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Législatives Des Submersions Cataclysmiques, Des abstentionnistes et des maladies : un Sabotage savamment élaboré par Des Professionnels de l’Imposture. (Par Ahmadou Diop).

Législatives Des Submersions Cataclysmiques, Des abstentionnistes et des maladies : un Sabotage savamment élaboré par Des Professionnels de l’Imposture. (Par Ahmadou Diop).

Que nenni !  Organiser de telles élections  dans  des  conditions totalement peu recommandables, obscures et  au regard de la morale, resteront  sans nul  doute dans les annales  d’un brigandage d’état, alors  que le gouvernement avait toute la latitude de choisir une journée de lumière dans laquelle le ciel sera dégagé de tout nuage.

Au-delà  même  des   abstentionnistes crescendo  que je développerai  en milieu d’émission, s’y  encore greffent d’autres dégâts collatéraux subséquents, nous donnent la chair de poule par son ampleur  redoutable.  Je veux parler des tempêtes  meurtrières pendant la période électorale.

 Au lieu de l’ordonner dans des moments où il y aurait  immanquablement  des risques  d’intempéries dévastatrices, de paralysie généralisée, qui sont  des sources d’épidémies, apocalyptiques, tels que le choléra, le paludisme et d’autres maladies, comme les  diarrhées, entraînant de nombreuses pertes humaines, incalculables, sans compter les déplacements forcés des citoyens auront d’autres priorités pour assurer  leurs vies, plutôt que de voter avec l’épée de Damoclès qui pèse sur leurs têtes.

 Un cocktail explosif  qui risque d’appauvrir davantage  et un peu plus la misère sociale déjà chronique  des  populations  vivant au seuil de la pauvreté absolue.

Sommes capables de réformer le caractère obsolète, attentatoire et ostentatoire des institutions importées ?

 Il faudrait que nous ayons la capacité de discernement  pour  élire  des élites responsables  qui mettent en action leurs paroles et  pour répondre aux attentes  des citoyens ?

Les imposteurs s’accommodent, s’accoutument  dans  discours mielleux, lénifiants, mais lorsqu’ils obtiennent les postes convoités, deviennent ingrats oublieux et en se métamorphosant étrangement  en  éternels  changeants, tournent  en permanence sans vergogne  le dos aux  citoyens  de façon récurrente;  comme  si les promesses électorales  n’engagent  que ceux qui  y croient.

Régulièrement, les politiques usuriers, désertiques promettent plus qu’ils n’en font en réalité.

Des élections  des déluges : Un puzzle  qui relève absolument d’une escroquerie épileptique gigantesque

  En vérité,  la réalité dépasse la science fiction.  Le  cartel  des imposteurs caractériels  et  leur chef ont  écrit déjà le  pire scénario, crachent volontairement  sur le calendrier républicain par un mépris affiché, innommable.  L’évidence laisse apparaître  que la date choisie est bien calculée. Car dans le cas d’espèce, l’indécence  intentionnelle  vaut l’action et pour cause.

Les parodies électorales auront factuellement  une saveur amère. D’autant plus que  les forts taux  d’abstentions escomptés, favoriseront automatique le camp présidentiel, selon le mode de scrutin majoritaire.

Quel décryptage  sur les  possibles abstentions, programmées  en permanence ? On  l’oublie souvent. Car dans une certaine mesure, ne pas voter, c’est voter.  La  Persée en pis  de l’abstentionnisme récurrent  qui s’aggrave de plus en plus s’explique en parie   par l’idiocratie  politique de la classe singulière du Sénégal.

L’abstentionnisme : une réaction   qui appelle  des interrogations et des réponses concrètes.   Justement, sur le sujet,  en dehors  des  possibles  inondations de juillet par  son caractère  répétitif,  des  raisons politiques se cachent par  derrière.

Les abstentionnistes ont   l’impression  que les  messages qu’ils envoient aux politicards, ne sont jamais écoutés.

Autrement dit, les  uns méconnaissent  totalement  les intérêts encourus  en jeu, les autres  lassés  et laissés sur le quai,  pensent  à tort ou à raison qu’on les considère comme des bêtes électorales,  pour des moins que rien, qu’on  les utilise  pour des chiffons et  que l’on jette dans les poubelles.

En effet,  pour la majorité  des   abstentionnistes, le vote  n’est qu’un masque de théâtre, ne change  en rien  sur  leurs conditions de vie.   Les abstentions  sont loin de s’arrêter, au contraire, elles  se risquent de se  multiplier davantage, tant  que les politiques fonctionnaires  continuent la politique de l’esbroufe.

En fin de compte, L es abstentionnistes  majoritaires  considèrent  que les politiques  manquent  d’empathie  à leur égard,  ne  s’y trouvent pas dans les habituels habillages, alors que rien ne change et tout continue, comme si rien n’était.

Arithmétiquement, tant  qu’il y aura plus  d’abstentions que  de votants réels, l’issue des scrutins de la mascarade basculera  au profit  de la mécanique présidentielle. Puisque dans ces conditions, les dés semblent  déjà jetés avant l’heure. Selon la trajectoire obliquée  des organisateurs de la comédie électorale, telle qu’est conçue, si la vigilance ne sera pas de rigueur, les morts risquent de voter  massivement  plus que les  vivants inscrits.

En Afrique et au Sénégal,  le label des contrefacteurs veuille qu’il ne déroge point à la règle médite, surtout dans ne période d’inondations épouvantables. En sus du manque de transparence sur le fichier électoral avec ses zones d’ombre,  auquel s’ajoute la  majorité  des sénégalais  inscrits, n’auront reçu  pas à temps leurs cartes d’électeur et leurs cartes d’identité biométrique de la cédao.  C’est une  praxis habituelle  des despotes africains.  C’est une pathologie de la rengaine.  Ils l’ont intégré  dans le sang  et dans  leur ADN : un tic chez eux,  c’est comme les huîtres qui s’accrochent sur leurs rochers  et qui ‘y tiennent mordicus.

C’est une constante, dont  ils ne peuvent s‘en dépêtrer durant leur existence.  Car mentir, mentir jusqu’à l’abîme. Lors des spectacles permanents courants, ils promettent tout et n’importe quoi, par des discours grandiloquents, captivant, enjolivés, de façon que l’auditoire censé crédule passe à la trappe et sous les mailles du filet, ne soit pas indifférent — c’est un legs de la Grèce Antique des rhéteurs, investis de la mission  des mensonges habiles  — quand bien  c’est  très cocasse —  ce j’appelle personnellement  la horde du cartel uni et unifié,  des  menteurs professionnels-profanateurs  sans scrupules,  mais bizarrement, une fois qu’ils tiennent les manettes, ils s’oublient  en eux-mêmes tout et  vite tous  les engagements pour lesquels ils on été élus.

Alors que dans les pays civilisés, l’agenda du peuple par le peuple  et pour le peuple se tiendra  habituellement entre mars et mai,  quoiqu’il arrive, il n’y aurait point  de décalage  de quelque nature que ce  soit.

Que  voulez-vous ? Car ici, chez nous, nous avons  affaire à des pirates nés, irrécupérables, qui agissent en toute impunité et  à l’encontre des suffrages universels, dont la gouvernance  est constituée d’une armée de  grincheux,  au sein desquels les pratiques hasardeuses  riment avec les esclandres des trahisons bariolées.  Il va sans dire qu’il  en soit  toujours ainsi dans notre pays qui  perd ses  pédales et ses labels de la  grandeur,  qui faisaient de lui sa fierté  et sa dignité.

Si par malheur, qu’ils aient été tentés par le diable pour reporter sine die  les scrutins,  le moment venu, sans attendre une seule de plus, nous devons  faire corps et prendre nos responsabilités et agir ensemble, en vue de les mettre hors d’état  de nuire,  dans l’option  de les traduire presto illico devant les tribunaux libres pour moult trahisons à répétitions.

Face à cette plaisanterie de mauvais gout et aux doutes persistants autour de ce  scandale, parmi tant d’autres, , on se demande même si les législatives auront lieu  le 30 juillet  de juillet  prochain. Quand bien même, elles se  tiendront à date échue, et par extraordinaire, il y aurait certainement des averses tendant à empêcher le vote régalien, auquel nous tenons quoiqu’il arrive,  comme la prunelle de nos yeux.  Le planificateur  des parodies législatives, aura beau à  faire, quoiqu’il qu’il fasse des pieds et des mains, n’aurait aucune excuse possible.

Face  aux inondations  et la période des maladies, naturellement tous les ingrédients  sont réunies pour aggraver la démobilisation  généralisée des abstentionnistes.  La gouvernance  par son arrogance reste comptable de ce qui pourrait arriver.

Qui  peut  vraiment  parler de transparence, de démocratie,  d’éthique et d’équité, lorsque le président de la république dispose  d’une véritable caisse noire , destinée  à corrompre , alimente   sa clientèle de mercenaires  accroupis   se transforment allégrement  en fonctionnaires politiques  avec en prime une certaine classe politico-religieuse, dont les discours sont relayés  par la musique  des médias aliénés ?

N’importe quel abruti , fût-il taciturne, hier, pour mieux sauter, peut accéder au plus sommet  de l’état par des postes de nomination TAN SA BULA NEX— et  dieu sait que nous en avons  un qui s’auto déclare  lui-même  Roi,  s’engraisse piteusement comme il veut,  peut  non seulement mettre la main sur n’importe quel citoyen, ou citoyenne,  pour l’embastiller à sa propre convenance personnelle, mais ce qui est cocasse, c’est qu’il aura tout  le loisir d’agir, ni  foi, ni loi,  vole  librement   les deniers de l’état sans s’inquiéter outre mesure.

  Pire encore, il  se fait  bénéficier du haut de son piédestal et  automatiquement d’une loi  d’immunité, qui devient  ipso facto source d’impunité,  dépense sans compter, dilapide aisément, corrompt à tout vent, contrôle  et la majorité  de la  caste des prétendus représentants   du peuple par le peuple et pour le peuple,  dont  la plupart d’eux eux, se réduisent  en mercenaires vacataires de la ribambelle  en bande organisée et  les médias  et la justice  tous tenus en laisse, contrôle au bout du compte  tout le pays.

 Pour parvenir à ses fins,  comme  tout despote  son espèce, le machiavel  prend les devants,  tue la démocratie,  foule du pied  les libertés indispensables  de notre peuple inaliénable, élague  sans discontinuer  tous ses opposants immédiats pour les cisailler, les mettre en charpie et les réduire au silence  et   dans sa plus simple expression.

 (C’est l’expression  usuelle qu’il utilise constamment), dont l’objectif ne vise  qu’à les anéantir, pour les mettre hors jeu, qui consiste  à les  éliminer d’office   sans état d’âme,  de sorte qu’ils  ne valent plus  rien.  Pour cela,  il passe  par  sa police politique qui se charge du sale boulot. Et jusqu’à quand  donc ?

 Auquel cas où les législatives auront lieu,  elles serviront de test grandeur nature pour mesurer la température ambiante.

Tant que nous nous  évertuons à rester dans le laxisme horripilant, la fatalité et l’obscurantisme, qui sont source d d’abdication et de consentement réactionnaire, que rien ne justifie, rien ne changera, car   les compilations  et les dysfonctionnements  des   dérives déjà  aigues du système capitaliste, capitaliste,  corporatiste,  mafieux, s’accroitront, s’aggraveront davantage.

En effet, le régime présidentiel que nos marionnettes  copient servilement,  tel qu’il est conçu,  dans son fondement et dans  son adn, émane de la monarchie  napoléonienne adoucie, n’est  pas une panacée,  n’est qu’un  enfumage inadapté, antinomique  à  notre vision de la démocratie ;  car nous avons ici  chez nous d’autres valeurs exemplaires, fondamentales ; sont  aussi  extraordinaires  que nous devons  absolument  les mettre en exergue,  au lieu de singer  machinalement  d’autres paradigmes  importés, comme nous sommes désertique en matière grise.

 Est-ce donc  un hasard que  la loi de la moralisation de la vie publique en France  est sur la table du l’actuel gouvernement, pour interdire  et les emplois familiaux et le cumul des mandats ? Manifestement, il y a des liens  de causalité  à effet  et des  corrélations   directes avec le  syndrome du système établi.

Autrement dit,  jusqu’ici,  selon la configuration  du régime présidentiel, issue de la monarchie, autorise tous les parlementaires à employer légalement les emplois familiaux fictifs  ou réels, ont tous les droits, oublient les citoyens qui les ont élus.  La légalité peut être immorale au regard de la déontologie, Où est donc la démocratie dans tout cela ?

En Afrique, en particulier, au Sénégal, tous les acteurs politiques tous unis, occultent sciemment la question taboue  et pour cause, font tous du bruit, sauf  cette interrogation vitale et légitime, ne  défendent qu’au bout du compte  leurs propres intérêts étroits et non ceux de la nation entière.  Alors que la loi de l’omerta  n’a pas sa raison d’être.

 En vérité, la conception  du régime présidentiel prend des allures d’une cour royale au service du  tyran déclaré – non éclairé,  qui ne dit pas nom.

Or chez nous,  les prétendus représentants du peuple par le peuple  et pour le peule, ne travaillent en réalité  que sous l’escarcelle du président  de la république paresseux,  qui par devers  et contre tous, dispose «  d’une caisse  blanche »-je dis bien caisse blanche, constitue une réminiscence  de la monarchie napoléonienne.   Cela veut dire que ceux qui nous gouvernent d’une main de fer ne cherchent ni la transparence, ni la justice sociale, ni la démocratie, encore moins les libertés fondamentales qu’ils sont censés préservés.

Même  l’histoire du sénat n’est qu’une  remarquable assemblée de godillots  de la bourgeoisie compradore, tondue,  comme du temps de la royauté, n’est que  la remorque par définition  du monarque-président, n’échappe pas non plus à la règle établie, se transmet de génération en génération.

Même les Etats-Unis qui se targuent d’être les parangons de la démocratie mondialiste,  restent dans cette logique mortifère.

Le  Sénégal  est aussi atteint par le virus de la transmission familiale parlementaire  confirme la règle chez nos fonctionnaires politicards. L’occident a ses propres institutions  qu’il s’applique à lui-même  depuis la nuit des  lustres. Nous ne sommes pas obligés de les gober et les boire, comme l’eau  de bénite.  Même  en Europe, des voix libres, progressistes, et  les esprits libres  commencent à émerger pour  les mettre  au pinacle par son caractère  jupitérien,  les  considèrent totalement  confiscatoire à  la démocratie, à juste titre,  dans une  certaine mesure comme un repoussoir.

Tant que nous n’aurons pas  nous- mêmes nos propres institutions souveraines  en toute indépendance en  toute conscience sur des bases voulues,  libres,  en dehors pressions extérieures,  d’où elles qu’elles  puissent venir,  et quels qu’en soient leurs auteurs, fussent  ils  des dresseurs conscience présumés,  tant que nous n’aurons pas  nous-mêmes la faculté d’agir  pour  le compte  de nous  mêmes;  pour les adapter librement  à  nos modes  de fonctionnement, de pensées,  selon nos civilisations spécifiques,  historiques en adéquation et en harmonie  avec nos traditions de qualité,  de grandeur,  au lieu de copier servilement  celles venues  d’ailleurs,  qui sont  conçues  par ceux qui  se croient plus habiles,  s’arrogent la qualité de  chevaux blancs.

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