Le Sénégal : le syndrome du coronavirus à ciel ouvert et son corollaire Macky Sall. Par Ahmadou Diop CPC.
Le syndrome pandémique du coronavirus chinois crée la psychose permanente, et menace même directement les populations désarmées, résignées et laissées pour compte sur leur sort, prennent avec philosophie l’épée de Damoclès qui pèse sur leurs tètes.
En vérité, la rétention d’information, la désinformation et la manipulation sont de mise comme d’habitude.
Que dieu, le Clément, le maître de tout l’univers, des cieux et de la terre, le miséricordieux, le Tout-puissant nous vienne au secours, face au régime si chaotique et calamiteux des corrompus et son écosystème de casseroles en vase clos « Nédo ko bandoum » d’apartheid vertement visible sur le terrain du crime ! Amine !
Que le débat puisse s’instaurer librement sans entraves, en toute quiétude, sans langue de bois, ni crainte aucune, ni restrictions. Éviter à tout prix que le syndrome passe comme d’habitude, comme le fut le virus Ebola, qui demeure plus jamais en Afrique centrale, malgré tout le bruit.
Les débatteurs professionnels en la matière ne peuvent pas être en aucun cas l’objet de menaces quelconques qui pèsent constamment sur leurs têtes. Prévenir vaut mieux que guérir.
Comme on dit, à chaque situation exceptionnelle, des solutions radicales, exceptionnelles et pérennes. Voilà ce à quoi nous devons nous atteler, si nous voulons enrayer tout risque minimum, face à ce mal qui n’en est pas un au Sénégal, nous menace.
Faut-il que nous ayons des élites responsables, altruistes à l’endroit pour mettre de véritables politiques de santé pérennes ?
Au Sénégal, nous n’avons jamais mis en orbite des instituts de recherches sur la santé avec des moyens énormes financiers, face aux enjeux. Nous dépendons toujours de la bonne volonté de l’institut Pasteur. Et pour cela, nous perdons beaucoup de temps, d’énergie et notre âme. Cheikh Anta Diop, le kamit panafricain, scientifique hors-pair, qui fut le plus élevé de tous les temps, de classe exceptionnelle, a beaucoup écrit, notamment dans son ouvrage : « Nations « Nations Nègres et Culture » comportent une quantité industrielle d’informations capitales et utiles.
Après 59 ans de l’indépendance formelle de la dépendance dynamique en continu,les politiques Générales des gouvernements africains s’inscrivent toutes parfaitement dans des logiques dynamiques de dépendance systématique depuis les indépendances purement nominales. Il n’y a rien qui tienne et tout décousu de fond en comble ! Les véritables élites se doivent de respecter à la lettre et prennent en compte la demande du peuple respectable, lequel est criblé d’impôts et de toutes sortes. Ce qui n’est pas le cas du vassal, dit l’entonnoir colonial, qui est devenu plus que jamais une enzyme pour tout le Sénégal entier.
Je le répète encore et continue dans ce sens, puisque le montage incessant très corsé, édicté par le diktat de la banque mondiale et du FMI, symbolisés par ces deux organismes internationaux, financiers, et impérialistes capitalistes, par définition, présentent incontestablement un lourd tribut pour le contribuable sénégalais, freinent durablement et retardent le décollage du pays de la Téranga, car les pourvoyeurs financiers y ajoutent des taux d’intérêts exorbitants, seront payés par les mêmes citoyens sénégalais, déjà davantage agenouillés, et chroniquement abonnés au chômage pandémique.
Toutes les politiques africaines des racailles s’évertuent à s’incliner bassement sur l’autel de la platitude et du recul. Depuis les parodies d’indépendances, l’Afrique noire au sud du Sahara, très vulnérable, offre le terrain de prédilection favorable de groupuscules armés, terroristes, résultent de l’incapacité notoire des dirigeants africains à sécuriser les populations par des moyens aériens très sophistiqués, capables de surveiller ces bandes armées à l’échelle continentale. La sécurité de l’Afrique dépend exclusivement de la volonté politique.
La main qui donne en reçoit trois ou quatre fois plus au montant prêté. La poursuite des emprunts des milliers de mds de francs CFA- ou l’éco- par les officines internationales, obéit tout simplement à jouer les prolongations et les pillages systématiques d’exploitation et d’oppression du système capitaliste.
Face à la gravité, les autres pays comme la France ont tous pris des mesures conservatoires pour endiguer le mal, contrôlent à l’aéroport notamment Charles DE GAULLE rigoureusement tous les passagers et passagères, venant de la chine pour les mettre aussitôt en quarantaine, après descente d’avion, d’autant plus la l’incubation dure 15 jours. Car le coronavirus passe à la maille du filet.
Pour ce faire, le réflexe obligatoire doit nécessairement servir de rigueur et de principe de précaution à l’aéroport international Blaise Diagne, pour tous voyageurs en provenance de Chine. La sécurité sanitaire doit être de mise. C’est la règle. Pour rappel, un journaliste qui parlait de cas avéré sur le virus ébola, son article lui avait valu un séjour illégal. Un excès de zèle de Macky Sall HIMSELF.
Déjà, nous avons assez souffert plus que d’autres sur les notamment le paludisme tropical, le choléra, auxquels s’y greffent les maladies infectieuses, tel le curieux sida et ses ravages cataclysmiques, et pour lequel d’ailleurs, on n’a pas encore trouvé jusqu’ici le vaccin, en dehors de nombreux essais cliniques.
Comme de coutume, l’autocrate-marionnette en place , n’en a cure de la pandémie apocalyptique, évacue en un quart de tour l’épineuse question qui fâche, mais préfère, hélas, attirer les projecteurs autour de sa personne imbue qu’il se fait de lui-même, réduit tout à lui, oriente à sa propre guise, fixe, le tempo, et mène la danse, le débat à sa cause, qu’il juge nécessaire autant que possible, notamment le 3 EME MANDAT illégal et légitime, qu’il entretient par le doute et labelliser par des non dits, et ce par ni oui, ni non.
Ce qui l’intéresse de prime abord, ce n’est pas tant les préoccupations majeures des sénégalais réunis, mais son surmoi, c’est-à-dire la chasse aux sorcières tout azimut, en toute circonstance. Son principal cheval de bataille, se réduit exclusivement à massifier son parti politique cliniquement clanique. C’est une fausse rupture de la ruse.
Le seul dialogue national qui vaille et prime sur tout, n’aura de sens que de déboulonner le kleptocrate, comme unique consensus partagé par nous tous. Les nouveaux chiens de garde tribalistes, en bande organisée, qui se convertissent en proxénètes défroqués, détestables, bridés, font du bruit pour plaire à l’autocrate en place. Circulez, il n’y a rien à voir ! Nous avons affaire à un demi-dieu sur terre qui a droit de vie ou de mort sur ses sujets, agit à travers sa soldatesque de ramassis, fidèles captifs, n’obéissent mécaniquement, promptement par sa brutalité, et ce à la moindre incartade.
Le verdict du flibustier tombe peu à peu comme un couperet, exclut toute parole libre tous ceux qui parlent et se dressent debout contre lui seront laminés et châtiés, comme des malfrats. Lesquels regretteront d’être nés. Un tel archétype est loin d’incarner un leadership, tel qu’on veut le peindre sous l’autel du paternalisme. Ce que l’on reprochait à son devancier, Abdoulaye Wade, pour son manque présumé de démocratie et de transparence au sein de son parti politique le PDS, la marionnette va-t-en guerre, et nombriliste, privatise son propre parti politique unipersonnel, familial ethniquement cliniquement, cyniquement et cliniquement, le reproduit exponentiellement par sa brutalité pathologique, comme système de gouvernance ordurière.
L’intérêt baroque d’un énergumène, traitre versatile de son rang, qui nie les faits véridiques, dont il est coupable, les occulte sciemment, et se cramponne hystériquement comme une teigne dans ses mensonges corrodants si grossiers et ce jusqu’à l’abime, bafoue et foule du pied les droits inaliénables de l’homme. Dans ces conditions, le rapport d’un garnement, fût-il présumé président de la république des leurres et par sa capacité de nuisance, ne peut être supérieur à celui de tout un peuple entier, qu’il relègue au second plan par son mépris. Décidément, la république des guignols farandoles et des fripouilles en bande organisée, en a une autre lecture bien singulière.
Le Sénégal face à la pandémie mortelle n’est à l’abri de rien. Le label tortionnaire encombrant, le lâche né, a montré sa carte d’identité, s autoproclamé le big broher, tranche en lieu et place de tout de le monde, diligente sa loi arbitraire, choisit ce que l’on dit dire ou non. Ceux qui bravent les interdits auront l’épée de Damoclès qui pèsent sur leurs tètes. On est bien dans une dictature qui tourne à plein égime. Pour rappel, le Coronavirus : wuhan- vient directement de chauves souris. Elles partie des plats culinaires chinois. C’est ainsi qu’elles se transmettent à l’homme. Apparemment, le coronavirus a les mêmes symptômes que la grippe et la maladie pulmonaire. Il est de tout plus grave.
Compte tenu de la proximité et le notre pays, la vigilance et les mesures conservatoires s’imposent. Les populations manquent de tout et des soins de santé les plus élémentaires.
La plupart des soi-disant hôpitaux sont des mouroirs poussent comme des champignons Si on ajoute l’épidémie coronavirus, où allons-nous ? sous le fallacieux d’ameuter les populations , ou créer la psychose, ce gouvernement manifestement incapable a l’habitude de faire de la rétention, interdit à tout journaliste professionnel de faire des traitements objectifs sur la question.
On l’avait déjà vu avec le virus Ebola. Bizarrement, quand il s’agit de la thématique terroriste invisible, il labellise son diktat par sa presse interposée de la servitude, ce que le minable veuille entendre et lire, de manière que ses litanies deviennent sa propre vérité à lui [macky Sall ].
Le risque est majeur. Mais le Sénégal est plus que jamais le ciel ouvert de chauve-souris à l’intérieur des toits au Sénégal, et dont la dangerosité constitue une menace réelle à la santé, et une préoccupation permanente, tant par les enzymes qu’elle porte. On n’a a jamais mesuré la gravité et les risques encourus depuis siècles et des siècles. Sa présence cause plusieurs maladies et des décès, sans qu’on n’y prenne garde. Au Sénégal, il n’y a jamais d’instituts en la matière chargés d’étudier. La santé n’est jamais dans les champs de nos élites de pacotille, passent tout leur temps à se réjouir du pouvoir et s’enrichir bassement sur l’autel de l’égoïsme, plutôt de veiller à la santé des citoyens.
Vérité ou manipulation sur le terrorisme au Sénégal ? Surpris par l’attaque, les pandores ont aussitôt répliqué par des tirs nourris d’armes à feu contre les assaillants, qui ont été obligés de renoncer à l’affrontement avant de prendre la fuite. Il y a eu plus de peur que de mal du côté des hommes en bleu. Le monstre sacrilège, ou l’enzyme, veut-il justifier la présence du terrorisme ? Qu’il donne des indications avec des preuves matérielles à l’appui. S’agit-il d’une mise en scène élaborée comme d’habitude ? L’entrefilet de l’article laisse-t-il apparaitre un fake news comme tant d’autres , tendant à créer la psychose permanente ? L’information peu crédible cousue de fil tient sur une crête est –elle crédible ? En cas de victimes, il sera désigné le suspect numéro 1 : Attaque surprise à Kéniéba : 3 hommes armés, tirent sur des gendarmes en patrouille.
Décidément, la thématique terroriste rapporte beaucoup plus et pour qui et à quelle fin ? Hélas, les seuls perdants restent toujours les africains, sont incapables d’en finir avec leurs propres bourreaux respectifs qui leur pourrissent la vie quotidienne.