médias d’investigation, incorruptibles, libres et indépendants, créent systématiquement une véritable épée de Damoclès pèsent sur la tète des présumés coupables, en payeront le prix fort.
L’icône emblématique, charismatique, figure de proue, savait de quoi il parlait, s’adressait naturellement aux leuco dermes et à leurs valets- élites africaines de pacotille, notamment le premier d’entre eux, Léopold Sédar Senghor, le représentant du label pré-carré colonial, fut le codificateur du fascisme, pour reprendre le terme de Cheikh Anta Diop.
Contrairement à ce que l’on pense, Aimé Césaire, le Grand poète martiniquais, est le premier à publier la négritude dans la revue « L’étudiant martiniquais » en 1935. Pour des raisons politiques, Senghor s’appropria le concept, le reprit à son compte dans « Présence Africaine », en 1947.
Afin de renverser Mamadou Dia, le président du Conseil, qui détenait la réalité du pouvoir, par rapport à Senghor, n’était qu’un président symbole, il fallait bien lui trouver par la ruse, des chefs d’accusation bidons, pour « tentative présumée de coup d’état », et les députés corrompus, réunis chez Lamine Guèye, votèrent alors, les yeux fermés une motion de censure contre lui, 17 décembre 1962.
Senghor, l’homme des français, se déclarait victimaire des leurres, paracheva et instaura unilatéralement le régime présidentiel totalitaire au et Sénégal, déteignit tous les pouvoirs de décision, et régna en maître absolu et sans partage avec un parti unique, dominateur, devint, en 1976, le PS : le parti socialiste.
Pour comprendre les raisons objectives pour lesquelles nous devons abattre légitiment avec toute la rigueur nécessaire, le régime présidentiel avec son système de corps de contrôle, soi-disant, institutionnels, n’ont qu’une existence fictive pour n’être que les poupées inféodées, soumises et sous la botte et à la loi tyrannique d’un chef de clan.
Pour cela, il faut remonter le cours de l’histoire, pour démonter les mensonges et analyser et décrypter le contexte du fameux événement de 62 et les fondements souterrains de la France-Afrique, constituent un élément majeur souvent ignoré.
Car les écrits de l’ histoire qui sont totalement erronés, tentent de réduire le douloureux événement sous l’angle de la dualité d’un régime bicéphale, c’est-à-dire à deux têtes : Senghor et Mamadou Dia.
Or, au regard des faits, il n’en était rien puisque chacun avait son rôle. La dualité signifie que les deux hommes avaient la même stature et les mêmes prérogatives au sein de l’état. Pourquoi en Italie et ailleurs dans les régimes parlementaires, la question ne se pose ? Contrairement à la version soi-disant officielle, selon laquelle la crise politique de 62, s’expliquait par la prétendue dualité entre les deux hommes. Une telle interprétation tient sur une crête.
Il s’agissait bien d’un vaste complot gigantesque à grande échelle et d’un mensonge grossier, cousu de fil blanc, sciemment entretenu, tendant à tromper durablement l’opinion sénégalaise, présumée oublieuse, qu’il convient de corriger absolument. Jusqu’ici tous les historiens et les analystes, qui se réclament comme tels, ont tous failli à leur mission, pour ne pas avoir le courage de dire la vérité historique.
1962 au Sénégal : 7 ans plus tôt, pour faire plaisir au gendarme colonial, Félix Houphouët–Boigny [ (1905]et Senghor [ 1906] concoctèrent le plan diabolique en 1955, « la la France- Afrique »- contractée la « françafrique » par Francois- Xavier Verschave, auteur du Brûlot « Noir SILENCE »-qui arrêtera la Françafrique ? Laquelle hydre mafieuse savamment élaborée n’augurait rien de bon, en disait long déjà sur un signe prémonitoire du fameux événement de 1962, Rien n’est au hasard, puisqu’ en politique tout se tient et en toute logique.
On l’oublie souvent. Jean colin, un leuco derme, d’origine normande, un proche de Jacques Foccart, le béké, planteur, colonialiste, né à Paris, a bien servi au Niger, puis catapulté au cœur de l’état Sénégal, fut le véritable chef d’état, occupa plusieurs postes ministériels, dont celui de ministre de l’intérieur, un poste de premier plan, en 1971, après avoir été ministre de l’économie et des finances de Senghor, le putschiste .
Omar Blondin Diop, quipréparait l’agrégation de lettres, est mort par suicide et pendaison en prison sur l’île de Gorée au Sénégal, à 2 heures du matin, annonça l’Office de radiodiffusion du Sénégal, le 11 mai 1973, a été reçu dans sa cellule par jean Collin, ministre de l’intérieur, le tout-puissant, décédé en 19993, n’était pas n’importe qui, n’était non plus le seul ministre blanc, car il y a eu André Peytavin, le ministre de l’économie et des finances.
Or, dans un état régalien, la sécurité du prisonnier, fût il politique ou de droit commun, dépend de ses geôliers et non de l’encellulé. De surcroit, son corps n’a jamais été autopsié, malgré la demande de son père, qui était à l’époque médecin légiste. Le droit de savoir de tout peuple libre, indépendant, souverain, est inaliénable, ne se négocie pas.
Sommes-nous dans une république du far west, on ne sait Le droit pour quelle raison d’état, et qu’il faille que des citoyens opposants ou supposés, meurent eux-mêmes dans les prisons et par pendaison, que sais-je encore ? Auquel cas, plus personne n’est plus à l’abri de rien.
En conséquence, c’est la république mal ficelée, mal gouvernée et les citoyens qui trinquent, trépassent, perdent tout et ses hommes de valeurs sacrés.
Car d’une part, si le régime présidentiel autoritaire nous a été imposée, c’est parce que la molécule porte en elle-même en arrière-plan des soubassements politico-géostratégiques, exogènes, revêt incontestablement un caractère antidémocratique, confiscatoire aux libertés fondamentales de conscience et aux droits de l’Homme des citoyens, d’autre part, celui par qui le scandale arrive, je veux parler de Senghor, qui continue de bénéficier d’une notoriété exceptionnelle et d’une large publicité incommensurable du côté de la Seine, notamment dans l’opinion publique de la classe politique française, pour sa négritude de la servitude et son apport à la France, pour laquelle il avait naguère une faiblesse [ ndlr]].
Senghor se dispute la servilité coloniale avec Félix Houphouët–Boigny, l’autre valet, qui s’est transformé au cours de l’histoire en planteur esclavagiste, utilisait sans remords ses semblables par le travail forcé dans les plantations de cacao.
En 2012, pour être élu président du Sénégal, Macky Sall, le soldat de la françafrique, prend le relais de Senghor, son idole, son inspirateur, se fait peindre faussement sous les habits d’un démocrate et les défroques victimaires des leurres, grâce à la partition massive, active de la presse endogène, affamée et mensongère, est encartée à la machine colonialiste, propagandiste de référence mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie, présumée faiseur de roi et d’opinion, a bien assuré et joué les services après vente, pour les beaux yeux du nègre de service, cachait savamment son véritable visage hideux.
Deux ans plus tôt, son acolyte ivoirien de la dernière minute ouvre le bal par le truchement des fourgonnettes étrangères, sous la bienveillance active de ses soutiens, dont la logistique imparable lui balise facilement le terrain, sous le prétexte de sauver des civils, face à la soi-disant menace de la prétendue soldatesque de Laurent Gbagbo, l’éternel tigre réel, qui a permis à son rival, Alassane Ouattara.
Le premier, c’est-à-dire, Macky Sall, représente aujourd’hui au Sénégal ce que fut naguère Senghor, dans l’esquille de la françafrique, tandis que le second de côté en Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, se loge également dans la trajectoire du planteur esclavagiste, Houphouët Boigny, le co-fondateur de la France-Afrique avec Senghor, le putschiste de Mamadou Dia.
Alors, comme on dit, qui veut aller loin, ménage sa monture. Comme tout félon de son rang, la fin justifie les moyens et peu importe qu’ils soient abjects. C’est le résultat qui compte après tout. Le machiavel travaille en intelligence totale avec ses parrains tapis dans l’ombre et dans le secret des dieux et de façon souterraine.
Ainsi donc, le monstre, pion, en chair et en os, qui ne croit pas un seul mot de ce qu’il promet, met en bandoulière le changement, focalise toute sa campagne électorale sur la rupture totale et nette, notamment la réduction de son mandat présidentiel de 7 à 5 ans, et ce par la mécanique de la pensée unique, représentée par la presse internationale interposée.
Au deuxième tour, sur la base de ses promesses électorales, il est élu président de la république, au soir du 25 mars 2012, à défaut et par dépit dans des conditions exceptionnelles, inédites avec un score de 65%. Une fois élu, le minable sait d’avance qu’il est sur les manettes, peut s’autoriser toutes les dérives exponentielles à sa propre convenance personnelle.
Car le régime présidentiel autoritaire, taillé sur mesure pour un seul homme et par la constitution étrangère, moribonde, tel qu’il est conçu en Afrique chez les élites fantoches, n’est pas de la démocratie, car le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple n’est qu’un simple slogan, creux, un leurre pour amuser la galerie.
Je ne cesserai de le répéter, en Afrique francophone des guignols, le poste de président de la république s’achète à coup de mds FCFA chez nos oppresseurs, avec en prime des valises diplomatiques pleines à craquer et des prix annexes loufoques qui s’y greffent comme à l’accoutumée, nonobstant la fin de l’hydre mafieuse de la françafrique, dont on nous tambourine les oreilles à longueur de journées. Et ce n’est pas tout, car l’opulence ostentatoire, exhibitionniste des ploutocrates alignés, a l’obligation de se faire soigner outre atlantique du côté de la Seine, sans compter les folies dépensières des voyages superflus, font florès et sur diktat rigoureusement pédagogique.
Pour couronner le tout, la santé des citoyens n’est jamais une préoccupation, n’est qu’un l’écran de fumée, symbolisé par la radio thérapie, demeure une arme de guerre. Les hôpitaux d’indigénat doivent être nécessairement des mouroirs pour les mêmes.
Tout soulèvement populaire, est source de déstabilisation du régime ethnique capitulard, colonial et son éco système mafieux, anachronique, dont l’indécence frise la démence. Et le silence complice du communautarisme international sera de mise. Et tant pis.
Pour garantir leur impunité sur les terrains des crimes, les marionnettes trépassent, agissent promptement de concert et sur commande, octroient toutes les parts de marché sans appel d’offres aux entreprises coloniales. La pédagogie du retour de l’ascenseur oblige. L’épée de Damoclès pèse constamment sur leurs têts. Les citoyens sont considérés comme des matelas financiers, extensibles, en payent la note.
Malgré le discours emphatique d’Ismaël Madior Fall, le prétendu constitutionnaliste, est nommé le conseiller juridique auprès de la présidence de la république, martèle à qui veut l’entendre, que Macky Sall respectera sa parole donnée.
En même temps que le conseiller juridique est omnipotent sur les tous plateaux de télévision, signe et persiste sur la question, mais aussi extraordinaire que cela puisse paraître, le cheval de Troie autoproclamé, est quotidiennement sous pression, s’agace de plus en plus et au fur et à mesure que l’on s’approche à l’échéance de 2017, déclare : « personne ne peut tordre mes bras », n’augure rien de bon. Et pour cause. Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, disait Nicolas Boileau.
Dans une interview qu’il a bien accordée au journal Français, l’Express, en date du 26/01/2016, et dont les propos sont recueillis par le journaliste-écrivain français, Vincent Hugueux : » Vous avez promis de ramener la durée du mandat du chef de l’Etat – dont celui en cours – de sept à cinq ans. Tiendrez-vous parole? «
Macky Sall ; » Absolument. Il y aura bien en 2016 un référendum constitutionnel, dont je donnerai la date précise dans les prochains jours; puis un scrutin présidentiel au début de 2017″.
À partir de ce moment, le changeant, qui devient à la place publique un menteur professionnel, profanateur, ne mérite plus la qualité d’un président de la république du Sénégal, n’est plus légitime politiquement, moralement et juridiquement, devrait être immédiatement placé en mandat de dépôt, et être jugé et traduit à la haute cour de justice pour haute trahison avec des circonstances aggravées.
Et le chapardeur-chantre du népotisme des manières aléatoires made « nédo ko bandoum » de premier plan, ou le pion sous- marin américano-français, qui a bien eu sa médaille coloniale en mars 2008 pour moult services rendus au pays de Marianne. Lequel sésame lui a permis d’être faussement peint sous les oripeaux victimaires.
La taupe, le béni-oui-oui s’est envolé précipitamment à Paris en 2012, entre les deux tours de l’élection présidentielle française, comme pour donner des gages, déclare ceci devant Nicolas Sarkozy : « le retrait des troupes et bases militaires françaises relevait quelque peu d’un nationalisme mal placé ». 5 ans plus tard, on ne sait quelle mouche l’a piqué, en plein débat sur le FCFA, c’est-à-dire la monnaie des colonies françaises d’Afrique le récidiviste en chair et en os, reprend du service comme si l’épée de Damoclès pèse sur sa tête, enfonce le clou, rassure ses parrains : « la monnaie F CFA est une bonne monnaie à garder ».
La frontière est poreuse entre le discours de Macky Sall et celui du chantre de la négritude senghorienne : « la colonisation est un mal nécessaire ». C’est blanc bonnet ou bonnet blanc. L’expression fut popularisée par le candidat communiste Jacques Duclos en 1969 au sujet de Georges Pompidou et Alain Poher qui s’affrontaient au second tour de l’élection présidentielle.
La sémantique abracadabrantesque des deux personnages curieux nous laisse pantois, car c’est du pareil au même. Compte tenu de ses nombreux prix burlesques, à dessein de rester dans la postérité, est-ce à dire que le putschiste déclaré, veut donc emprunter et égaler la voie altérée de son mentor spirituel, Senghor, prétendant « « avoir du sang portugais ? »
Pour consolider son régime de foutoir, le réfractaire à la démocratie, montre son véritable visage hideux, se transforme peu à peu en putschiste, depuis le 25 mars 2012 à nos jours.
C’est pourquoi, nous devons changer de régime et de système pour endiguer le mal qui n’a que trop duré.
3e mandat – Macky Sall : « C’est fini pour moi… » Quoique puisse dire le voleur- combinard, fraudeur nègre de naissances place, et dont la parole n’a valu jamais de l’argent comptant, ne compte point dévier d’un pouce sur sa trajectoire totalitaire.
Nous devons prendre ses litanies contradictoires avec des pincettes et être vigilants et sur nos gardes, pour ne plus encourir des risques supplémentaire, afin d’éviter, demain, toute surprise peu ou prou à l’horizon 2024.
L’éternel kleptocrate veut-il donc réécrire d’avance le même scénario du film, et égaler le putschiste- maître du Congo, un de ses inspirateurs en Afrique des autocrates inamovibles ? la constitution de 2016 lui interdit formellement un troisième mandat présidentiel. Comment expliquer la suppression du poste de premier ministre, et vouloir reporter les municipales et les municipales en 2024, alors que le mandat des députés prendront fin en 2022,
Le désarticulé de la tète aux pieds, le principal fauteur de trouble à l’ordre, sait-il que la constitution moribonde, autoritaire, monarchique, taillée sur mesure pour un seul homme et ses fripouilles en bande organisée, est source de cynisme profanateur ?
Il n’y a rien qui tienne du début à la fin, car tout est décousu de fond en comble, malgré le contenu de piètre qualité des articles pompeux, emphatiques, ne valent rien. Le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple n’est qu’un tissuthèque de mensonges grotesques.
L’ossature de la constitution dans son fondement, est totalement contradictoire et antidémocratique, donne la primauté au président-monarque, chef de parti politique, en même temps, juge et partie, demeure plus que jamais la clé de voûte, et constitue la charpente de tout l’appareil l’état, incontournable, impose sa marque de fabrique, détient et le pouvoir exécutif, législatif, judiciaire et la presse, qu’il contrôle lui-même, que lui confère cette écharde, représentée par la prétendue constitution, n’est rien d’autre qu’un écran de fumée, qui cache la foret, défend quelque peu d’autres intérêts dissimulés que ceux du Sénégal.
Le président de la république nomme les emplois civils, militaires, les juges, les magistrats et tous les corps de contrôle institutionnels présumés. En fait, tous les chemins mènent obligatoirement au chef de clan, se targue la qualité d’un président de la république normale. Où est donc la séparation des pouvoirs ?
La constitution étrangère, liberticide et moribonde, n’est qu’un slogan, enjolivé, creux et verbeux, n’est jamais ce qu’elle prétend incarner, car la réalité contraste parfaitement avec les faits têtus.
Car le personnage central au sommet de l’état, dicte ses propres lois cataclysmiques, se prend toutes les libertés et de façon unilatérale, s’autorise et s’octroie des décisions impopulaires, absolutistes, décriées, qui n’engagent nullement le pourvoir du peuple sénégalais, et se passe éperdument de l’assemblée nationale qui se soumet, et se confine dans son rôle de supplétif et de farandole.
2020/ de la prétendue rupture du FCFA – monnaie de la colonie française d’Afrique À l’ Éco : une grosse escroquerie de la politique blanc bonnet ou bonnet blanc.
Comme on dit, le serpent change sa peau, mais garde sa nature. De quoi s’agit-il ? du FCFA à l’ Éco, on embellit l’ossature et l’acronyme, mais au contraire, ce sera la régression totale, qu’elle ne l’était, car rien absolument ne changera d’un pouce en termes de valeurs pérennes et tout continuera donc dans le meilleur des mondes.
En conséquence, les soi-disant APE en grande pompe laissent apparaître la mesure d’un marqueur, abyssal colonial, c’est-à-dire un déséquilibre notoire entre un gagnant et beaucoup d’élites d’indigènes perdantes, lesquelles se travestissent en égoïstes tondus, ont abdiqué sur toute la ligne, et donné l’arme à celui qui les tue, comme d’habitude, donneront restent sous la remorque de celui ont décidé et donné l’arme à celui qui les tuent.
La monnaie coloniale décriée et houspillée de toutes par les tirs groupés des panafricains le Maroc, hégémonique, malgré son apparence, est sous la remorque de l’impérialisme, s’autoproclame lui-même et le leadership et le soi-disant tout-puissant économique de la sous région, se substitue au Nigéria, garde sa monnaie, et qu’il regarde comme un géant virtuel aux pieds d’argile.
Le Maroc, pour des raisons évidemment stratégiques et géopolitiques inavouées, a un pied sur le Maghreb, entre maintenant avec fracas dans la cour de la Cédéao, met dans sa besace les nègres de service les plus corrompus et les plus asservis- le brûlot du Sahara occidental est passé par là.
Il s’agit bien d’Alassane Ouattara et Macky Sall, deux clones masqués de Félix Houphouët–Boigny et Senghor. Deux piliers gardes -chiourmes de l’impérialisme, ont le même adn, se partagent, s’arriment sur les plis de la françafrique, s’agrippent, et s’arcboutent honteusement mordicus à la monnaie coloniale du FCFA, versus l’éco, comme unique monnaie de la soumission, continue ses méfaits, de manière soft.